Chapitre 1 Maxime regardait alternativement ... les gens bien Ă©levĂ©s savent aussitĂŽt faire de ces phrases qu'il faudrait appeler des phrases de sortie. » Situation et contexte Portrait du cĂ©lĂšbre HonorĂ© de Balzac, l'un des Ă©crivains les plus cĂ©lĂšbres du 19Ăšme siĂšcle. AprĂšs avoir passĂ© plusieurs jours au cĂŽtĂ© des pensionnaires de la pension Vauquer, EugĂšne de Rastignac, jeune ambitieux tout droit venu de Province, compte bien connaĂźtre la gloire et la richesse grĂące Ă son beau minois et ses traits d'esprit. Issu dâune vieille famille aristocratique dĂ©sormais appauvrie, EugĂšne incarne la figure du jeune ambitieux dĂ©cidĂ© Ă faire carriĂšre et fortune Ă Paris. Ă un bal organisĂ© par sa cousine, Mme de BeausĂ©ant, il est prĂ©sentĂ© Ă la sĂ©duisante Mme de Restaud, qui nâest autre que la fille ingrate de lâinfortunĂ© pĂšre Goriot, voisin de pension dâEugĂšne. Toutefois, ce secret reste bien gardĂ© et EugĂšne n'a pas la moindre idĂ©e de cette identitĂ© cachĂ©e. Fort de cette soirĂ©e rĂ©ussie, EugĂšne dĂ©cide de rendre une visite de politesse Ă la belle comtesse le lendemain du bal. Plein dâespoir amoureux et ambitieux, le jeune homme espĂšre charmer cette jeune femme pour parvenir Ă ses buts ultimes. Seulement, EugĂšne ne se doutait pas d'un lĂ©ger dĂ©tail lâamant en titre, Maxime de Trailles, est dĂ©jĂ lĂ . Ainsi, cet extrait peut ĂȘtre analysĂ© sous trois angles diffĂ©rents Le premier consiste Ă Ă©tudier la place d'EugĂšne dans ce terzo incomodo ». Cette expression italienne, traduite par tiers personne qui incommode » dans la Chartreuse de Parme de Stendhal, souligne la position dĂ©licate dans laquelle se retrouve notre personnage. De cette position va naĂźtre un vrai rapport de rivalitĂ© entre les deux hommes. EugĂšne, espĂ©rant briller par son caractĂšre et sa beautĂ©, ne compte pas se laisser intimider par la richesse et l'apparence irrĂ©prochable de son concurrent. C'est pourquoi, au final, cette scĂšne permet Ă EugĂšne de rĂ©vĂ©ler son caractĂšre proprement hĂ©roĂŻque. Peu importe la condition sociale, peu importe l'apparence et la dĂ©monstration de richesse ce qui compte, c'est de parvenir Ă rĂ©duire la position de force de Maxime de Trailles. GrĂące Ă sa fine intelligence, EugĂšne peut prĂ©tendre Ă atteindre ses objectifs de vie. Les meilleurs professeurs de Français disponibles4,9 70 avis 1er cours offert !5 85 avis 1er cours offert !4,9 117 avis 1er cours offert !5 39 avis 1er cours offert !4,9 56 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !4,9 70 avis 1er cours offert !5 85 avis 1er cours offert !4,9 117 avis 1er cours offert !5 39 avis 1er cours offert !4,9 56 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !C'est partiI- Une scĂšne de terzo incomodo EugĂšne de Rastignac, ce tiers prĂ©sent qui incommode... A. Le terzo incomodo en quoi EugĂšne est-il ici prĂ©sentĂ© comme un inconnu dont la prĂ©sence n'est pas dĂ©sirĂ©e ? DĂšs le dĂ©but de cet extrait, Balzac place EugĂšne de Rastignac en situation d'infĂ©rioritĂ©. Il est qualifiĂ© par son rival, Maxime de Trailles, d' intrus ». Ce terme a pour effet d'augmenter le sentiment d'Ă©trangetĂ© d'EugĂšne, qui n'a visiblement rien Ă faire dans le salon de Mme de Restaud. RabaissĂ© une nouvelle fois par le double qualificatif petit drĂŽle », EugĂšne est ridiculisĂ© par les mots. Le voilĂ en position de faiblesse, considĂ©rĂ© comme un bouffon et un moins que rien par ce surprenant rival. Ma chĂšre, j'espĂšre que tu vas mettre ce petit drĂŽle Ă la porte ! Les Classiques Hachette, Lui qui Ă©tait venu pour sĂ©duire cette jeune femme rencontrĂ© la veille au soir, ne s'attendait certainement pas Ă se voir ĂȘtre traitĂ© de cette façon. En s'introduisant, sans le savoir, entre une femme et son amant, il crĂ©e une situation de malaise entre les diffĂ©rents protagonistes. Les termes sont violents, bruts, voire dĂ©shumanisants Maxime parle d'EugĂšne comme d'une bĂȘte ou d'un insecte que l'on aimerait Ă©craser. Il exige de le voir dĂ©camper » sur le champ, ce qui appuie son statut d'amant autoritaire et dominant. Ce qui le gĂšne » verbe rĂ©pĂ©tĂ© Ă deux reprises, doit disparaĂźtre. B. Une scĂšne de violence sociale Toutefois, il est impossible de congĂ©dier EugĂšne de cette maniĂšre. Pour quelle raison ? Ă cause du vernis social, des conventions propres Ă la comĂ©die humaine si bien dĂ©peinte par Balzac. Comment procĂ©der pour que cet invitĂ© non dĂ©sirĂ© puisse disposer ? En essayant de lui faire comprendre quâil gĂšne sans pour autant passer par le discours direct. Une subtilitĂ© de langage qui permet d'Ă©viter toute forme d'impolitesse... DĂšs lors, les personnages utilisent la communication non verbale et, en particulier, le regard Maxime regardait ... dâune maniĂšre assez significative pour faire dĂ©camper lâintrus Les Classiques Hachette, Ici, le regard est une arme. La traduction de ce regard par le narrateur est violente, il s'agit de mettre Ă la porte » rien qu'en regardant le sujet non dĂ©sirĂ©. Ce phĂ©nomĂšne est particuliĂšrement dĂ©valorisant, humiliant socialement pour EugĂšne, qui ne maĂźtrise pas encore ce code de regards. Du cĂŽtĂ© de la comtesse, tout est bon pour pouvoir fuir cette situation malheureuse et honteuse. ConfrontĂ©e Ă cette incomprĂ©hension, elle a recours Ă un geste grossier, peu reprĂ©sentatif des moeurs nobles Sans attendre la rĂ©ponse d'EugĂšne, Madame de Restaud se sauva comme Ă tire-d'aile dans l'autre salon en laissant flotter les pans de son peignoir qui se roulaient et se dĂ©roulaient de maniĂšre Ă lui donner l'apparence d'un papillon ; et Maxime la suivit. Les Classiques Hachette, PremiĂšrement, elle n'a pas la dĂ©licatesse d'attendre la rĂ©ponse dâEugĂšne », ce que tout hĂŽte doit impĂ©rativement s'obliger de faire. Secondement, elle se sauve comme Ă tire-dâaile », le verbe et son complĂ©ment soulignant lâidĂ©e de fuite et dâextrĂȘme rapiditĂ©. Ainsi, tout est fait pour faire comprendre Ă EugĂšne qu'il n'a pas sa place ici, sans le lui dire explicitement, bien Ă©videmment. ScĂšne tirĂ©e du film de François Truffaut, "Les quatre cents coups", 1959. Se plonger dans l'oeuvre de Balzac pour comprendre les moeurs sociales du 19Ăšme siĂšcle... C. Une scĂšne comique L'Ă©lĂ©ment comique de la scĂšne provient de l'incomprĂ©hension d'EugĂšne qui apparaĂźt au dĂ©but du texte comme une sorte de Candide, un peu naĂŻf et peu au courant des us et coutumes des nobles parisiens. Au-delĂ de l'incomprĂ©hension provoquĂ©e par la situation, EugĂšne est risible parce qu'il ne se doute Ă aucun instant de la nature de la relation entre Maxime de Trailles et Mme de Restaud. Pourtant, le visage de la comtesse dit tous les secrets d'une femme sans qu'elle s'en doute ». Mais EugĂšne, peut-ĂȘtre trop perturbĂ© par l'arrivĂ©e soudaine de ce mystĂ©rieux personnage, n'y prĂȘte pas attention et ne peut, en somme, se douter de ce qui l'attend. Comment progresser en cour de francais ? II- Un rapport triangulaire qui engendre jalousie et confrontation A. Une jalousie problĂ©matique Comme nous le soulignions prĂ©cĂ©demment, EugĂšne ne semble pas se douter de ce que reprĂ©sente Maxime de Trailles pour Mme de Restaud, rencontrĂ©e la veille au bal et semblant ĂȘtre tout Ă fait libre. Il faut attendre la fin de l'extrait pour qu'EugĂšne identifie Maxime comme lâamant et se lâattribue comme rival ». Comment se fait-il, dans ce cas, qu'une rivalitĂ© prĂ©domine dĂšs le dĂ©but de l'extrait ? On pourrait penser qu'il s'agit d'une jalousie vis Ă vis de Mme de Restaud, ce dandy » pouvant probablement voler le coeur de celle qui intĂ©resse EugĂšne de Rastignac. Mais il n'en est rien pour EugĂšne, la jalousie naĂźt de la comparaison avec cet inconnu qu'il mĂ©prise et dĂ©teste dĂšs le premier instant Rastignac se sentit une haine violente pour ce jeune homme Les Classiques Hachette, Bien avant dâavoir compris qui il Ă©tait, EugĂšne ressent pour lui une haine violente », presque instinctive et incontrĂŽlable. Son objectif ? GĂȘner le dandy ... au risque de dĂ©plaire Ă Mme de Restaud ». Nous comprenons donc que cette jalousie nâa pas pour origine la possession de la femme mais la fiertĂ© d'une Ăąme en recherche de reconnaissance sociale. B. La dĂ©valorisation de la femme Anastasie de Restaud, jeune femme mariĂ©e mais malheureuse en amour, cherche Ă fuir la morositĂ© de sa relation avec le marquis d'Ajuda-Pinto, pour qui elle n'Ă©prouve que peu d'attirance et de sentiments. Elle n'a d'yeux que pour ce cher Maxime de Trailles, jeune homme Ă©lĂ©gant et fortunĂ©, qui fait naĂźtre en elle des Ă©motions nouvelles. Dans cet extrait, la prĂ©sence de la femme est trĂšs effacĂ©e. Les mentions la caractĂ©risant la font apparaĂźtre comme une femme soumise » Ă lâamant, incapable de se contrĂŽler et de contrĂŽler ses Ă©motions, en tĂ©moigne ce visage tellement expressif qu'il dit tout. La femme est prĂ©sentĂ©e comme lĂąche et assujettie Ă son cher et tendre. Face Ă la difficultĂ© que prĂ©sente l'inconfortable situation, elle prĂ©fĂšre se sauver plutĂŽt que d'affronter la rĂ©alitĂ©. Pour la caractĂ©riser, Balzac utilise l'image d'un grand papillon, en apparence flatteur, mais qui renforce en rĂ©alitĂ© les mentions de coquetterie et de lĂ©gĂšretĂ©. Enfin, les deux hommes font peu de cas dâelle et ne se soucient pas vraiment de sa prĂ©sence EugĂšne prend le risque de lui " dĂ©plaire ", ce qui confirme que sa jalousie n'est pas dirigĂ©e envers elle. Au fond, gagner le duel face Ă Maxime de Trailles lui importe plus que de possĂ©der le coeur de la jeune demoiselle... Maxime, quant Ă lui, lui adresse des regards Ă la signification cavaliĂšre et peu galante. Il ne s'encombre pas de politesses pour lui parler, ce qui tĂ©moigne le peu de considĂ©ration qu'il a envers elle. C. La fascination pour le rival D'abord les beaux cheveux blonds et bien frisĂ©s de Maxime lui apprirent combien les siens Ă©taient horribles. Puis Maxime avait des bottes fines et propres, tandis que les siennes, malgrĂ© le soin qu'il avait pris en marchant, s'Ă©taient empreintes d'une lĂ©gĂšre teinte de boue. Enfin Maxime portait une redingote qui lui serrait Ă©lĂ©gamment la taille et le faisait ressembler Ă une jolie femme, tandis qu'EugĂšne avait Ă deux heures et demie un habit noir. Les Classiques Hachette, Comme le met en lumiĂšre ce passage, la haine » de Rastignac pour Maxime est liĂ©e principalement Ă son aspect physique. Rastignac se livre Ă une comparaison qui ne lui donne pas lâavantage. La comparaison fait ressortir la supĂ©rioritĂ© de Maxime de Trailles en critĂšres de beautĂ©. On notera la fĂ©minisation des critĂšres de beautĂ© masculin le faisait ressembler Ă une jolie femme» et en critĂšres sociaux, avec l'exemple des bottes fines et propres » faisant comprendre que Maxime nâest pas un piĂ©ton qui crotte ses bottes contrairement Ă EugĂšne, l'amant de Mme de Restaud se dĂ©place Ă cheval. Enfin, la redingote riding-coat montre quâil a les moyens dâavoir une tenue pour chaque circonstance de la journĂ©e, ce qui n'est pas le cas d'EugĂšne. De plus, ce nâest pas Maxime quâEugĂšne veut gĂȘner, mais le dandy », ce personnage du XIXe siĂšcle qui se doit de consacrer sa vie au raffinement et Ă lâĂ©lĂ©gance. L'exemple parfait du dandy est, pour Balzac, George Bryan Brummel. Le dandy, sâil incarne lâesprit du siĂšcle, reste un personnage nĂ©gatif, capable de ruiner des orphelins », qui incarne le caractĂšre superficiel de la sociĂ©tĂ© de la Restauration et un dĂ©tournement des valeurs. III- La Naissance dâun grand homme A. Le dandy comme modĂšle EugĂšne reconnaĂźt en Maxime un modĂšle de beautĂ© sociale, Ă laquelle il faut ressembler pour rĂ©ussir. L'Ă©tymologie du prĂ©nom dĂ©montre mĂȘme un caractĂšre puissant puisque Maximus » signifie le trĂšs grand » en latin. La mise de Maxime de Trailles est un Ă©lĂ©ment de supĂ©rioritĂ©. Ici, l'amant d'Anastasie donne une leçon de style Ă EugĂšne. Ă savoir que friser ses cheveux, Ă l'Ă©poque, Ă©tait un luxe Ă imiter pour paraĂźtre bien installĂ©. Ainsi, le dandy est celui qu'EugĂšne admire autant qu'il hait. Ce tiraillement se fait ressentir dans la comparaison qu'il dresse en lui et l'autre entre envie et jalousie, admiration et dĂ©testation, fascination et aversion. Au fond de lui, EugĂšne n'a qu'un rĂȘve devenir un dandy et ressembler Ă Maxime. B. Lâintelligence dâEugĂšne Mais le dandy, pour Balzac, est assez simple d'esprit. Il prĂ©fĂšre se satisfaire de la lĂ©gĂšretĂ© de l'existence et ne se soucie que de l'apparence. La richesse est superficielle elle ne se constate que physiquement, l'esprit Ă©tant emprunt de considĂ©rations mondaines et creuses. EugĂšne lui, qui tire une leçon du dandy, est dotĂ© d'une intelligence quasi-innĂ©e, relevant de l'instinct. Le verbe sentir » confirme cette idĂ©e, il est un observateur intuitif hors pair. Pour en revenir Ă l'Ă©tymologie des prĂ©noms, le sien signifie dâailleurs le bien-nĂ© », celui qui dispose par la naissance dâavantages. EugĂšne Ă©tait noble, bien-nĂ© socialement. Mais la RĂ©volution est passĂ©e par lĂ et a mise Ă mal la fortune de sa famille. EugĂšne a surtout pour lui l'esprit et l'intelligence. Il est le spirituel enfant », celui qui peut tenir un discours plus profond et plus sensĂ©. C. Le hĂ©ros ReprĂ©sentation du jeune Rastignac, galvanisĂ© par l'envie de rĂ©ussite et l'ambition. Enfant ! Oui, vous ĂȘtes un enfant, dit-elle en rĂ©primant quelques larmes vous aimeriez sincĂšrement, vous ! Les Classiques Hachette, En effet, EugĂšne n'en est qu'au dĂ©but de son parcours initiatique. Il nâest pour lâinstant quâun enfant ». et câest pourquoi il reçoit une leçon. Mais le jeune Rastignac a, pour lui, de lâintelligence et dâautres caractĂ©ristiques hĂ©roĂŻques. Sa formation dĂ©bute mais ses sentiments tĂ©moignent d'une valeur hĂ©roĂŻque incomparable il est ambitieux, il veut triompher » de Maxime, câest-Ă -dire le vaincre mais sans s'en tenir Ă une banale victoire. Il veut rendre ce triomphe Ă©clatant. Etymologiquement, le triomphe est le dĂ©filĂ© du gĂ©nĂ©ral vainqueur Ă travers Rome, prĂ©cĂ©dĂ© des vaincus rĂ©duits en esclavage et du butin. VoilĂ le souhait le plus cher d'EugĂšne rĂ©duire Maxime Ă une condition encore plus infĂ©rieure que celle de l'intrus. Maxime doit devenir esclave et se soumettre Ă la grandeur du jeune Rastignac. Enfin, EugĂšne tĂ©moigne d'une certaine audace ». Il n'a pas peur de dĂ©fier le monde et les conventions, son courage lui permet d'affronter bien des obstacles. Il est portĂ© par l'ambition et ne reculera devant rien son dĂ©sir de succĂšs est plus fort que tout. Conclusion Pour conclure, cette scĂšne montre en quoi la jalousie amoureuse nâest quâune façon de masquer lâenvie et lâambition sociale. Elle est intĂ©ressante aussi par la critique sociale qui apparaĂźt en filigrane la sociĂ©tĂ© de la Restauration dĂ©tourne les valeurs et est d'une superficialitĂ© sans nom. De son cĂŽtĂ©, EugĂšne incarne parfaitement ce hĂ©ros en devenir, qui va concilier lâapparence hĂ©roĂŻque et la force profonde, cette Ă©nergie si admirĂ©e par Balzac. Le temps de faire ses preuves est arrivĂ© ! Tableau qui reprend le schĂ©ma narratif du PĂšre Goriot. Une aide pour se repĂ©rer dans le temps et dans l'espace Faubourg Saint-MarceauChaussĂ©e-d'AntinFaubourg Saint-Germain fin novembre 1819 » Situation initiale Pension Vauquer. 7 pensionnaires dont Goriot, Vautrin et Rastignac. Rastignac, 22 ans. Bachelier en lettres et en droit depuis un an Ă Paris. DĂ©cide de rĂ©ussir par les femmes. Comtesse de Restaud et Baronne de de BeausĂ©ant et Duchesse de Langeais. quelques jours plus tard » modificateur DĂ©couverte des mystĂšres Goriot et Vautrin. Rencontre avec A. de Restaud lors d'un bal chez Mme de BausĂ©ant. le lendemain » s'institue dĂ©fenseur du PĂšre Goriot dont Mme de BausĂ©ant lui a appris le Ă©conduit de chez les de BausĂ©ant initiatrice des mystĂšres parisiens A. de Restaud et D. de Nucingen sont des demoiselles Goriot. fin de la premiĂšre semaine de dĂ©cembre » Vautrin pense que l'argent est source de rĂ©ussite. Il propose Ă EugĂšne d'Ă©pouser Victorine Taillefer qu'il rendra riche en tuant son frĂšre. Rencontre avec D. de Nucingen lors d'une sortie aux Italiens avec Mme de BausĂ©ant. Delphine lui rĂ©vĂšle la vie des femmes de Paris un luxe extĂ©rieur, des soucis cruels dans l'Ăąme ». EugĂšne donnĂ© pour amant de Delphine lors du bal de la duchesse de Carigliano. 12 fĂ©vrier 1820 se rapproche de Victorine et devient le dĂ©biteur de Vautrin. 14 fĂ©vrier 1820 et Mlle Michonneau trahissent VautrinLe pĂšre Goriot installe Rastignac rue d'Artois. 15 fĂ©vrier 1820 de Vautrin, aussi appelĂ© Trompe-la-Mort. Mort en duel du fils rue d'Artois avec Delphine. 16 fĂ©vrier 1820 au bal de la vicomtesse de BeausĂ©ant, quittĂ©e par son amant, le marquis d'Ajuda-Pinto. 17 fĂ©vrier 1820 du pĂšre Goriot. DĂ©but de l'agonie du pĂšre des soeurs Goriot. 18 fĂ©vrier 1820 du pĂšre Goriot. 19 fĂ©vrier 1820 du pĂšre Goriot se poursuit. Bal chez la vicomtesse de BeausĂ©ant. 20 fĂ©vrier 1820 finale Mort du pĂšre de BeausĂ©ant se retire en Normandie. Mme de Langeais se retire au couvent. 21 fĂ©vrier 1820 du pĂšre de Rastignac Ă Paris Ă nous deux maintenant ! ». Il se rend dĂ©jeuner chez Delphine.
LesTrois Mousquetaires est le plus célÚbre des romans d'Alexandre Dumas pÚre, initialement publié en feuilleton dans le journal Le SiÚcle de mars à juillet 1844, puis édité en volume dÚs 1844 aux éditions Baudry et réédité en 1846 chez J. B. Fellens et L. P. Dufour avec des illustrations de Vivant Beaucé.Il est le premier volet de la trilogie romanesque
Par dans LittĂ©rature Mis Ă jour le 11 avril 2021 , Lu 346 fois RĂ©sumĂ© PrĂ©face Un Ă©diteur anonyme nous explique les raisons pour lesquelles il nous propose le rĂ©cit que nous allons lire. Il ne mentionne pas explicitement le nom ou lâhistoire de Robinson CrusoĂ©, mais dĂ©crit plutĂŽt le rĂ©cit comme les aventures dâun homme privĂ© dans le monde» et se concentre sur son rĂ©alisme lorsquâil lâappelle une histoire juste des faits». Il prĂ©tend quâil est modeste et sĂ©rieux, et quâil a une valeur instructive, nous apprenant Ă honorer la sagesse de la Providence». Ainsi, lâĂ©diteur affirme quâil rend un grand service au monde en publiant le conte de CrusoĂ©. RĂ©sumĂ© Chapitre I â Je vais en mer Je suis nĂ© en 1632 , dans la ville de York, dâune bonne famille, mais pas de ce pays, mon pĂšre Ă©tant Ă©tranger. » Un homme du nom de Robinson CrusoĂ© raconte lâhistoire de sa propre vie, en commençant par sa naissance en 1632 dans la ville anglaise de York. Le pĂšre de CrusoĂ© Ă©tait un Allemand, Ă lâorigine nommĂ© Kreutznaer. CrusoĂ© est le plus jeune de trois frĂšres, lâaĂźnĂ© Ă©tant soldat et le second ayant mystĂ©rieusement disparu. En tant que plus jeune fils de la famille, on sâattend Ă ce que CrusoĂ© hĂ©rite peu et, par consĂ©quent, son pĂšre lâencourage Ă se lancer dans la loi. Mais le penchant de CrusoĂ© est dâaller en mer. Sa famille sâoppose fermement Ă cette idĂ©e, et son pĂšre lui donne une sĂ©vĂšre leçon sur la valeur dâaccepter une position intermĂ©diaire dans la vie. CrusoĂ© dĂ©cide de suivre les conseils de son pĂšre. Mais lorsquâun de ses amis sâembarque pour Londres, CrusoĂ© succombe Ă la tentation et monte Ă bord du navire le 1er septembre 1651.. Une tempĂȘte se dĂ©veloppe. PrĂšs de Yarmouth, le temps est si mauvais que CrusoĂ© craint pour sa vie et prie Dieu pour la dĂ©livrance. Le navire a failli fonder, mais tous sont sauvĂ©s. CrusoĂ© voit cette Ă©preuve comme un signe du destin quâil devrait abandonner les voyages en mer, et le pĂšre de son ami le met en garde contre la remise des pieds sur un navire, faisant Ă©cho Ă lâavertissement de son propre pĂšre. RĂ©sumĂ© Chapitre II â Je suis capturĂ© par des pirates CrusoĂ© se sĂ©pare de son ami et se rend Ă Londres par voie terrestre, oĂč il rencontre un capitaine de mer qui lui propose de lâaccompagner lors dâun prochain voyage marchand. Ăcrivant Ă sa famille pour de lâargent dâinvestissement, CrusoĂ© part avec quarante livres de bibelots et de jouets Ă vendre Ă lâĂ©tranger. CrusoĂ© tire un revenu net de 300 livres de ce voyage et le considĂšre comme un grand succĂšs. Prenant cent livres avec lui et laissant les 200 livres restants avec une veuve en qui il a confiance, CrusoĂ© se lance dans une autre expĂ©dition marchande. Cette fois, il est poursuivi par des pirates maures au large de Sallee en Afrique du Nord. Son navire est rattrapĂ© et CrusoĂ© est asservi, le seul Britannique parmi les esclaves de son maĂźtre maure. CrusoĂ© se voit confier la tĂąche de pĂȘcher en raison de son talent naturel. Un jour, le bateau de pĂȘche des esclaves se perd dans le brouillard et le capitaine installe une boussole Ă bord. Le capitaine stocke Ă©galement de la poudre Ă canon Ă bord en vue dâune partie de tir, mais les invitĂ©s ne viennent pas. CrusoĂ© attend. RĂ©sumĂ© Chapitre III â Je mâĂ©chappe du Rover Sallee Robinson part pour une expĂ©dition de pĂȘche avec deux autres esclaves, un homme nommĂ© Ismael et un garçon nommĂ© Xury. Se faufilant derriĂšre Ismael, Robinson le pousse dans lâeau. Ismael nage Ă cĂŽtĂ© du bateau et demande Ă ĂȘtre recueilli. CrusoĂ© tire un fusil sur lui et lui dit de retourner Ă terre ou dâĂȘtre tuĂ©. CrusoĂ© demande alors Ă Xury sâil va lâaccompagner et le servir fidĂšlement, et Xury accepte. Le soir, CrusoĂ© calcule quâils ont naviguĂ© 150miles au sud de Sallee. Ils voient des crĂ©atures sauvages Ă terre que CrusoĂ© reconnaĂźt comme des lions. CrusoĂ© abat un mort, et lui et Xury lâĂ©corchent. Ils se dirigent vers le sud vers ce que CrusoĂ© croit ĂȘtre le Cap-Vert ou les Ăźles Canaries. Ils voient des Noirs nus Ă terre et ils les craignent jusquâĂ ce que les indigĂšnes leur offrent de la nourriture. Quand les Africains voient CrusoĂ© tirer sur un lĂ©opard, ils sont impressionnĂ©s et ils offrent la peau Ă CrusoĂ©. Ne sachant pas oĂč se diriger, CrusoĂ© est surpris par un navire europĂ©en au loin. Le navire rĂ©cupĂšre Xury et CrusoĂ©, et son aimable capitaine portugais propose de les emmener au BrĂ©sil. Le capitaine achĂšte le bateau de CrusoĂ© ainsi que Xury. Analyse PrĂ©face et chapitres I Ă III Ces chapitres nous prĂ©sentent le style de narration particulier de CrusoĂ©, qui a rĂ©volutionnĂ© le roman anglais il parle ouvertement et intimement, sans aucun des effets rhĂ©toriques grandioses notables dans les premiers Ăąges de lâhistoire littĂ©raire anglaise. En nous disant franchement combien il tire de profit de sa premiĂšre entreprise marchande et en reconnaissant sa lutte intĂ©rieure pour obĂ©ir Ă son pĂšre ou suivre son dĂ©sir dâaller en mer, CrusoĂ© sâadresse Ă nous comme si nous Ă©tions ses amis proches et de confiance. Il est Ă©galement un narrateur extrĂȘmement pratique et axĂ© sur les faits, comme le souligne lâĂ©diteur en appelant la narration une histoire juste des faits». CrusoĂ© est fixĂ© sur des dĂ©tails prĂ©cis, nous indiquant le jour exact de son dĂ©part et le nombre de kilomĂštres au sud de Sallee quâil se trouve. Ses sentiments sont moins entiĂšrement racontĂ©s, bien quâil raconte son angoisse Ă dĂ©sobĂ©ir Ă son pĂšre. CrusoĂ© montre Ă©galement sa gentillesse et son humanitĂ© de base en Ă©pargnant la vie dâIsmael, bien quâil soit clair que cet acte est un dĂ©tail mineur pour lui. Son accent sur les faits, les actions et les dĂ©tails contribue Ă marquer le dĂ©but de la forme romanesque dans la littĂ©rature anglaise. Le rĂ©cit de CrusoĂ© nâest pas seulement une histoire dâaventure sur les tempĂȘtes et les pirates, mais aussi ce que la littĂ©rature religieuse appelle un conte exemplaire un conte racontĂ© Ă des fins dâenseignement moral et religieux. Dans la prĂ©face, lâĂ©diteur nous dit explicitement que ce roman nous apprendra Ă honorer la sagesse de la Providence». Nous sommes censĂ©s apprendre quelque chose dâutile spirituellement en lisant cette histoire. CrusoĂ© souligne cet aspect spirituel en se concentrant sur sa mĂ©chancetĂ© en dĂ©sobĂ©issant aux ordres de son pĂšre, et les punitions qui lui sont infligĂ©es pour lâavoir fait. Dans le chapitre II, il se rĂ©fĂšre Ă lâinfluence malĂ©fique qui mâa dâabord Ă©loignĂ© de la maison de mon pĂšre», et le mot mal» est important ce choix nâest pas simplement une dĂ©cision insensĂ©e, mais une dĂ©cision prise avec une influence moralement mauvaise. De plus, la perversitĂ© fait curieusement de CrusoĂ© sa victime passive, introduisant un autre aspect central de lâhistoire de Robinson sa propre passivitĂ©. La place de CrusoĂ© en tant que fils cadet rebelle dans la famille. LâidĂ©e dâĂ©trangetĂ© est prĂ©sentĂ©e comme une prĂ©figuration importante de la longue existence ultĂ©rieure de CrusoĂ© en tant que naufragĂ© dans un pays Ă©tranger. Fait intĂ©ressant, malgrĂ© le dĂ©but de lâhistoire Ă Hull et Ă Londres, CrusoĂ© ne se concentre pas beaucoup sur les Anglais dans son rĂ©cit. Lâami qui le tente Ă bord du navire nâest pas nommĂ© et CrusoĂ© ne lui montre aucune rĂ©elle affection. MĂȘme les membres de la famille de CrusoĂ© ne sont pas nommĂ©s. Les Anglais ne semblent tout simplement pas exciter son intĂ©rĂȘt. En revanche, CrusoĂ© nâhĂ©site pas Ă nous donner les noms des autres esclaves, Ismael et Xury, sur le bateau de pĂȘche maure. Le capitaine portugais nâest pas nommĂ©, mais il est dĂ©crit avec beaucoup plus de vivacitĂ© que le premier capitaine anglais. CrusoĂ© rĂ©vĂšle une prĂ©disposition de base envers les Ă©trangers qui souligne son inclination prĂ©coce Ă aller en mer et Ă quitter lâAngleterre. En tant que fils dâun Ă©tranger â le nom de son pĂšre Ă©tait Kreutznaer â cette itinĂ©rance peut ĂȘtre son destin. Peut-ĂȘtre comme Ulysse dans LâOdyssĂ©e, il est simplement destinĂ© par nature Ă quitter la maison.
LESARCHIVES DU FIGARO - Il y a 45 ans s'éteignait Roland DorgelÚs, le romancier des Croix de Bois, un récit poignant de la vie des soldats et surtout de l'horreur de la guerre. En 1919, Le
Cette page a pour but de fournir un rĂ©sumĂ© de Vendredi ou la vie sauvage chapitre par chapitre. Si vous souhaitez un rĂ©sumĂ© encore plus dĂ©taillĂ© et entiĂšrement Ă©crit au lieu dâune liste des principaux Ă©vĂšnements, je vous conseille de lire le rĂ©sumĂ© trĂšs dĂ©taillĂ© de Vendredi ou la vie sauvage. Vous pouvez commander Vendredi ou la vie sauvage sur amazon dĂšs maintenant ! Le livre est composĂ© 35 chapitres relativement courts. Jâai essayĂ© de lister les Ă©vĂšnements principaux de lâaction chapitre par chapitre. Chapitres 10-19 Chapitres 20-29 Chapitres 30-35 Chapitre 1 Van Deysel, capitaine dâun bateau robuste, La Virginie. Ne sâinquiĂšte pas pour la tempĂȘte. Capitaine et Robinson jouent aux cartes. Se trouvent dans la rĂ©gion de lâArchipel Juan Fernandez, au large des cĂŽtes du Chili. Naufrage. Chapitre 2 Robinson reprend connaissance et se trouve seul. Mal Ă lâĂ©paule. Rencontre avec un bouc qui semble Ă©tonnĂ©. Le bouc baisse la tĂȘte et grogne. Robinson mange un ananas sauvage Ă la fin du chapitre. Chapitre 3 DĂ©couverte de lâĂźle. Robinson dĂ©coupe un quartier de la viande du bouc et le fait rĂŽtir. Chapitre 4 Changement dâattitude. DĂ©cide dâentreprendre la construction dâun bateau. DĂ©cide de visiter lâĂ©pave de la Virginie pour rapporter des outils. Dans la cabine du second, il trouve une bible. Se construit une sorte bateau, un radeau incertain. AprĂšs sa visite de la Virginie, il commence la construction de lâĂvasion. Chapitre 5 Construction de lâĂvasion. Chapitre 6 DĂ©couragĂ©, il sâenfonce dans la boue comme les pĂ©caris. Les gaz lui troublent lâesprit. Hallucination il voit sa sĆur, morte depuis deux ans, sur une galĂšre imaginaire. Chapitre 7 Exploration de lâĂźle. Entrepose les 40 tonneaux. Utilise lâencre contenue dans le ventre dâun poisson pour Ă©crire son journal. Donne le nom de Speranza Ă lâĂźle EspĂ©rance. Commence Ă civiliser son Ăźle. Chapitre 8 Ăcrit la Charte de lâĂźle Speranza dans un livre trouvĂ© sur la Virginie les pages ont Ă©tĂ© nettoyĂ©es par la mer. PremiĂšre visite des Indiens. Chapitre 9 Fait de nombreuses rĂ©parations. RĂ©colte des cĂ©rĂ©ales. Abondance des cĂ©rĂ©ales = lutte contre les rats. Il y a deux sortes de rats = rats gris et noirs. Chapitre 10 Ne sait plus sourire, Tenn le lui rĂ©apprend. Chapitre 11 Organise et civilise son Ăźle. TĂąches quotidiennes Ă accomplir. Chapitre 12 Exploration de la grotte. Perd la notion du temps = danger pour sa vie. Chapitre 13 Fabrication dâune clepsydre, horloge qui donne lâheure grĂące Ă de lâeau et Ă un contenant graduĂ©. Construction de la riziĂšre. DeuxiĂšme visite des Indiens un indien sâĂ©chappe avant de se faire exĂ©cuter. Il se dirige vers Robinson, Tenn aboie et attire lâattention. Robinson tire un coup de feu, tue un Indien et la tribu se sauve. LâIndien rescapĂ© sâincline devant Robinson, en signe de soumission. Chapitre 14 Lâespoir revient, Robinson va montrer lâĂvasion Ă lâindien. Le bateau sâĂ©croule, mangĂ©e par les termites. Chapitre 15 Lâindien se fait maintenant appelĂ© Vendredi, en symbole du jour oĂč il a Ă©tĂ© recueilli. Vendredi apprend lâanglais, effectue les ordres de Robinson, se fait payer avec les piĂšces de monnaie trouvĂ©es sur lâĂźle. Lâindien fabrique une pirogue pour visiter autour de lâĂźle. Chapitre 16 Vendredi apprivoise un couple de rats, se fait un bouclier avec la carapace dâune tortue et nourrit un petit vautour. Chapitre 17 Robinson retourne au fond de la grotte. Pendant son absence, Vendredi habille les cactus. Tenn et Vendredi jouent, Tenn sâenfonce dans la riziĂšre et Vendredi ouvre la vanne et faire baisser lâeau de la riziĂšre. Chapitre 18 Robinson apprend ce qui est arrivĂ© Ă la riziĂšre et se fĂąche, il part Ă la recherche de Vendredi et le trouve dans son hamac son repĂšre secret. Chapitre 19 Vendredi dĂ©couvre un nouveau passeÂtemps il fume la pipe. Explosion des 40 tonneau, destruction de lâĆuvre de Robinson. Tenn meurt dans lâexplosion. Chapitre 20 Les chĂšvres reviennent Ă lâĂ©tat sauvage. LâentrĂ©e de la grotte est bouchĂ©e. Seule la longueÂvue reste intacte. On dĂ©couvre le cadavre de Tenn. Chapitre 21 Nouvelle vie qui commence, sans rĂšgles. Vendredi passe des heures Ă confectionner des arcs et des flĂšches. Chapitre 22 Recettes de Vendredi et de Robinson. Chapitre 23 Ils se disputent pour la premiĂšre fois Ă propos dâun plat cuisinĂ© ; Robinson donne un coup de pied sur lâassiette de Vendredi. Vendredi est furieux et se sauve. Construction de la poupĂ©e Vendredi et de la poupĂ©e Robinson. Chapitre 24 Nouveau jeu = Vendredi se dĂ©guise en Robinson et viceÂversa. Chapitre 25 Vendredi trouve un tonneau de poudre et ils le font brĂ»ler. Ăa donne des flammes vertes. Chapitre 26 Jeux de mots. Chapitre 27 LâInvasion des perroquets, les deux communiquent par langage des signes. Chapitre 28 Nouveau jeu de Vendredi; il lutte avec les boucs et noue une liane autour du cou des vaincus. Recueille une petite chĂšvre blessĂ©e, Anda. Lutte contre Andoar, Vendredi est gravement blessĂ©. Il se rĂ©tablit et reprend le combat contre Andoar. Andoar meurt Chapitre 30-31 Utilise la peau de Andoar pour faire un cerf-Âvolant. Chapitres 32Â-33 Fabrication de lâinstrument de musique avec la tĂȘte dâAndoar. TempĂȘte qui fait jouer lâinstrument de musique. Chapitre 34 ArrivĂ©e dâun voilier appelĂ© Whitebird». Rencontre avec le commandant William Hunter. LâĂ©quipage dĂ©truit et incendie lâĂźle. Rencontre de Jean, le mousse. Robinson dĂ©jeune avec le commandant. DĂ©part du Whitebird, sans Robinson ni Vendredi ⊠Chapitre 35 Robinson, en se rĂ©veillant, va trouver Vendredi mais il nâest pas dans son hamac. Ses objets prĂ©fĂ©rĂ©s ont disparu, ainsi que Anda. Robinson fait le tour de lâĂźle pour le retrouver, pleure toutes les larmes de son corps. Jean est sur lâĂźle, avec Robinson. Voila, câest la fin de ce rĂ©sumĂ© de Vendredi ou la vie sauvage en espĂ©rant que ça vous a servi et que ça vous donnera envie de lire dâautres livres ! Ressources externes Pour avoir une autre version du rĂ©sumĂ© de Vendredi ou la vie sauvage. Recherches qui ont permis de trouver cet article resume vendredi ou la vie sauvagerĂ©sumĂ© de vendredi ou la vie sauvagerĂ©sumĂ© du livre vendredi ou la vie sauvagevendredi ou la vie sauvage chapitresvendredi ou la vie sauvage rĂ©sumĂ© des chapitresvendredi ou la vie sauvage rĂ©sumĂ© par chapitrevendredi ou la vie sauvage rĂ©sumĂ© chapitre par chapitrevendredi ou la vie sauvage rĂ©sumĂ© complet
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il était un capitaine résumé par chapitre