Cesont les signes normaux d'une grossesse. Ce qui doit principalement alerter, c'est le retard de rĂšgles chez les patientes avec un DIU en cuivre. Pour les patientes avec un stĂ©rilet hormonal, le diagnostic est plus difficile Ă  faire par les patientes car elles n’ont pas de rĂšgles du tout. Dans ce cas, ce seront les autres signes qui Maladies et traumatismes DĂ©terminants de santĂ© La santĂ© Ă  tout Ăąge Coronavirus COVID-19 Publications Espace Presse Études et enquĂȘtes A propos Cancers Les cancers reprĂ©sentent en France la premiĂšre cause de dĂ©cĂšs chez l’homme et la deuxiĂšme chez la femme. SantĂ© Publique France copilote la surveillance Ă©pidĂ©miologique et participe Ă  leur prĂ©vention. Tout savoir sur Cancers Maladies cardiovasculaires et accident vasculaire cĂ©rĂ©bral Les maladies cardiovasculaires regroupent un ensemble de troubles affectant le cƓur et les vaisseaux. Tout savoir sur Maladies cardiovasculaires et accident vasculaire cĂ©rĂ©bral Maladies d'origine tropicale Maladies et infections respiratoires Maladies infectieuses d'origine alimentaire Maladies liĂ©es au travail Dues Ă  des expositions professionnelles, les principales maladies en lien avec le travail sont surveillĂ©es par SantĂ© publique France dans l’objectif d’élaborer, avec les partenaires, les politiques publiques de prĂ©vention. Maladies liĂ©es au travail SantĂ© mentale Selon l’Organisation mondiale de la santĂ©, la santĂ© est un Ă©tat de complet bien-ĂȘtre physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmitĂ©. Tout savoir sur SantĂ© mentale Traumatismes Les traumatismes non intentionnels entraĂźnent chaque annĂ©e environ 40 000 dĂ©cĂšs, dont 21 000 dĂ©cĂšs suite Ă  un accident de la vie courante et plusieurs millions de recours aux urgences. Tout savoir sur les traumatismes et accidents de la vie courante Exposition Ă  des substances chimiques L’exposition Ă  des substances chimiques prĂ©sentes dans l’environnement ou en milieu de travail peut avoir des consĂ©quences nĂ©fastes sur la santĂ©. SantĂ© publique France met en Ɠuvre des dispositifs de surveillance pour caractĂ©riser et Ă©valuer leurs impacts sur la santĂ©. Tout savoir sur Exposition Ă  des substances chimiques La santĂ© Ă  tout Ăąge A chaque Ăąge correspondent des conditions de vie et des prĂ©occupations diffĂ©rentes. Il est donc cohĂ©rent de s’adresser diffĂ©remment aux personnes selon les diffĂ©rents Ăąges de la vie. EN SAVOIR PLUS 44La page que vous recherchez a sans doute changĂ© d’ pouvons vous aider Ă  la retrouver iciRetour Ă  l'accueil
Jai eu une seule fois mes rÚgles depuis, et c'est vrai que c'était plus abondant et plus long (beaucoup plus long!) que d'habitude. J'ai eu des spotting pendant 4 jours, puis 2 jours de rÚgles trÚs abondantes (je devais changer mes "serviettes de mamy" toutes les 1h30 à 2h), puis 4 ou 5 jours de rÚgles normales. Par contre
Forum Catholique LE MONASTÈRE le regard des trois Blancheurs, suivre JĂ©sus et Marie fut-ce au milieu des pires tempĂȘtes, mais dans la paix, la joie et l'amour. Rechercher Interne GoogleRĂ©sultats par Messages Sujets Tags Recherche avancĂ©eDerniers sujets» 29 aoĂ»t Martyre de Saint Jean-Baptiste DĂ©collationpar ami de la MisĂ©ricorde Hier Ă  2303» MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieupar ami de la MisĂ©ricorde Hier Ă  2242» Veillons et prions CHAPELET quotidien Ă  la Grotte de Françoise Hier Ă  1939» 28 aoĂ»t Saint Augustin d'Hipponepar ami de la MisĂ©ricorde Sam 27 AoĂ» - 2327» 10 aoĂ»t Sainte PhilomĂšnepar Tite Sam 27 AoĂ» - 2002» 27 aoĂ»t Saint AmĂ©dĂ©e de Clermont de Lausannepar ami de la MisĂ©ricorde Sam 27 AoĂ» - 851» La communion dans la mainpar Tite Ven 26 AoĂ» - 1643» La priĂšre des psaumes - par Françoise Jeu 25 AoĂ» - 2303» 26 aoĂ»t Sainte Marie de JĂ©sus crucifiĂ© Maryam Baouardypar ami de la MisĂ©ricorde Jeu 25 AoĂ» - 2302» Quand est-ce que l'Avertissement aura lieu?3 Ă©vĂšnements doivent d'abord arriver par Françoise Jeu 25 AoĂ» - 2123» 25 aoĂ»t Saint Louis Louis IXpar ami de la MisĂ©ricorde Mer 24 AoĂ» - 2301» ChaĂŻne d'amour - Louange vivante et Sylvain Françoise Mer 24 AoĂ» - 2206» 24 aoĂ»t Saint BarthĂ©lĂ©my NatanaĂ«lpar ami de la MisĂ©ricorde Mar 23 AoĂ» - 2224» Les 3 jours de tĂ©nĂšbre au Padre Pio Famille St Joseph - PĂšre JM Verlindepar Françoise Mar 23 AoĂ» - 1023» Les chĂątiments sont proches - Etes-vous prĂȘt ?par Françoise Mar 23 AoĂ» - 728» Les 3 jours de tĂ©nĂšbres du Padre PIO - un enseignement de Fabienne Françoise Mar 23 AoĂ» - 723» 23 aoĂ»t Saint Julien de Lescarpar ami de la MisĂ©ricorde Lun 22 AoĂ» - 2312» Le code Ratzingerpar ami de la MisĂ©ricorde Dim 21 AoĂ» - 2325» 22 aoĂ»t Marie Reinepar ami de la MisĂ©ricorde Dim 21 AoĂ» - 2256» Deux histoires inspirantes de NOEL/Huillam Daverec YouTube 18/12/2021par Françoise Dim 21 AoĂ» - 2032» 21 aoĂ»t Saint Pie Xpar ami de la MisĂ©ricorde Sam 20 AoĂ» - 2329» 20 aoĂ»t Saint Bernard de Clairvaux par ami de la MisĂ©ricorde Sam 20 AoĂ» - 2309» Le SERMON de l'EPIPHANIE - 10 janvier 2021 - Les Capucins de Morgon/ Françoise Sam 20 AoĂ» - 034» 19 aoĂ»t Saint Jean Eudes par ami de la MisĂ©ricorde Ven 19 AoĂ» - 037» 18 aoĂ»t Sainte HĂ©lĂšnepar ami de la MisĂ©ricorde Mer 17 AoĂ» - 2305» 17 aoĂ»t Bienheureuse Leopoldina Naudetpar ami de la MisĂ©ricorde Mer 17 AoĂ» - 2235» L'avenir de Paris et de la France selon la visionnaire Catherine Tite Mar 16 AoĂ» - 1441» 16 aoĂ»t Saint Etienne de Hongriepar ami de la MisĂ©ricorde Lun 15 AoĂ» - 2250» 15 aoĂ»t Assomption de la Vierge Mariepar ami de la MisĂ©ricorde Dim 14 AoĂ» - 2259» 14 aout Saint Maximilien Kolbepar ami de la MisĂ©ricorde Sam 13 AoĂ» - 2326» 13 aoĂ»t Saint DorothĂ©e de Gazapar ami de la MisĂ©ricorde Ven 12 AoĂ» - 2325» 12 aoĂ»t Sainte Jeanne-Françoise FrĂ©miot de Chantal par ami de la MisĂ©ricorde Jeu 11 AoĂ» - 2333» 11 aoĂ»t Sainte Claire d'Assise par ami de la MisĂ©ricorde Mer 10 AoĂ» - 2324» 10 aoĂ»t Saint Laurent de Romepar ami de la MisĂ©ricorde Mer 10 AoĂ» - 006» CRASHDEBUG Nostradamus - La fin des Temps - Saison 1 -par Françoise Mar 9 AoĂ» - 2112 Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau coffret Ultra Premium ... 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Il ne peut se dĂ©cider seulement [/ltr]dans les laboratoires de recherche trĂšs dĂ©sireux de travailler pour le bien commun ;dans des officines idĂ©ologiques, humanistes et/ou spirituelles qui peuvent s’opposer mais doivent dialoguer avec respect ;dans des concertations oĂč chacun peut s’exprimer sans nĂ©cessairement connaĂźtre rĂ©ellement la profondeur des sujets et leurs consĂ©quences ;dans les grands mĂ©dias qui ont souvent dĂ©jĂ  choisi leurs porte-paroles ;dans les secrets du sommet de l’État.[ltr]L’impossibilitĂ© de publier dans la grande presse Ă©crite comme audiovisuelle qui interroge toujours les mĂȘmes, la dĂ©formation frĂ©quente des propos, imposent face Ă  la censure invisible moderne, d’utiliser et de privilĂ©gier les rĂ©seaux Bilheran, ancienne Ă©lĂšve de l’école normale supĂ©rieure Ulm, consultante, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, parle Ă  juste titre de ”verrous de la pensĂ©e” qui mĂšnent au totalitarisme, par la police de la pensĂ©e. Pour Aude Lancelin[1] c’est ”la pensĂ©e en otage”.Les rĂ©flexions qui suivent sont le fruit d’une longue expĂ©rience, celle d’un chirurgien cancĂ©rologue passionnĂ© de l’Humain dans toutes ses dimensions, d’un travail personnel de longue date et des collaborations et conseils de collĂšgues des disciplines qui englobent les grands sujets bioĂ©thiques du sont rendues publique, en quatre lettres successives, adressĂ©es gratuitement Ă  prĂšs de 800 000 personnes. Elles sont destinĂ©es Ă  aider toutes les personnes intĂ©ressĂ©es Ă  participer aux dĂ©bats BioĂ©thiques. Ces dĂ©bats concernent autant la personne que le collectif. Le fait que la France soit le pays des droits de l’homme et du citoyen donne Ă  notre pays une responsabilitĂ© supplĂ©mentaire, impose une grande familles de mĂ©tropole, d’outre-mer et des pays de langue française, n’hĂ©sitez pas Ă  diffuser autour de vous ces rĂ©flexions essentielles pour l’avenir de notre pays et de l’Europe. Évidemment, il s’agit d’une contribution destinĂ©e Ă  vous Ă©clairer, et qui peut induire accords ou dĂ©saccords que je vous propose de m’adresser directement sur le site de l’association Ils me seront retransmis. Je vous rĂ©pondrai avec respect quels que soient vos dĂ©saccords. Dans tous les cas, ils me feront progresser en me donnant Ă  des lieux dĂ©but 2018L’élection du prĂ©sident Emmanuel Macron permettra-t-elle de grands changements en matiĂšre d’éthique ? Évidemment le politique est interrogĂ© sur ces sujets, et il devient dĂ©cisionnaire par la Loi. Nous connaissons tous les oppositions politiques stupides gauche divine progressiste, droite fasciste conservatrice
 Il faut en finir avec ces clichĂ©s qui frisent la pauvretĂ© mentale, mĂȘme en siĂšcle passĂ©, abominable sur le plan de l’Histoire », selon Jean d’Ormesson, a Ă©tĂ© formidable sur le plan de la Science. Or, Ethique et BioĂ©thique Ă©taient absents. La premiĂšre question Ă  se poser concerne les progrĂšs de la Science. Sont-ils synonymes de bien-ĂȘtre automatique pour tous ?Certaines avancĂ©es peuvent apparaĂźtre avec le temps comme des erreurs anthropologiques. Reconnaissons qu’il est difficile de reconnaĂźtre ses erreurs, de revenir en arriĂšre. Surtout Ă  un moment oĂč l’on nous fait rĂȘver avec le trans-humanisme, religion naissante. Loin de nous la pensĂ©e de refuser les fantastiques progrĂšs de la technique qui font leur preuve chaque jour au service de l’humain. Mais que penser de la post-modernitĂ©, de l’homme augmentĂ©, de l’intelligence artificielle IA, de l’identitĂ© mouvante, de la prolongation sans fin de la vie ?OĂč est le sens ? dit Bill Gates dont les moyens financiers sont considĂ©rables. Et que dire quand Larry Page, cofondateur de Google, veut nous transformer en logiciel, ou ramener Ă  la vie son pĂšre dĂ©cĂ©dĂ© il y a 25 ans ; quand Mark Zuckerberg et sa compagne Priscilla Chan prĂ©tendent terrasser les maladies graves ; quand Masayoshi Son propose pour 2050 la communication par tĂ©lĂ©pathie, la supra-intelligence, ou encore quand Elon Musk prĂ©voit de transporter certains privilĂ©giĂ©s sur la planĂšte Mars !?Le peuple français n’a pas besoin d’ĂȘtre brusquĂ© par des rĂ©formes sociĂ©tales dans le droit fil de celles qui nous ont Ă©tĂ© imposĂ©es, de maniĂšre purement pas dĂ©jĂ  objetisĂ© l’enfant pour les seuls dĂ©sirs adultes ? Et cela ne risque-t-il pas de se poursuivre dans la mĂȘme logique, sous le couvert d’une Ă©volution bioĂ©thique qui serait, selon certains, rendue nĂ©cessaire par le progrĂšs ?Comme le dit Paul Ricoeur dont le prĂ©sident de la RĂ©publique est un des disciples Il a fallu prĂšs de 2000 ans pour qu’il soit mis fin, lĂ©galement du moins, Ă  l’esclavage, c’est Ă  dire au droit de possession et donc de commerce appliquĂ© Ă  des personnes humaines.[2] » OĂč en sommes-nous sur ce sujet dans notre pays ?La science et l’éthique Ă©voluent ensembleLes capacitĂ©s de la science, mĂȘme si elles peuvent paraĂźtre illimitĂ©es, comme on cherche Ă  nous le faire croire, posent tellement de questions qu’il a Ă©tĂ© nĂ©cessaire de poser des limites Ă©thiques Ă  la science elle-mĂȘme. Ces limites sont en pratique souvent diffĂ©rentes, d’un Continent Ă  l’autre, d’un institut Ă  un autre. Les Ă©quipes qui se disent les plus avancĂ©es considĂšrent qu’elles jouent le rĂŽle de moteur. Les retardataires finiront par les rejoindre !L’évolution Ă©thique, si elle est logique en notre humanitĂ©, varie surtout selon les personnalitĂ©s des dirigeants. Le prĂ©sident du comitĂ© national d’éthique CCNE est nommĂ© chez nous par le prĂ©sident de la RĂ©publique. Imaginez une seule seconde Hitler ou Staline, Pinochet ou Chavez, Ben Laden ou le dernier Calife
 Quant aux participants du comitĂ© français chargĂ© de protĂ©ger les personnes, ils sont porteurs de formations et de conceptions philosophiques diffĂ©rentes, d’oĂč les difficultĂ©s de dangers de l’éthique existent bel et bien. Avec le temps, telle ou telle loi, ses consĂ©quences n’ayant pas Ă©tĂ© sagement anticipĂ©es, peut se rĂ©vĂ©ler contraire Ă  l’intĂ©rĂȘt de l’Homme, et donc Ă  proprement parler sujets sociĂ©taux de la vie quotidienneCes sujets de la modernitĂ© sont l’orgueil de l’Occident. Les orientaux en contestent certains, ouvertement ou en privĂ©, en observant et soulignant les dĂ©rives. Les Ă©volutions considĂ©rĂ©es comme inĂ©luctables sont-elles dĂ©finitives, alors que, comme les poupĂ©es russes, elles semblent s’emboĂźter inexorablement, enfermĂ©es les unes dans les autres ?Chronologie de la modernitĂ© en FranceEn moins d’un siĂšcle, des changements radicaux sont intervenus, essentiellement destinĂ©s Ă  combler les discriminations trop longtemps faites aux femmes. Il Ă©tait plus que temps ! Autant les femmes ont heureusement pu s’exprimer, et Ă  juste raison ne s’en sont pas privĂ©es, poursuivant leur combat, autant les enfants, s’ils sont l’objet de tant d’attentions, n’ont Ă  aucun moment la si le mot discrimination a pris un sens nĂ©gatif, alors qu’il signifie juger en faisant des distinctions, il participe du principe de rĂ©alitĂ© un homme est diffĂ©rent d’une femme et chaque adulte est diffĂ©rent d’un enfant, de mĂȘme qu’un adolescent est diffĂ©rent d’un nourrisson qui ne peut s’ distinctions, certains lobbies de grande puissance mĂ©diatique veulent les supprimer au nom de la lutte contre les l’enfant est en cause peut-il devenir objet ?Beaucoup d’adultes parlent en son nom. Or, il est impossible d’assimiler la parole d’un enfant Ă  celle d’un adulte. Etant le plus faible il doit ĂȘtre protĂ©gĂ© si sa vulnĂ©rabilitĂ© est reconnue de tous, elle impose logiquement de rĂ©flĂ©chir toujours dans l’intĂ©rĂȘt supĂ©rieur de l’enfant. Cet intĂ©rĂȘt supĂ©rieur n’est pas vraiment dĂ©fini par les textes nationaux ou internationaux. L’article 3 de la Convention internationale des droits des enfants en fait une considĂ©ration d’abord de suivre annĂ©e aprĂšs annĂ©e les grandes dates des changements sociĂ©taux de plus grande l’extraordinaire Ă©volution en moins d’un siĂšcle en France1941 PossibilitĂ© d’accoucher sous X – 1944 Droit de vote enfin donnĂ© aux femmes – 1950 La pilule contraceptive libĂšre les femmes des grossesses non-dĂ©sirĂ©es mais ne rend pas pour autant la paternitĂ© plus responsable – 1956 crĂ©ation du planning familial sous le nom de maternitĂ© heureuse » crĂ©ation antĂ©rieure sur le plan international- 1964 Obligation vaccinale contre DiphtĂ©rie-TĂ©tanos-Polio – 1962-1965 Concile Vatican II qui valorise le rĂŽle des laĂŻcs – 1964 Crimes contre l’humanitĂ© imprescriptibles – 1965 compte bancaire pour la femme indĂ©pendant de son mari et de son pĂšre – 1966 Adoption plĂ©niĂšre et adoption simple – 1967 lĂ©galisation de la pilule – mai 1968 rĂ©volution sexuelle, ”le sexe interdit devient obligatoire” – 1972 la crĂ©ation des CECOS Centres d’étude et de conservation des Ɠufs et du sperme humains – 1975 droit Ă  l’interruption volontaire de grossesse – 1978 naissance de Louise Brown premier enfant nĂ© par procrĂ©ation mĂ©dicalement assistĂ©e – Juin 1981 DĂ©but de l’épidĂ©mie du SIDA – Octobre 1981 abolition de la peine de mort – 1982 Amandine premier bĂ©bĂ© Ă©prouvette français – 1982 la majoritĂ© sexuelle est fixĂ©e Ă  15 ans – 1983 crĂ©ation du comitĂ© national d’éthique et de l’assistance mĂ©dicale Ă  la procrĂ©ation – 1990 un serment mĂ©dical remplace le serment d’Hippocrate – 1998 Convention de La Haye pour l’adoption internationale – 1998 Loi relative Ă  la prĂ©vention et Ă  la rĂ©pression des infractions sexuelles et Ă  la protection des mineurs – 1998 ProcĂšs du sang transfusĂ© aux hĂ©mophiles contaminĂ© par le virus du Sida – 2003 Lutte contre l’exploitation sexuelle des enfants et la pĂ©dopornographie – 2005 CrĂ©ation de l’agence française pour l’adoption – 2005 Loi pour l’égalitĂ© des droits et des chances, la participation et la citoyennetĂ© des personnes handicapĂ©es – 2006 Loi renforçant la prĂ©vention et la rĂ©pression des violences au sein du couple ou commises contre les mineurs – 2007 Loi portant rĂ©forme de la protection juridique des majeurs ouvrant Ă  un nombre significatif de personnes handicapĂ©es sous tutelle, le droit de voter – 2007 Loi relative Ă  la prĂ©vention de la dĂ©linquance par rĂ©seau de communication Ă©lectronique en vue de la protection de l’enfance, lutte contre la pĂ©dopornographie – 2012 le serment du conseil de l’ordre des mĂ©decins – 2013 le mariage et l’adoption pour tous – 2014 – Ă©volution lente vers la paritĂ© entre les femmes et les hommes Ă  l’AssemblĂ©e nationale et au SĂ©nat – 2017 vaccination obligatoire de tous les nourrissons dĂšs 2 mois contre 11 courte synthĂšse montre l’importance des Ă©volutions sociĂ©tales en un quart de siĂšcle concernant l’enfant, la femme, la santĂ©, la citoyenneté  Nul doute qu’on peut s’attendre dans les annĂ©es Ă  venir Ă  de nouvelles lois. Sont en attente au minimum l’imprescriptibilitĂ© des crimes pĂ©dophiles, l’ñge du consentement sexuel pour un mineur, l’évolution du suffrage universel obligation ? citoyennetĂ© dĂšs 16 ans ? handicaps de fin de vie ?.., adoptions
La plupart des dĂ©cisions, c’est le politique au pouvoir qui les a imposĂ©es en les justifiant au nom de la dĂ©mocratie aprĂšs de fortes campagnes mĂ©diatiques et dĂ©jĂ  souvent au nom de la lutte contre les discriminations. Elles sont entrĂ©es dans les mƓurs. Ricoeur les aurait-il intĂ©grĂ©es dans l’hygiĂšne de la pensĂ©e sans nier le principe de rĂ©alitĂ© ?En 2018 les Français sont confrontĂ©s, dans le dĂ©bat bioĂ©thique, Ă  au moins trois sujets majeurs. Les rĂ©sultats sont-ils connus d’avance comme le craignent certains, les États gĂ©nĂ©raux de la BioĂ©thique n’étant alors qu’une mascarade comme le fut la concertation citoyenne sur la vaccination en 2016 ?La majoritĂ© actuelle Ă  l’AssemblĂ©e nationale a-t-elle une connaissance et une maturitĂ© suffisantes pour dĂ©cider de la bioĂ©thique, dictĂ©e d’en haut, quand l’opinion publique est de plus en plus fabriquĂ©e par des groupes de pression manipulateurs de sondages et de l’information. Trois sujets majeurs sont abordĂ©s dans ces Ă©tats gĂ©nĂ©raux. – I. La ProcrĂ©ation MĂ©dicalement AssistĂ©e PMA pour toutes les femmes, avec la possibilitĂ© d’évoluer vers la Grossesse Pour Autrui GPA fortement rĂ©clamĂ©e par des lobbies trĂšs mĂ©diatiques et fortement soutenus financiĂšrement. – II. L’avancĂ©e des droits sexuels » pour les enfants, promus par le ministĂšre de la santĂ©, en partenariat avec le ministĂšre de l’Education nationale, notamment avec le plan StratĂ©gie santĂ© sexuelle 2017-2030 ».Quel sera l’ñge pour le consentement d’un mineur Ă  une relation sexuelle avec un adulte ? L’inquiĂ©tude reste justifiĂ©e quand certains poussent en faveur d’une pĂ©dophilie qui serait une orientation sexuelle » comme une autre. Ainsi, il ne faudrait pas discriminer le pĂ©dophile, qui souffre en rĂ©alitĂ© d’une authentique maladie dont on recherche encore les causes.– III. L’euthanasie pour tous lĂ©galisĂ©e, qui nous ferait rattraper notre retard » par rapport Ă  d’autres pays europĂ©ens. Ces trois sujets de sociĂ©tĂ© sont rĂ©clamĂ©s Ă  cor et Ă  cris par certains. Ils veulent que la loi les impose. Quant aux citoyens, sont-ils vraiment conscients de leurs consĂ©quences ? Rien n’est moins trois sujets, nous les aborderons avec beaucoup d’humilitĂ© et d’arguments scientifiques dans les trois prochaines Ă  vous tous, Pr Henri Joyeux Sources[1] La pensĂ©e en otage – s’armer intellectuellement contre les mĂ©dias dominants – LLL 2018[2] Paul Ricoeur, AndrĂ© LaCoque Penser la Bible – Seuil 1998[/ltr][ltr]La Lettre du Professeur Joyeux est un service d’information santĂ© indĂ©pendant et gratuit, spĂ©cialisĂ© dans la prĂ©vention des maladies auprĂšs du grand public et des familles. Pour vous inscrire Ă  la lettre, cliquez ici. Les informations de cette lettre d’information sont publiĂ©es Ă  titre purement informatif et ne peuvent ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme des conseils mĂ©dicaux personnalisĂ©s. Aucun traitement ne devrait ĂȘtre entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandĂ© au lecteur de consulter des professionnels de santĂ© dĂ»ment homologuĂ©s auprĂšs des autoritĂ©s sanitaires pour toute question relative Ă  leur santĂ© et leur bien-ĂȘtre. Aucune des informations ou de produits mentionnĂ©s sur ce site ne sont destinĂ©s Ă  diagnostiquer, traiter, attĂ©nuer ou guĂ©rir une maladie.[/ltr] FrançoiseconsacrĂ©Messages 7626Date d'inscription 12/06/2016Sujet Re Etats gĂ©nĂ©raux de la bioĂ©thique par le professeur Joyeux. Mer 14 Mar - 1521 ... Juste pour info Lettre "BioĂ©thique" n° 2 du Professeur Henri connaissance ici bioĂ©thique n°II, l’annĂ©e de la luciditĂ©L’avenir de l’humain De la PMA Ă  la GPA pour tous 10 arguments contre Comment Ă©volue la mĂ©decine et comment on l’utilise ?De quoi s’agit- il ?Vers les droits sexuels et reproductifs » pour tousAu nom des droits Ă©gaux Ă  tous les citoyens, face Ă  une stĂ©rilitĂ© sociale fĂ©minine ou masculine, donc non liĂ©e Ă  une maladie, on entend promouvoir la procrĂ©ation mĂ©dicalement assistĂ©e pour toute femme ou tout homme dĂ©sireux d’avoir un enfant. Et cela, quel que soit le statut civil marital, pacs ou cĂ©libataire et l’orientation sexuelle hĂ©tĂ©ro-, homo-, bi-, trans-. Il devient donc interdit de faire la moindre diffĂ©rence entre les uns et les autres, car il s’agirait lĂ  d’une discrimination intolĂ©rable. Les enfants Ă  venir n’auront qu’à s’adapter Ă  tous les dĂ©sirs des adultes. VoilĂ  la base du projet. Les Ă©tats gĂ©nĂ©raux de la bioĂ©thique de 2018 donneront Ă©videmment leur avis sur ce sujet sociĂ©tal, qui se transformera rapidement en projet de loi. DĂ©jĂ , le ComitĂ© Consultatif National d’Éthique CCNE a Ă©mis un avis favorable Ă  la PMA pour toutes les femmes, au nom du tout est possible. Il a Ă©tĂ© fortement repris dans tous les mĂ©dias et a fait la joie des groupes hyper-fĂ©ministes et LGBT trĂšs implantĂ©s mĂ©diatiquement. Pour avoir des enfants Ă  tout prix, les femmes et les hommes qui se reconnaissent dans ces mouvements entendent se passer de l’autre sexe. En cela, nous sortons du cadre mĂ©dical destinĂ© Ă  soigner ou Ă  contourner une incapacitĂ© liĂ©e Ă  une pathologie qui empĂȘche de transmettre la vie, pour entrer dans le cadre d’un dĂ©sir sociĂ©tal qui se sert de la mĂ©decine. LĂ  est le problĂšme bioĂ©thique. Quant Ă  l’enfant, il devient l’objet dĂ©sirĂ©, les adultes parlent Ă  sa place. L’extension de la PMA vers les hommes imposerait la greffe d’utĂ©rusSi la PMA reste uniquement rĂ©servĂ©e aux femmes, les hommes vivant ensemble, ou les hommes seuls, n’auront pas la possibilitĂ© de concevoir, sauf si on leur greffe un utĂ©rus, devenant ainsi chirurgicalement et hormonalement transsexuels. Chez la femme, l'absence d’utĂ©rus par la naissance ou par traumatisme accidentel est une maladie. Chez l’homme, le serait-elle aussi ? Cette approche fait partie de la thĂ©orie du genre, de l’identitĂ© mouvante. Si les techniques mĂ©dicales de procrĂ©ation rendent dĂ©sormais possible la grossesse chez la femme sans utĂ©rus par la greffe, et de mĂȘme chez l’homme au nom du simple dĂ©sir d’adultes, pourquoi s’en priver ? Est-ce humainement raisonnable ? La greffe d’utĂ©rus – don d’organe - n’est plus seulement une perspective ; l’utĂ©rus provenant Ă©videmment d’une femme donneuse vivante ou dĂ©cĂ©dĂ©e. Si la greffe ne prend pas et/ou si l’homme ne veut pas de cette transplantation, alors que faire au nom de l’égalitĂ© parfaite entre homme et femme, au nom de la fin de la discrimination procrĂ©ative ? La fin des discriminations dans le domaine de la procrĂ©ation ?La science mĂ©dicale peut-elle supprimer la discrimination qui empĂȘche un homme de concevoir ou d’avoir un enfant sans s’unir intimement Ă  une femme ? La rĂ©ponse est positive. Il s’agit donc d’éviter, de gommer toutes les discriminations en matiĂšre de genre, de sexualitĂ© et de transmission de la vie. Si la science en est capable, le politique doit entrer en jeu pour l’autoriser ou l’interdire, mĂȘme s’il s’agit d’un trĂšs petit nombre de personnes. Comme nous allons le voir, les perspectives mĂ©dicales et scientifiques se mettent en place pas Ă  pas dans le cadre d’une Ă©volution sociĂ©tale qui peut largement profiter Ă  d’autres lobbies, comme les laboratoires pharmaceutiques. Car il faudra des hormones artificielles fĂ©minines pour que l’homme puisse mener Ă  bien sa grossesse tant dĂ©sirĂ©e. Vers la fin des rĂšgles puisque les hommes ne les ont pas ! La pilule en que le pilule ait du plomb dans l’aile [1], puisque les hommes n’ont pas Ă  subir le phĂ©nomĂšne cyclique hormonal des rĂšgles et de leurs complications de plus en plus mĂ©diatisĂ©es chez les jeunes femmes anĂ©mie, fatigue et irritabilitĂ©, infection gĂ©nitale, endomĂ©triose, hygiĂšne pĂ©nible.., il faut le supprimer. Les laboratoires commencent donc Ă  proposer la pilule en continu que certains gynĂ©cologues, y compris universitaires haut placĂ©s, prĂŽnent sans jamais en signaler les dangers rĂ©els. Au nom de la modernitĂ©, du trans-humanisme, de la science pure et dure. Puisque c’est possible faisons le ! Certains affirment dĂ©jĂ  sans aucune preuve que les femmes seront en meilleure santĂ© moins de cancers hormono-dĂ©pendants le cancĂ©rologue que je suis vous affirme que ce sera l’inverse parce que cela l’est dĂ©jĂ  ! et diminution de l’endomĂ©triose ce qui n’est pas impossible puisqu’il n’y aurait plus de reflux du sang des rĂšgles vers les trompes lorsque le tampon obstrue la voie gĂ©nitale. Moins d’infections gĂ©nitales aussi, ce qui est une erreur grossiĂšre, car les hormones synthĂ©tiques donnĂ©es Ă  fortes doses pour bloquer les hormones fabriquĂ©es par les ovaires rĂ©duisent les dĂ©fenses immunitaires et favorisent les infections virales, bactĂ©riennes et fungiques candidoses. Les dĂ©penses de santĂ© Ă  prĂ©voir, n’en doutons pas, seront longtemps cachĂ©es et mĂȘme prĂ©sentĂ©es pour les faire accepter comme des Ă©conomies. La nature ne coĂ»te rien, la contrarier se paye cher ! Le stĂ©rilet hormonal de plus en plus jeuneSavez-vous aussi que le stĂ©rilet hormonal Mirena 124€ au lieu de 24€ pour le stĂ©rilet au cuivre qui pourrait ĂȘtre abandonnĂ© prochainement est proposĂ© aux femmes, dans le but - sans le dire car la femme s’en rend compte toute seule - de rĂ©duire jusqu’à supprimer les rĂšgles. La publicitĂ© pour ce stĂ©rilet hormonal va Ă©videmment dans le sens de la santĂ©, proposĂ© d’abord comme moyen de contraception autour de l’ñge de la mĂ©nopause et dĂ©sormais de plus en plus tĂŽt – dĂšs 40 ans – quand la famille est terminĂ©e et que l’on considĂšre le flux menstruel comme trop abondant au lieu de traiter les causes. Quant aux consĂ©quences locales et gĂ©nĂ©rales des hormones exogĂšnes prĂ©sentes dans le stĂ©rilet, elles sont totalement occultĂ©es. Les femmes ainsi masculinisĂ©es et les hommes fĂ©minisĂ©s, voilĂ  enfin l’égalitĂ© acquise. Reste donc Ă  trouver la solution pour supprimer totalement et dĂ©finitivement la discrimination qui empĂȘche actuellement un homme ou deux hommes vivant ensemble d’avoir un enfant. Vers la Grossesse Pour Autrui GPA pour tous l’enfant objet !Si l’on pense vraiment qu’il y a discrimination, et puisque les femmes peuvent concevoir, pourquoi cela serait-il interdit aux hommes ? Il leur reste donc Ă  choisir la GPA. La science mĂ©dicale, dans le cadre des progrĂšs de l’évolution sociĂ©tale, peut en effet rĂ©soudre ce problĂšme en permettant la Grossesse Pour Autrui GPA. Une femme porte la grossesse et, gĂ©nĂ©reusement !!??, donne l’enfant qu’elle a conçu Ă  une personne ou un couple qui l’a commandĂ©. La conception a pu avoir lieu avec la semence de l’homme futur pĂšre ou d’un donneur anonyme et l’ovule d’un transsexuel ou d’une donneuse anonyme et gĂ©nĂ©reuse ou encore de la mĂšre porteuse elle-mĂȘme. Ce qui se fait dans le cadre vĂ©tĂ©rinaire est passĂ© chez nous les humains. Puisque c’est possible techniquement, faisons-le ! La mĂ©decine instrumentalisĂ©eQuant Ă  savoir quel en sera le coĂ»t, peu importe nous dit-on. L’assurance maladie, c’est Ă  dire la collectivitĂ©, prendra tout en charge au nom de l’égalitĂ©, comme nous prenons en charge les consĂ©quences de comportements irresponsables qu’il serait trop long de dĂ©tailler ici. C’est donc ce que la Loi devrait dire – prise en charge Ă  100% - et ce qu’exigent les lobbies qui veulent que la PMA pour tous conduise tout simplement Ă  la GPA pour tous. Ces exigences sont-elles vraiment humainement cohĂ©rentes de la part d’adultes en besoin affectif d’enfants, et plus encore si l’on pense aux enfants eux-mĂȘmes ? On sait dĂ©jĂ  que si la loi ne passe pas en France, tout cela est dĂ©jĂ  possible au-delĂ  de nos frontiĂšres, tout simplement en payant ou en faisant appel Ă  quelques sponsors ou parrains gĂ©nĂ©reux et comprĂ©hensifs de la souffrance discriminante. Je crains donc qu’au nom de la fin des discriminations, au nom de la justice laquelle ?, de la gĂ©nĂ©rositĂ© et de l’amour de l’enfant, les lobbies trĂšs actifs sur le sujet de l’idĂ©ologie du genre obtiennent satisfaction lĂ©galement pour avoir droit Ă  l’enfant-objet. VoilĂ  ce que seront les droits sexuels et reproductifs » si la majoritĂ© de nos dĂ©putĂ©s les votent sans connaĂźtre vraiment les enjeux et consĂ©quences. En 2017, un homme transgenre a fait la Une des mĂ©dias aux USA. NĂ© femme, il prend, dĂšs l’ñge de 19 ans, des hormones masculines, puis les arrĂȘte pour une grossesse. Ayant conservĂ© son utĂ©rus, il accouche en juillet 2017 d’un petit garçon, LĂ©o. Les mĂ©dias l’ont prĂ©sentĂ©, barbu, pour faire Ă©tat de sa virilitĂ©, pĂšre et mĂšre Ă  la fois, comme un hĂ©ros de la science moderne. Alors comment le droit français Ă©vitera-t-il ce que souhaite le PrĂ©sident Macron ? Qu'on ne puisse pas passer de la PMA Ă  la GPA subrepticement ? », sachant que la reconnaissance de la GPA Ă  l’étranger Ă©tait dĂ©jĂ  dans son programme [2]. Les enfants issus de celle-ci auraient donc deux parents lĂ©gaux en France [3]. Évidemment ce n’est pas Ă  l’enfant Ă  porter des dĂ©cisions parentales incohĂ©rentes. Mais qui les rend incohĂ©rentes sinon les mĂ©decins qui ne savent pas dire non et justifier leur dĂ©cision, ou alors quelques intĂ©rĂȘts financier et publicitaire ?? Ainsi, les techniques mĂ©dicales de procrĂ©ation assistĂ©e ne seraient plus seulement faites pour soigner l'infertilitĂ© maladie mais l’infertilitĂ© sociale, dĂ©tournant la mĂ©decine de son but tout en disant le contraire c’est du soin, alors qu’elle est instrumentalisĂ©e. Et l’enfant que peut dire le BĂ©bĂ© commercial ? Deviendrait-il le doudou des adultes ?Le dĂ©sir d’enfant se transforme donc en droit Ă  l’enfant, qui ne serait plus que le fruit de la volontĂ© d’adultes un enfant parce que je le veux et je le vaux bien. ». Mais il ne faudrait pas perdre de vue que la commande de GPA peut tout aussi bien s’évanouir si le couple plus ou moins stable ou la personne commanditaire change d’avis en cours de grossesse. Tout est possible dans ces situations fragiles, jusqu’à arrĂȘter de dĂ©sirer l’enfant commandĂ© sur un coup de tĂȘte, ne plus user de son droit et revendre l’enfant comme un vulgaire objet qui ne plait plus. Faudra-t-il mettre en place ou interdire le dĂ©lai de rĂ©tractation ? Croyez-vous, un seul instant, au don gĂ©nĂ©reux d’une femme porteuse d’un enfant pendant 9 mois ? Soyons lucides, il s’agit d’un bĂ©bĂ© commercial ! Il n’aura aucun des gĂšnes, ou seulement une partie, de sa mĂšre porteuse au minimum par les processus Ă©pigĂ©nĂ©tiques. Il lui sera enlevĂ©-arrachĂ© Ă  la naissance, alors qu’elle l’aura suivi dans son dĂ©veloppement avec la dĂ©licatesse du corps mĂ©dical. Quand on sait ce que reprĂ©sente une grossesse et qu’existe la possibilitĂ© d’adopter un enfant – et il y en a tant Ă  adopter sur la terre entiĂšre ! – avec 30 000 couples en France qui ont l’agrĂ©ment pour adopter et 220 000 interruptions volontaires de grossesses chaque annĂ©e dans notre pays, soit 6 enfants potentiellement normaux chaque jour dans chacun de nos 100 dĂ©partements. N’est-ce pas Ă  une loi sur l’adoption qu’il faut rĂ©flĂ©chir en prioritĂ© afin qu’elle soit proposĂ©e Ă  toutes ces personnes qui ont un fort dĂ©sir d’enfant ? En effet, ne voit-on pas la diffĂ©rence entre l’enfant adoptĂ©, donnĂ© gĂ©nĂ©reusement par une femme tombĂ©e enceinte » sans avoir vraiment le dĂ©sir d’enfant et/ou incapable de lui donner ce dont il aura besoin pour grandir, et l’enfant conçu dans des conditions abracadabrantesques, vendu comme un objet ? Accepter bouche bĂ©e la Grossesse Pour Autrui sans en connaĂźtre les enjeux, et en particulier les dangers, est une immense erreur qui conduit Ă  une impasse anthropologique. Il est indispensable d’acquĂ©rir des connaissances scientifiques et de mener une vraie rĂ©flexion Ă©thique. En effet, l’acceptation de la PMA pour tous conduira inĂ©luctablement vers la GPA pour tous sauf Ă  prendre en considĂ©ration les 10 arguments suivants, 7 scientifiques et 3 Ă©thiques. Les 10 arguments 7 scientifiques et 3 Ă©thiques pour que la PMA ne glisse pas subrepticement vers la GPAScientifique 1 – Les interfĂ©rences immunitĂ© et gĂ©nĂ©tique mĂšre-enfantLes passages trans-placentaires des immunoglobulines entre la mĂšre porteuse et l’enfant crĂ©ent des liens spĂ©cifiques de protection immunitaire et mĂȘme Ă©pi-gĂ©nĂ©tiques agissant sur les gĂšnes de l’enfant Ă  naĂźtre, de plus en plus reconnus et encore objets de recherche [4]. Ils sont indĂ©pendants des liens affectifs. Scientifique 2 – Les liens mĂšre-fƓtus dĂ©jĂ  au niveau du langageLe cerveau du fƓtus est capable de commencer Ă  dĂ©crypter le langage de sa mĂšre porteuse et d’en mĂ©moriser certains Ă©lĂ©ments [5]. Faudra-t-il que la mĂšre porteuse se taise tout le temps de la grossesse ou passe des enregistrements de la voix de la mĂšre ou des parents acheteurs-receveurs pour ne pas perturber le bĂ©bĂ© commercial ? Le corps mouvant et parlant de la mĂšre agit en effet sur le fƓtus et influence son acquisition du langage, d’oĂč des risques de dyslalie trouble de la parole de l’enfant dans le futur. Scientifique 3 – Une AMP qui devient GPA augmente les risques d’anomalies de naissance selon les techniques de procrĂ©ationChez les mĂšres porteuses par transfert d’embryon, selon de nombreuses Ă©tudes citĂ©es in 10th Ă©dition 2016 du The Developping Human – Clinically oriented Embryology [6] », on observe chez le nouveau nĂ© plus d’anomalies de naissance [7], comprenant des tumeurs malignes embryonnaires et des changements chromosomiques. Cela dĂ©pend aussi des techniques d’AMP utilisĂ©es. Evidemment tous les risques sont minimisĂ©s, tellement qu’il est inscrit dans nos CHU dans le rapport les explicitant Ces risques sont minimes, et leur description ne doit pas vous inquiĂ©ter. » Pourtant notre collĂšgue Michael Davies de l'universitĂ© d'Adelaide et ses collĂšgues ont examinĂ© et publiĂ© en 2012 prĂšs de naissances du registre des naissances et interruptions de grossesse d'Australie du Sud, dont issues d'une conception assistĂ©e. Le risque d'anomalies congĂ©nitales y compris les infirmitĂ©s motrices cĂ©rĂ©brales Ă©tait significativement augmentĂ© de 28% avec l'AMP par rapport aux conceptions sans AMP. Il Ă©tait significativement augmentĂ© avec la fĂ©condation in vitro classique FIV d'une part et l'Icsi Injection d’un seul spermatozoĂŻde dans le cytoplasme de l’ovule lors d’une infertilitĂ© masculine d'autre part, mais aprĂšs ajustement en fonction des facteurs parentaux, le risque Ă©tait significatif avec l'Icsi uniquement, augmentĂ© de 57%. L'AMP sans manipulation des gamĂštes excluant donc l'Icsi et la FIV –FĂ©condation In Vitro ainsi que les transferts de gamĂštes intra-fallopiens, dans la ou les trompes utĂ©rines Ă©taient Ă©galement associĂ©e Ă  un risque accru d'anomalies congĂ©nitales, augmentĂ© de 24%. » Scientifique 4 - L’enfant commercial n’aura pas droit Ă  l’allaitement maternelC’est pourtant la meilleure protection de la santĂ© du nourrisson – permettant de reculer l’ñge des premiĂšres et excessives vaccinations – ou bien faudra-t-il que la mĂšre porteuse produise et vende en plus son lait Ă  la famille receveuse ? Veut-on revenir aux nourrices italiennes qui, au dĂ©but du XXe siĂšcle, ont nourri tant de petits français ? Scientifique 5 – La biologie ne peut pas GPA supprime l’altĂ©ritĂ© sexuelle pour l’enfant, plus ou moins achetĂ© par un couple d’hommes, comme par un couple de femmes qui seraient toutes deux stĂ©riles. La biologie ne ment pas. Pour faire un enfant, il faut unir les gamĂštes masculins et fĂ©minins et un couple homme-femme pour que l’enfant rĂȘve de ses origines, car il est identique Ă  l’un et radicalement diffĂ©rent de l’autre. Les chromosomes ne mentent pas non plus. On est XX, ou XY. Pourquoi et au nom de quoi veut-on remettre en question ce modĂšle si fondamental, patrimoine de nos origines ? Le suivi des enfants adoptĂ©s ou bien issus d’AMP Aide MĂ©dicale Ă  la ProcrĂ©ation nous a appris que ce n’est pas seulement le lien biologique qui permet Ă  l’enfant de se construire, mais le lien psychique de ses parents d’adoption. Cet argument est utilisĂ© pour mettre sur le mĂȘme plan, parents de mĂȘme sexe et de sexes diffĂ©rents, et Ă©viter ainsi toute discrimination entre couples. Lorsque l’enfant est tout petit, cette similitude se comprend, mais Ă  l’adolescence en sera-t-il de mĂȘme ? Il n’est qu’à suivre le nombre d’adolescents qui sont aujourd’hui en conflit avec leurs parents quels qu’ils soient. On veut nous faire croire qu’avec deux parents de mĂȘme sexe cela se passera mieux qu’avec deux parents de sexes diffĂ©rents. Des mĂ©dias, sans la moindre preuve, l’affirment dĂ©jĂ , poussĂ©s par les puissants lobbies dont nous avons dĂ©jĂ  parlĂ©. lettre BioĂ©thique n°1 Parmi les enjeux psychiques de l’AMP, ou plus encore de la GPA, le malaise de l’enfant le pousse toujours Ă  retourner dans le passĂ© au lieu de construire sa vie vers l’avenir, car il y a une souffrance d’origine. Veut-on imposer cette souffrance Ă  l’enfant sur la seule dĂ©cision d’adultes qui auraient des besoins » ou des dĂ©sirs » d'enfants créés pour eux et sur mesure » ? On est bien loin du lien altruiste qui adopte un enfant en souffrance, abandonnĂ©, en mal de parents. On est bien loin aussi de l’enfant donnĂ© » et non abandonnĂ© par une mĂšre, ou mĂȘme par deux parents lucides, conscients de leur impossibilitĂ© Ă  lui apporter ce dont il a besoin. Scientifique 6 – La GPA, une expĂ©rimentation humaine construite par des adultes, qui refusent et dĂ©nient la filiationLa fin de la filiation et d’une filiation crĂ©dible pour laquelle, n’ayant aucun recul, on joue aux apprentis sorciers aux dĂ©pens de l’enfant. On le coupe radicalement de la scĂšne de sa naissance et de ses origines gĂ©nĂ©alogiques. La filiation persistera-t-elle dans le projet de loi ? L’acte de naissance dĂ©nie alors la naissance propre Ă  l’engendrement, Ă  l’histoire. Et le besoin de diffĂ©rence auprĂšs d’un homme et d’une femme disparait. Combien d’errances filiatives pour rechercher son pĂšre spermatique, sa mĂšre ovulaire ou porteuse, ou ses gĂ©nĂ©reux donneurs prĂ©sents dans quelques documents secrets Ă  l'hĂŽpital qu'on hĂ©site Ă  ouvrir au nom de la vĂ©ritĂ© biologique » ? À un moment oĂč les grands-parents jouent un rĂŽle de plus en plus important, que dira-t-on Ă  ces enfants issus de GPA, quels grands-parents fictifs leur trouvera-t-on ? L’amour parental prend donc le relais des origines interrompues que l’enfant a tant besoin de rĂ©parer. Il reste toujours une souffrance de l’adoption chez l’enfant, quelle que soit la quantitĂ© d’amour reçu, et mĂȘme s’il est parvenu Ă  compenser en grande partie le traumatisme originel. Scientifique 7 – Avec la GPA, veut-on faire courir les risques de souffrance psychique grave voire de psychose chez l’enfant ?Les risques mĂȘme tardifs de psychose grave connue sous le nom d'empreinte », sont possibles suite aux circonstances de la naissance, du fait du lien indissoluble entre un nouveau-nĂ© et la femme qui l’a portĂ©. Imaginez l’achat-adoption d’enfants par des personnes transgenres. Pensez-vous vraiment qu’il s’agit de l’intĂ©rĂȘt supĂ©rieur de l’enfant ? Qu’est-ce que l’enfant comprendra de ses origines et comment vivra-t-il les grandes diffĂ©rences comparĂ©es aux origines des jeunes de sa gĂ©nĂ©ration ? Ethique 1 – La GPA, le nouvel esclavage de la FemmeLe corps gĂ©nital-reproductif de la femme peut-il ĂȘtre mis en location-vente, comme cela se faisait plus largement au temps des esclavages, et encore aujourd'hui avec la prostitution, pour le seul plaisir d’exploiteurs masculins ? Ethique 2 – La marchandisation de l’enfant-objet finies gĂ©nĂ©rositĂ© et gratuitĂ©En cas d’anomalie de naissance, que devient la marchandisation de la procrĂ©ation de l’enfant commercial ? Faudra-il une clause de perfection et alors laquelle ?, ou un contrat de propriĂ©tĂ© du ou des receveurs, dĂšs la conception dans le corps de la mĂšre porteuse, quel que soit l’état futur de l’enfant ? Les juristes sont capables d’organiser de telles relations, mais seront-elles construites dans l’intĂ©rĂȘt supĂ©rieur de l’enfant ou dans celui des parents ? A quand une grande loi intelligente et gĂ©nĂ©reuse sur l’Adoption ! Ethique 3 –Droits des parents mais pas de droits des enfants l’enfant cobaye ?Nous devons bien comprendre que le plaisir de certains, qui souvent s’arrogent des pouvoirs sociĂ©taux pour justifier et pousser le politique Ă  normaliser des situations humaines incongrues, fait certainement les choux gras de leur recherche, mais pas nĂ©cessairement le bonheur de la personne qu’ils Ă©tudient et de celles qui l’entourent. ********************************* L’enfant ne doit ĂȘtre ni tirĂ© au sort car telle Ă©tait la rĂ©ponse des ministres de la justice et de la famille Ă  la question de l’attribution d’un enfant adoptable par des couples de mĂȘme sexe ou de sexes diffĂ©rents avant la loi pour le mariage pour tous, ni objet de recherches quand l’adulte le programme dans une situation fragilisĂ©e a priori, et dans le seul but de voir comment il va Ă©voluer. Ce n’est pas parce que cela se fait chez les animaux que nous pouvons nous arroger le droit de le faire chez le petit humain qui est dans l’incapacitĂ© de s’exprimer, alors mĂȘme qu’il comprend, engramme et trace en sa mĂ©moire le maximum de ce qu’on lui impose. Tandis que l’adoption consiste Ă  accueillir un enfant qui a besoin de parents, la GPA revient Ă  crĂ©er spĂ©cialement un enfant pour rĂ©pondre Ă  des besoins de parents, soit exactement le contraire, cela alors mĂȘme que de nombreux enfants souffrent du manque de leur pĂšre et mĂšre, et se trouvent abandonnĂ©s, dans notre vaste monde. Nous partageons toutes les conclusions du Collectif pour le respect de la personne CoRP E-Mail constituĂ© de femmes et d’hommes, universitaires, scientifiques et philosophes en pleine activitĂ©, dont les recherches et travaux sont de dimension internationale. Ils rappellent avec sagesse que la Convention internationale des droits de l’enfant promeut l’intĂ©rĂȘt supĂ©rieur de l’enfant ; la France interdit et doit maintenir l’interdiction la GPA en raison de l’indisponibilitĂ© de l’état des personnes et de la non-patrimonialitĂ© du corps humain. De mĂȘme, le CoRP exprime sa prĂ©occupation quant Ă  l’emploi, par le dĂ©fenseur des droits, de l’expression parent d’intention », empruntĂ©e au vocabulaire de certains sociologues et des lobbies promoteurs de la GPA. Preuve supplĂ©mentaire que les idĂ©ologies de la modernitĂ© ne sont pas sans consĂ©quence pour les enfants. Pour des raisons d’indĂ©pendance, le CoRP a lancĂ© une campagne d'appel aux dons dĂ©ductibles jusqu’à 66% pour l’impĂŽt sur le revenu pour financer ses actions 2018 axer le travail sur la sensibilisation des publics pour l'abolition de la GPA - "Gestation pour Autrui" dont les victimes sont les plus fragiles des mĂšres et des enfants. Ainsi, ce qui est abusivement appelĂ© progrĂšs » en matiĂšre de droit Ă  l’enfant est en rĂ©alitĂ© une rĂ©gression jusqu’à la toute puissance infantile, puisque le dĂ©sir fait dĂ©sormais loi ». Qui aura le courage – en dehors du Dr Pierre Levy-Soussan [8]et d’autres collĂšgues qui n’ont pas droit Ă  la parole publique et mĂ©diatique – de montrer, d’anticiper les achoppements, les difficultĂ©s, les malaises de ces enfants ? Le droit Ă  l’enfant pour infertilitĂ© sociale est un non-sens anthropologique que l’on cherche Ă  imposer Ă  la sociĂ©tĂ© pour des raisons idĂ©ologiques. La solidaritĂ© nationale est destinĂ©e Ă  la santĂ© de tous et pas aux dĂ©sirs de quelques-uns qui font de l’enfant un objet. N’hĂ©sitez pas Ă  diffuser cette lettre Ă  toutes les personnes qui participent aux Ă©tats gĂ©nĂ©raux de BioĂ©thique afin que les lois bioĂ©thiques de fin d’annĂ©e 2018 soient d’abord dans l’intĂ©rĂȘt supĂ©rieur des enfants. Ne tombez pas dans les filets des arguments Ă©motionnels qui manquent de sĂ©rieux scientifique et vous feraient croire que l’utĂ©rus d’une femme peut se louer comme autrefois on louait des bras pour une journĂ©e. MĂ©fiez-vous des dĂ©bats publics plus ou moins tronquĂ©s ou manipulĂ©s oĂč s’affrontent des points de vue dits irrĂ©conciliables, oĂč la haine d’un cĂŽtĂ© comme de l’autre est utilisĂ©e comme argument pour ne pas avancer. Cette annĂ©e de la luciditĂ© risque de dĂ©raper comme cela s’est passĂ© dĂ©jĂ  dans plusieurs villes. Rien ne sert de mĂ©priser qui que ce soit ou quelque mode de vie que ce soit, ou de se sentir mĂ©prisĂ©. OĂč dans ces dĂ©bats se situe l’intĂ©rĂȘt de l’enfant, celui de sa famille ? LĂ  est la seule question. Le prochain sujet BioĂ©thique III concernera les droits sexuels des enfants, en particulier l’ñge du consentement aux relations sexuelles avec les adultes. Sans tabou, nous aborderons l’inceste, la pĂ©dopornographie et la pornographie, la pĂ©dophilie et toutes ces dĂ©rives d’adultes exploiteurs ou malades, qui cassent parfois Ă  jamais le cƓur de l’enfant, sa confiance en lui et en ceux qui l’entourent. Belle semaine Ă  tous, Pr Henri Joyeux ******* Sources [1] Sabrina Debusquat – J’arrĂȘte la pilule » Ed LLL 2017 [2] Nous assurerons que les enfants issus de la GPA nés à l’étranger voient leur filiation reconnue à l’Etat-civil Français, selon la jurisprudence de la Cour Européenne des Droits de l’Homme » [3] [4] Prereproductive Stress to Female Rats Alters Corticotropin Releasing Factor Type 1 Expression in Ova and Behavior and Brain Corticotropin Releasing Factor Type 1 Expression in Offspring - Hiba Zaidan, Micah Leshem, Inna Gaisler-Salomon – Biological Psychiatry - 2013Volume 74, Issue 9, Pages 680–687 [5] - Marie-Claire Busnel, Laboratoire de psychobiologie du dĂ©veloppement - Paris UniversitĂ© Descartes. La vie psychique de l’enfant, ses Ă©motions, ses affects sont puissants, tout autant que ses liens du sang, avec ses gĂšnes, qui font son inscription gĂ©nĂ©alogique. [6] Keith L. Moore, Persaud, Mark G. Torchia – ELSEVIER 2016 [7] Michael J. Davies, Vivienne M. More, Kristyn J. Willson, Philippa Van Essen, Kevin Priest, Heather Scott, Eric A. Haan and Annabelle Chan - Reproductive Technologies and the Risk of Birth Defects. - N Engl J Med. 2012 ; 366 1803-13 [list=419][*]Bonduelle, U-B. Wennerholm, A. Loft, Tarlatzis, C. Peters, S. Henriet, C. Mau, A. Victorin-Cedequist ; A. Van Steirteghem, A. Balaska, Embeson and A multi-centre cohort study of the physical health of 5-year-old children conceived after intracytoplasmic sperm injection, in vitro fertilization and natural Hum Reprod. 2005 ; 20 ; 413-419. [/list][8] Destins d’adoption – Ed Fayard 2010 Etats gĂ©nĂ©raux de la bioĂ©thique par le professeur Joyeux. Page 1 sur 1 Sujets similaires» La Cour SuprĂȘme des Etats-Unis abroge le droit constitutionnel Ă  l'avortement» Mise Ă  l’index du professeur Raoult» Le professeur Raoult visĂ© par une plainte de centaines d'infectiologues.» Vaccin, Croyances et RĂ©alitĂ© - Professeur Didier Raoult.» Hommage Ă  un grand Monsieur le Professeur Luc Montagnier dĂ©cĂ©dĂ© le 8 fĂ©v. de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. LES FORUMS CHRÉTIENS ACTUALITÉ INFOSauter vers
DIUcuivre: 99.2%: Potentiellement pendant les rÚgles chez les femmes ayant des cycles déjà douloureux: Non: Oui, parfois plus longues puisque le volume des rÚgles augmente chez 30% des femmes: 30 euros: DIU hormonal: 99.8%: Non: Oui: Le plus souvent, rÚgles peu abondantes, voire aménorrhée sous Mirena: 125 euros
Forum Futura-SantĂ© les forums de votre santĂ© SantĂ© et mĂ©decine gĂ©nĂ©rale Contraception, gynĂ©cologie, grossesse et sexualitĂ© RĂšgles anormales et stĂ©rilet cuivre  RĂ©pondre Ă  la discussion Affichage des rĂ©sultats 1 Ă  2 sur 2 24/01/2019, 01h31 1 RĂšgles anormales et stĂ©rilet cuivre - Bonjour bonjour! Je viens poser ma question ici car Ă©tant Ă  l'Ă©tranger je ne peux consulter un gynĂ©cologue dans l'immĂ©diat et donc je voulais savoir si c'Ă©tait dĂ©jĂ  arrivĂ© Ă  l'une d'entre vous. Alors voila la situation j'ai un stĂ©rilet au cuivre depuis 1 an et jusque lĂ  tout se passer globalement bien. J'ai eu mes rĂšgles fin octobre/dĂ©but novembre une semaine en avance puis mes rĂšgles sont arrivĂ©es Ă  la suite d'un rapport sexuel chose qui m'est dĂ©jĂ  arrivĂ©e dans le passĂ©, pour le debut de rĂšgles aprĂšs rapport. Sauf que depuis ca mes rĂšgles n'ont cessĂ© de couler avec des interruptions de 2 jours toutes les semaines en gros. La premiĂšre semaine de rĂšgles Ă©tait normale et les autres ce sont plus des saignements mais qui oblige une protection cup pour moi. Dois-je vraiment m'inquiĂ©ter ? Car avec le stĂ©rilet j'ai dĂ©jĂ  eu des longues rĂšgles et ma gynĂ©co ne trouvait pas ça anormal.. Merci pour vos tĂ©moignages/conseils! - 25/01/2019, 08h57 2 mh34 Responsable des forums Re RĂšgles anormales et stĂ©rilet cuivre Bonjour. Il peut arriver que des mĂ©trorragies apparaissent au bout d'un certain temps d'utilisation d'un stĂ©rilet, par "rĂ©action inflammatoire exagĂ©rĂ©e" de l'endomĂštre, en quelque sorte. Mais dans tous les cas il faudra une Ă©chographie pour vĂ©rifier qu'il ne s'agit de rien d'autre, Ă  faire dĂšs que vous pourrez aller voir votre mĂ©decin traitant ou gynĂ©co pour qu'il vous la prescrive. Sur le mĂȘme sujet Discussions similaires RĂ©ponses 1 Dernier message 28/07/2017, 06h39 RĂ©ponses 4 Dernier message 30/06/2013, 07h10 RĂ©ponses 2 Dernier message 24/08/2011, 20h46 RĂ©ponses 1 Dernier message 16/10/2004, 21h05 RĂ©ponses 4 Dernier message 15/10/2004, 21h07 Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 16h42. Ainsi il faut compter une trentaine d'euros pour un DIU au cuivre contre 120 € pour un stĂ©rilet hormonal. Dans les deux cas, les stĂ©rilets sont couverts par l'Assurance Maladie Ă  Aujourd’hui je viens te parler d’un sujet qui me tient vraiment Ă  coeur la contraception ! J’ai enfin dĂ©cidĂ© de t’en parler car ça y est le 21 mars ça faisait 1 an tout pile que je m’étais fait poser mon stĂ©rilet au cuivre ! Je voulais vraiment avoir du recul pour t’écrire cet article car ce n’est pas en quelques semaines qu’un corps se remet de plusieurs annĂ©es d’une contraception hormonale telle que la pilule. Nous allons aborder plusieurs aspects et j’espĂšre que j’aurais abordĂ© dans cet article tous tes questionnements et Ă©ventuellement tes craintes. VoilĂ  de quoi nous allons parler Moi et la contraceptionLe premier rendez vous & la poseLes jours et semaines qui suiventQuid de mes rĂšgles ? AprĂšs un an Je vais essayer de te raconter prĂ©cisĂ©ment mon histoire contraceptive, comment j’en suis arrivĂ©e Ă  choisir un DIU cuivre, etc. MOI ET LA CONTRACEPTION J’avais peut-ĂȘtre 14/15 ans quand j’ai eu mon premier rapports sexuel. J’étais avec ce garçon depuis dĂ©jĂ  2 voir 3 ans et nous sommes d’ailleurs toujours ensemble aujourd’hui 🧡 Je ne prenais donc rien Ă  ce moment lĂ  et nous nous sommes Ă©videmment protĂ©gĂ©s. AprĂšs que mes parents l’aient dĂ©couvert j’ai Ă©tĂ© amenĂ© illico presto au mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste pour me faire prescrire la pilule. La pilule qui m’a Ă©tĂ© prescrite Ă©tait Leeloo GĂ© qui est une pilule minidosĂ©e. Je ne peux malheureusement pas te donner plus de dĂ©tails car je n’y connais absolument rien dans ce domaine. C’était une plaquette de 21 jours et environ 2 ou 3 jours aprĂšs l’arrĂȘt j’avais mes rĂšgles pendant 4 Ă  5 jours. Elles Ă©taient lĂ©gĂšres et j’avais dĂ©jĂ  un peu mal. J’ai pris cette pilule pendant 5 ans Ă  peu prĂšs. C’est d’ailleurs la seule que j’ai prise, je n’ai jamais changĂ©. Elle m’a aidĂ© Ă  faire diminuer mon acnĂ©, je n’ai jamais eu de prise de poids ni quoi que ce soit. Il y a quelques annĂ©es je rĂ©flĂ©chissais dĂ©jĂ  Ă  d’autres moyens de contraception plus respectueux de mon corps. En effet je ne voulais plus d’hormone et m’étais un peu renseignĂ©e sur le stĂ©rilet. Celui au cuivre m’avait paru la meilleure alternative car il ne contenait pas d’hormone. MalgrĂ© mes rĂ©flexions je ne pensais absolument pas Ă  changer de contraception tout de suite. Je n’avais ni le temps ni l’envie et pour l’instant cela me convenait. LE PREMIER RENDEZ VOUS ET LA POSE En 2019, j’avais donc 20 ans, j’ai dĂ©cidĂ© de prendre mon premier rendez vous chez le gynĂ©cologue. Il Ă©tait prĂ©vu le 05 mars Ă  14h30. Je me suis donc rendue pour la premiĂšre fois dans ce genre d’endroit. La gynĂ©cologue Ă©tait adorable et bref, arrive le moment que tout le monde redoute. T’es Ă  poil les pieds dans les Ă©triers ! Les examens se font et tout est ok. Elle me pose avant des questions sur mes rapports, mon moyen de contraception bref des informations dont elle a besoin pour mieux connaĂźtre mon corps et moi. Une fois qu’elle visualise oĂč j’en suis dans ma contraception elle me demande si elle me convient et si j’ai dĂ©jĂ  envisagĂ© d’en changer. Je suis surprise, j’étais dĂ©jĂ  pas mal stressĂ©e je n’avais donc pas prĂ©vu de parler de ça dĂšs le premier rendez mais je me dis que c’est l’occasion. J’explique donc mes recherches, mes envies, j’expose mes questionnements et elle rĂ©pond vraiment Ă  tout et me rassure beaucoup. Elle m’explique que si j’en ai envie on peut prendre un nouveau rendez vous le 21 mars pour poser un stĂ©rilet au cuivre. J’accepte. Elle me donne une ordonnance pour le stĂ©rilet afin que j’aille l’acheter Ă  la pharmacie pour la pose du 21. LĂ  arrive un quiproquo mais je vais t’expliquer aussi ce qu’il faut normalement faire et pas juste ma bĂȘtise. On parle de la prise de ma pilule et de quand l’arrĂȘter par rapport Ă  la pose. Je comprends que je dois la prendre de maniĂšre Ă  ne pas avoir mes rĂšgles Ă  ce moment lĂ . Sauf que normalement c’est l’inverse. Le gynĂ©co te demande, si possible, d’avoir tes rĂšgles car la pose est moins douloureuse. Mais moi j’avais rien compris. Entre temps je suis allĂ©e Ă  la pharmacie acheter le stĂ©rilet. Du fait que je n’ai jamais eu d’enfant ni de grossesse le stĂ©rilet choisi par ma gynĂ©cologue a Ă©tĂ© le Mona Lisa NT Cu380. Il coĂ»tait une trentaine d’euros mais je me rappelle avoir Ă©tĂ© remboursĂ© de la quasi totalitĂ©. De retour Ă  la maison j’ai ouvert la boĂźte, juste pour voir Ă  quoi ça ressemblait, sans bien Ă©videmment ouvrir le plastique de protection. Dans l’emballage il y avait donc le fameux stĂ©rilet, j’étais d’ailleurs rassurĂ©e par sa petite taille. Il y avait Ă©galement une sorte de paille transparente. Elle servira Ă  replier les deux petites ailes du stĂ©rilet, en les collant contre le corps en cuivre. Il aura donc un forme rectiligne plus pratique Ă  insĂ©rer qu’une forme en T » comme tu t’en doutes. Le 21 mars arrive enfin. J’arrive donc toute pimpante non en vrai j’étais liquide de stress au cabinet et j’attends mon tour. Je prĂ©cise, normalement ils prĂ©fĂšrent quand l’on vient accompagnĂ© pour Ă©viter de conduire sur le retour si on ne se sent pas trĂšs bien. Mon chĂ©ri Ă©tait en cours je suis donc venue seule, mais voilĂ  comme ça tu sais. Arrive mon heure de rendez vous. J’entre dans la salle et je vois une autre personne une interne. C’est elle qui va me poser le stĂ©rilet. La pression monte d’un cran quand je me dis que deux personnes en mĂȘme temps vont me voir dans une position plutĂŽt gĂȘnante. Mais je me dis qu’aprĂšs tout c’est leur mĂ©tier pas besoin de se stresser pour ça. Entre temps ma gynĂ©co comprend que je n’ai pas mes rĂšgles car j’avais mal compris. Elle me rassure et me dit que ce n’est pas un souci. Je lui dis aussi que j’ai trop envie de faire pipi mais que je n’ai pas eu le temps en arrivant. Elle me dit lĂ  aussi que ce n’est pas grave, et que justement la vessie va aider Ă  faire je sais plus quoi et ce sera donc moins douloureux. Ça me rassure. Petits tips personnellement j’ai mis une robe Ă  chaque rendez vous. Ça permet quand on te demande de te dĂ©shabiller de juste enlever ta culotte mais d’avoir quand mĂȘme ta robe baissĂ©e avant d’aller sur le siĂšge. Enfin perso je trouvais ça mon gĂȘnant que d’ĂȘtre vraiment cul nu, Ă  toi de voir. Je me mets donc en position. Ma gynĂ©cologue habituelle me tape la discute pour me dĂ©tendre, me parle de tout et de rien. L’interne quant Ă  elle prĂ©pare le terrain et le stĂ©rilet. Elle m’explique la procĂ©dure. Ça y est elle est en train de le poser. Ça douille, ça douille !! Je suis contractĂ©e de tous les cĂŽtĂ©s et je lĂąche mĂȘme un petit cri en mode Oh la vache ». La gynĂ©co me demande de respirer, de me dĂ©contracter. Tout va bien, c’est normal. L’interne continue son affaire et je pense que
 peut ĂȘtre 10 secondes aprĂšs elle ressort la paille qui servait Ă  la pose et c’est terminĂ©. Pour vĂ©rifier que le stĂ©rilet est bien placĂ© la gynĂ©co me fait une Ă©chographie. Elle me montre sur l’écran mon stĂ©rilet c’était assez chelou de le voir et me dit qu’il est bien posĂ© et que tout est ok. J’ai tellement envie de faire pipi qu’à chaque fois qu’elle pressait la sonde contre mon bas ventre, c’était horrible ! T’appuyer sur la vessie quand tu veux faire pipi c’est le pire ! À ce moment lĂ  je me sens un peu vaseuse, une petite douleur de fond. Ce qui est normal quelques minutes aprĂšs la pose. Je sors de la salle et je me rue faire pipi j’ai demandĂ© avant si je pouvais. Bon dĂ©jĂ  ça fait du bien haha, mais je sens que mes jambes sont en coton et j’ai un tout petit peu de sang dans la culotte, mais elle m’avait prĂ©venu. Je sors du gynĂ©co et j’avoue que je ne me sens pas de reprendre la voiture tout de suite. Je m’assois sur un trottoir pour appeler mon chĂ©ri et lui raconter. Ça m’a permis de me poser 10 minutes et de reprendre mes esprits. Je rentre en voiture, le trajet se passe bien. LES JOURS & SEMAINES QUI SUIVENT J’arrive chez moi. Je n’ai pas vraiment mal mais c’est une sorte d’état gĂ©nĂ©ral ou je ne me sens pas au top de ma forme. Mon chĂ©ri rentre vers 16h00 j’avais rdv Ă  14h et lĂ  pendant que je lui raconte de vive voix je sens que j’ai mal. Je me mets donc dans le lit, avec un plaid et je me recroqueville en mode foetus. Ce n’est vraiment pas agrĂ©able, mais encore une fois c’est normal. AprĂšs plusieurs jours la douleur s’estompe jusqu’à ne plus rien ressentir du tout. Je n’ai pas trĂšs bien vĂ©cu cette pĂ©riode car outre la douleur l’idĂ©e d’avoir quelque chose de nouveau en moi me faisait peur. Je n’osais pas toucher mon bas ventre, quand mon copain l’effleurait pour rigoler je pouvais me mettre Ă  pleurer. MĂȘme si c’était idiot j’angoissais de le toucher, de le sentir. AprĂšs quelques semaines cette sensation est complĂštement passĂ©e. QUID DE MES RÈGLES La gynĂ©cologue m’avait prĂ©venu que ce serait un peu l’anarchie car mon systĂšme hormonal allait doucement reprendre ses marques. Prendre la pilule dĂ©rĂšgle tout ça et les rĂšgles que nous avons sous pilule ne sont pas nos vĂ©ritables rĂšgles ». Arrive le moment oĂč, en temps normal je devrais avoir mes rĂšgles. Je n’ai rien mais je ne m’inquiĂšte pas. Quelques jours aprĂšs elles arrivent. LĂ  mon pote c’est l’APOCALYPSE ! Moi qui avait des rĂšgles trĂšs lĂ©gĂšres là
. mais lĂ  c’était
 je savais mĂȘme pas comment faire ! Les serviettes hygiĂ©niques tenaient une heure, le sang n’arrĂȘtais pas de couler lorsque j’allais aux toilettes, bref que de nouveaux sentiments que je ne connaissais pas. Je comprenais bien qu’il allait falloir que je redĂ©couvre mon corps et surtout que je lui laisse le temps de se re dĂ©couvrir lui-mĂȘme. En plus de ça, j’ai davantage de douleurs. Ça m’avait Ă©tĂ© annoncĂ©, le stĂ©rilet cuivre est connu pour provoquer parfois davantage de douleurs, ce qui est le cas pour moi. Mais Ă©videmment cela reste gĂ©rable » et si ça ne l’était plus je ferais des test, des analyses pour dĂ©celer un Ă©ventuel problĂšme. Lorsque mes prochaines rĂšgles sont arrivĂ©es je me suis aussi rendu compte qu’elles prenaient de plus en plus de temps Ă  arriver. D’habitude je les avais tous les 24/25 jours et maintenant c’est tous les 30/31 jours. Il a fallu beaucoup de cycles pour qu’elles se stabilisent vraiment. Tellement qu’à un moment j’avais un tel retard que j’ai cru ĂȘtre enceinte, j’avais 10 Ă  12 jours de retard. Il a fallu acheter un test de grossesse, mĂȘme s’il Ă©tait nĂ©gatif j’ai prĂ©fĂ©rĂ© aller voir ma gynĂ©co pour Ă©ventuellement faire une prise de sang. Elle me dit que pour elle ce n’est pas ça, que le dĂ©lai pour avoir des doutes n’est pas dĂ©passĂ© et que vu le changement de contraception un tel retard peut ĂȘtre normal. Évidemment le soir mĂȘme de mon rendez vous j’avais mes rĂšgles. Comme quoi, en stressant je les empĂȘchais d’apparaĂźtre ! APRÈS UN AN AprĂšs un an je suis toujours heureuse de cette nouvelle contraception. Elle m’a permis de me rendre compte que je n’avais pas le mĂȘme comportement sous pilule. J’étais assez lunatique, changeante, etc. Je ne sais pas comment expliquer mais je me sens diffĂ©rente dans mes attitudes et rĂ©actions. En plus de ça je ressens Ă©galement ma pĂ©riode menstruelle autrement. Avant c’était vraiment du factice ». J’étais rĂ©glĂ©e comme une horloge, je ne connaissais plus mon cycle. Enfin si, mais sous pilule. Je ne me rappelais plus comment se passait cette pĂ©riode avant ça. Maintenant c’est diffĂ©rent. J’ai l’impression d’ĂȘtre davantage investie, de voir mon cycle autrement, un peu comme si je redĂ©couvrais mon corps et ça c’est vachement agrĂ©able ! En plus de ça j’utilise maintenant des protections rĂ©utilisables. Des culottes de rĂšgles ou des serviettes et je suis refaite ! LĂ  aussi je ressens vraiment diffĂ©remment mon cycle et mon rapport Ă  mon corps a beaucoup changĂ©. Bref, comme tu as pu le comprendre je suis heureuse de mon choix concernant la contraception mĂȘme si, bien sĂ»r, chacun des moyens de contraception possĂšde ses avantages et ses inconvĂ©nients. À toi de trouver le tien. J’espĂšre que cet article t’aura aider Ă  te faire ton opinion et Ă  rĂ©pondre Ă  tes questionnements !
Pourmoi le truc le plus pratique et le moins hormonal possible est le stérilet en cuivre , mais il à aussi ses rÚgles pas forcement plus abondantes, mais qui duraient trÚs longtemps (15 vrais jours), et les 15 jours restants, des pertes beurk Et pas mal de douleurs J'ai tenu 5 mois, et je l'ai fait retiré Et comme je suis un peu maso, je viens de refaire une
Il peut ĂȘtre en cuivre ou hormonal, on l’appelle aussi stĂ©rilet et on le refusait il n’y a encore pas si longtemps aux nullipares celles qui ont adoptĂ© le DIU racontent leur vie avec cette contraception. Le 15 mars 2015 Le stĂ©rilet souffre de nombreux prĂ©jugĂ©s, Ă  commencer par l’idĂ©e fausse qu’il ne peut ĂȘtre posĂ© Ă  des nullipares, qui n’ont pas encore eu d’enfants. Pourtant, qu’il soit en cuivre ou hormonal, c’est un moyen de contraception qui convient Ă  beaucoup ! Vous ĂȘtes d’ailleurs plusieurs Ă  avoir insistĂ© sur l’importance de le nommer DIU, pour Dispositif Intra-utĂ©rin, pour le libĂ©rer des idĂ©es reçues qui lui donnent la rĂ©putation de rendre stĂ©rile. Les adeptes de ce mode de contraception nous ont racontĂ© leur rĂ©alitĂ© pourquoi elles avaient choisi de se faire poser un DIU, et comment Ă  quoi ressemblait leur quotidien depuis sa pose. Pourquoi choisir le DIU stĂ©rilet » en cuivre ou hormonal ? Nombre des personnes qui ont choisi le stĂ©rilet ne supportaient pas ou plus la pilule. C’est le cas de Yun, 26 ans, qui explique Mon historique de pilules est semĂ© d’embĂ»ches. La premiĂšre une micro-dosĂ©e me donnait d’horribles migraines, la seconde des lombalgies, et les deux suivantes ont foutu en l’air mon cycle de maniĂšre assez pouvais passer trois ou quatre mois sans saignement, et puis avoir mes rĂšgles pendant plusieurs jours
 Oui, je sais plusieurs jours n’ont rien d’étonnant. Mais au-dessus de 10 jours de ragnagnas, j’estime que mon corps me m’arrivait aussi d’oublier ma pilule, et au moins, avec le stĂ©rilet, pas de souci de ce cĂŽtĂ©-lĂ . » Gwendapi, 26 ans, s’est Ă©galement tournĂ©e vers le DIU Ă  cause d’oublis rĂ©pĂ©tĂ©s J’ai commencĂ© Ă  prendre la pilule Ă  mon arrivĂ©e Ă  la fac et tout s’est vraiment trĂšs bien passĂ©, jusqu’à ce que je commence Ă  vivre avec mon copain ! J’ai alors eu de vraies grosses frayeurs “On est samedi, il est 21h, pourquoi ma plaquette me dit qu’on est jeudi ? De quand ça date ?”. J’avais des croix sur les mains, des alarmes dans tous les sens, une application spĂ©ciale, un post-it sur ma lampe de chevet
 Et j’oubliais quand mĂȘme ma n’y arrivais plus aprĂšs sept ans de trĂšs bons et loyaux services ma pilule et moi n’étions plus donc un peu furetĂ© dans tous les sens, je me suis renseignĂ©e sur les autres moyens de contraception. Le DIU cuivre Ă©tait parfait pour moi pas de risque d’oubli et pas d’ ne sais pas pourquoi, mais j’en avais marre des hormones, mon corps me disait stop — je devais boire jusqu’à trois verres d’eau pour avaler ma pilule alors qu’avant je pouvais la prendre sans rien, et depuis quelques temps j’avais des boutons, des maux de tĂȘte, les seins hyper douloureux mĂȘme en dehors des rĂšgles, et je faisais de la rĂ©tention d’eau. » Stefany, 21 ans, sentait elle aussi que la pilule ne lui convenait plus, et elle cherchait une contraception plus naturelle » Mes mycoses Ă  rĂ©pĂ©tition ne se calmaient pas malgrĂ© mes efforts, et au dĂ©but de l’annĂ©e, j’ai lu que l’arrĂȘt de la pilule pouvait favoriser l’arrĂȘt des mycoses, ce qui m’a parallĂšle, le passage Ă  la coupe menstruelle m’a permis d’ouvrir les yeux sur des mĂ©thodes gynĂ©cologiques alternatives et m’a poussĂ©e Ă  me renseigner sur les mĂ©thodes de contraception, notamment sans voulais, en plus d’une contraception sans hormones, une mĂ©thode sur le long terme Ă  la diffĂ©rence des prĂ©servatifs. Le stĂ©rilet en cuivre m’a tout de suite attirĂ©e il est peu cher, remboursĂ©, sans hormones, trĂšs peu contraignant et valable au moins cinq ans. » Une fois bien placĂ©, c’est parti pour plusieurs annĂ©es de tranquillitĂ©, ce qui convient particuliĂšrement aux aventuriĂšres qui s’exilent quelques temps dans des contrĂ©es lointaines. À plusieurs reprise, les lectrices ont citĂ© le site de Martin Winckler, ainsi que son livre Le ChƓur des femmes, dans ce qui a inspirĂ© leur choix. Le mĂ©decin y a dĂ©mystifiĂ© le DIU, et beaucoup y ont trouvĂ© la solution Ă  leurs questionnements en matiĂšre de contraception. Le site a Ă©galement Ă©tĂ© dĂ©cisif pour certaines personnes c’est lĂ  que le stĂ©rilet leur est apparu comme LA contraception qui leur convenait. Reproductive Health Supplies Coalition / Unsplash Passer d’un DIU cuivre Ă  un DIU hormonal Mona Lise, 23 ans, a quant Ă  elle choisi de passer du stĂ©rilet au cuivre Ă  un DIU hormonal. La dose d’hormone est diffĂ©rente de la pilule, et rĂšgle » certains aspects dĂ©sagrĂ©ables J’ai bien aimĂ© le cuivre, mais avec mes Ă©tudes, certaines longues pĂ©riodes d’examens peuvent gĂ©nĂ©rer beaucoup de stress. Mon corps rĂ©agit en provoquant des rĂšgles trĂšs abondantes toutes les deux semaines. ai eu un peu marre de ce cycle infernal, de ne jamais savoir quand j’allais ĂȘtre rĂ©glĂ©e et pour combien de temps sans parler de l’abondance qui empirait, bon appĂ©tit, et j’ai dĂ©cidĂ© de prendre un DIU hormonal. La dose d’hormones libĂ©rĂ©e dans le sang est trĂšs faible, et normalement les rĂšgles diminuent voire disparaissent. » Face au stĂ©rilet, des mĂ©decins plus ou moins coopĂ©ratifs DĂ©cider de passer au DIU est une chose, mais trouver un gynĂ©cologue qui accepte de le poser Ă  une nullipare s’est transformĂ© en odyssĂ©e pour certaines. Fleur, 25 ans, s’est ainsi retrouvĂ©e Ă  dĂ©battre de son utĂ©rus avec tout un chacun Ça a Ă©tĂ© la guerre. AprĂšs le jugement de valeur du commun des mortels d’ailleurs, tout mon entourage s’est soudainement dĂ©couvert titulaire du diplĂŽme de mĂ©decin/gynĂ©cologue qui me traitait d’inconsciente, me disant que je risquais toutes sortes de maladies, il a fallu trouver un praticien qui accepterait de me le mĂ©decin de famille, trĂšs vieux jeu, considĂ©rait qu’il en Ă©tait hors de question, que je risquais d’ĂȘtre stĂ©rile mais bien sĂ»r
, mais ayant fait mes recherches, je ne me suis pas laissĂ©e faire !Je me suis entendue rĂ©torquer que c’était mon choix et que le DIU ne rendait pas stĂ©rile ; que les MST peuvent remonter plus facilement par le DIU, mais qu’ayant une vie sexuelle stable post-test de dĂ©pistage, je ne risquais fini par prendre rendez-vous dans un planning familial oĂč on a respectĂ© mon choix. Mais il ne faut rien lĂącher ! » Sam, 29 ans, abonde en son sens. Le seul point nĂ©gatif que j’en retire, c’est vis-Ă -vis du corps mĂ©dical plus de la moitiĂ© des mĂ©decins et autres gynĂ©cologues que j’ai rencontrĂ©s ne savaient pas qu’il existe des stĂ©rilets short », ni que l’on en posait aux femmes n’ayant pas eu d’enfant. Il est trĂšs difficile d’entamer un Ă©change autour du stĂ©rilet sans avoir Ă  subir des monologues moralisateurs trop rĂ©currents, basĂ©s sur des Ă©tudes datant de plusieurs dĂ©cennies
 » Heureusement, de nombreux mĂ©decins et gynĂ©cologues acceptent de poser des DIU. Beaucoup de lectrices conseillent fortement les plannings familiaux, qui leur ont offert un soutien Ă  tout Ă©preuve et des conseils de premier choix concernant les moyens de contraception en gĂ©nĂ©ral, et le DIU en particulier. Ambre, aujourd’hui ĂągĂ©e de 22 ans, s’est tournĂ©e vers le centre le plus proche de chez elle il y a trois ans ; elle raconte qu’elle a vraiment eu l’impression d’avoir une libertĂ© totale quant au choix » de sa contraception. Un dĂ©pistage indispensable Cependant, comme Fleur l’a fait remarquer, le stĂ©rilet rend plus vulnĂ©rable aux infections sexuellement transmissibles la tige leur fournit une autoroute directe vers l’utĂ©rus. Les consĂ©quences peuvent ĂȘtre graves, et entraĂźner des opĂ©rations chirurgicales. Les tests de dĂ©pistage avant la pose du DIU ne semblent toutefois pas systĂ©matiques, ce qui explique le refus de certains gynĂ©cologues d’associer stĂ©rilet et nullipare qui est sensĂ©e ĂȘtre moins stable » sexuellement. J’ai l’impression que la lĂ©gende urbaine est prĂȘte Ă  tout pour dĂ©goĂ»ter les femmes du DIU
 » Le DIU en cuivre ou hormonal une insertion dĂ©licate Une fois le Saint Graal retirĂ© Ă  la pharmacie, encore faut-il le caser dans l’utĂ©rus ! Les gynĂ©cologues ne procĂšdent pas tous exactement de la mĂȘme façon, et ne prescrivent pas la mĂȘme chose avant la pose. Faisons donc un petit tour d’horizon. Gwendapi explique que ce n’était pas trĂšs agrĂ©able » mais que cela s’est trĂšs bien passĂ© Mon mĂ©decin m’avait prescrit un dĂ©contractant utĂ©rin que j’avais oubliĂ© de prendre avant, en bon souvenir de ma pilule. Pour moi cela s’est dĂ©roulĂ© de la maniĂšre suivante. J’ai passĂ© une Ă©chographie oĂč elle a regardĂ© mes ovaires et la position de mon utĂ©rus, et fait une premiĂšre mesure grĂące Ă  l’image Ă  l’écran. Tout Ă©tait bon, on est donc passĂ©es Ă  la suite — et j’ai vu mon utĂ©rus et mes ovaires ! Je ne sais pas pourquoi, ça m’a fait super plaisir !Elle a ensuite mis en place un Ă©carteur spĂ©cial pour pouvoir travailler avec ses deux mains, et mesurĂ© mon utĂ©rus en vrai grĂące Ă  une sonde spĂ©ciale. J’ai inspirĂ© fort et toussĂ© quand elle l’a dit. Ce n’était pas agrĂ©able du tout, mais cela n’a vraiment durĂ© qu’une seconde. Cela a confirmĂ© ce que l’écran disait mon utĂ©rus Ă©tait assez profond. C’était parti pour la pose !LĂ  encore, j’ai inspirĂ© profondĂ©ment, et toussĂ© quand elle me l’a demandĂ©. J’ai eu la sensation bizarre que quelque chose d’anormal s’était passĂ© dans mon corps au creux de l’estomac, et ai ressenti une douleur forte pendant quelques secondes, puis ça s’est a coupĂ© les fils et vĂ©rifiĂ© que cela ne gĂȘnerait pas. Ce n’était pas franchement trĂšs agrĂ©able sur le moment, mais on en comprend l’utilitĂ© ! Une derniĂšre vĂ©rif’ par Ă©chographie, une prise de rendez-vous pour trois mois plus tard pour vĂ©rifier que tout va bien, des derniĂšres recommandations, et c’était parti pour une fin d’aprĂšs-midi avec du thĂ©, des cookies et Sherlock sur mon canapĂ© sans trop bouger ! » Certaines ont eu moins de chance sa gynĂ©co ne lui ayant rien expliquĂ©, SĂ©golĂšne ne savait pas Ă  quoi s’attendre, et la surprise n’a pas franchement Ă©tĂ© bonne
 À ce jour, c’est la pire expĂ©rience de ma vie. Je pense avoir dĂ©goĂ»tĂ© toutes mes amies en leur racontant mon pĂ©riple. Ma gynĂ©cologue ne m’avait pas expliquĂ© la procĂ©dure, donc j’étais trĂšs crispĂ©e
 surtout quand elle s’est approchĂ©e de mon sexe avec des ciseaux de pose ressemble Ă  une contraction de femme enceinte, c’est douloureux mais trĂšs rapide. De plus, on nous insĂšre le stĂ©rilet lorsque l’on a nos rĂšgles, donc quand on se relĂšve il faut s’attendre Ă  une flaque de l’aprĂšs qui a Ă©tĂ© le plus difficile. Ma tension a baissĂ©, j’ai eu des sueurs froides, des vertiges
. bref, c’était compliquĂ©. Ensuite, pendant environ trois heures, j’ai eu mal comme quand j’ai mes rĂšgles. » DĂ©mystifier la pose du DIU Fleur a bien mieux vĂ©cu la pose, et demande d’ailleurs Ă  ce que la chose soit dĂ©mystifiĂ©e Franchement, je m’attendais vraiment Ă  pire. J’ai l’impression que la lĂ©gende urbaine est prĂȘte Ă  tout pour dĂ©goĂ»ter les femmes du DIU. On nous prĂ©dit quasiment des heures d’atroces je ne vais pas vous mentir, ce n’est pas le meilleur moment de votre vie, mais c’est largement supportable, et cela dure dix secondes Ă  tout casser. Ça tire Ă  l’intĂ©rieur, la sensation est on perd un peu de sang et on a des crampes dans le bas-ventre. Avec une bouillotte et un replay de Confessions Intimes, ça passe tout seul. » Stefany y est allĂ©e confiante, et elle a eu raison Je me suis installĂ©e comme d’habitude dans le fauteuil, et la gynĂ©cologue a dĂ©ballĂ© le DIU que j’étais allĂ©e chercher Ă  la pharmacie la y avait un tube fin au bout duquel se trouvait le DIU aprĂšs avoir mis ses gants et dĂ©ballĂ© la marchandise, elle m’a insĂ©rĂ© le tube dans le vagin tout en me n’ai absolument rien senti jusqu’à un clic » qui a provoquĂ© une douleur trĂšs vive et trĂšs aiguĂ«. J’ai eu un sursaut, et elle m’a expliquĂ© que c’était fini, qu’elle n’avait plus rien Ă  manipuler ; en fait le stĂ©rilet est normalement en forme de T mais lors de la pose, les deux branches sont pliĂ©es le long du qui m’a fait mal, c’est justement le dĂ©ploiement des branches dans mon utĂ©rus, trĂšs bref mais douloureux. J’ai continuĂ© Ă  avoir mal quelques minutes le temps que ça s’estompe, mais j’étais plus surprise qu’autre chose. Elle a coupĂ© les fils, mais comme promis ne m’a plus a ensuite un peu parlĂ©, et elle m’a donnĂ© le livret de mon stĂ©rilet avec le type et la date de pose en me disant qu’on attendrait trois cycles pour voir comment cela fonctionnait, et qu’on reprendrait rendez-vous. » Mathilde, 26 ans, est la seule tĂ©moignante qui s’est vu proposer une alternative. Il faut dire qu’elle va voir une gynĂ©co aussi rĂ©putĂ©e que chÚÚÚre Ma gynĂ©co m’a expliquĂ© que la pose pouvait se faire sous anesthĂ©sie Ă  l’hĂŽpital, ou au cabinet sans anesthĂ©sie. Elle m’a dit que mon col de l’utĂ©rus Ă©tait trĂšs bien placĂ© et facile d’accĂšs » vous m’en voyez ravie.Ma gynĂ©co connaĂźt parfaitement l’intĂ©rieur de ma personne, puisqu’elle me fait une Ă©chographie pelvienne Ă  chaque fois que je vais la voir. Donc je paye cher, certes, mais je sais plus de ça, je ne suis pas vraiment sensible Ă  la douleur je serais presque capable de m’endormir pendant un frottis. J’ai donc choisi l’option “pause en fauteuil”, pour ne pas me laisser emmerder par un petit stĂ©rilet de rien du tout ! » Le stĂ©rilet, et le temps que le corps s’habitue Ă  cette nouvelle prĂ©sence Nous voilĂ  prĂ©venues c’est pas forcĂ©ment la joie dans le bidon quand il se rend compte qu’on vient de lui refiler un truc inhabituel. Mais c’est juste le temps qu’il se rende compte que le DIU vient en paix. Mary-Odil, 23 ans, se souvient encore des premiers moments de vie avec son DIU La pose est faite, je remercie chaudement mon gynĂ©co pour cette nouvelle libertĂ© une contraception efficace pendant 4 ans !, et je sors de son lĂ , une demi-heure aprĂšs, en attendant mon train sur le quai de la gare, j’ai l’impression d’accoucher. LittĂ©ralement. Mon corps essaye d’expulser le stĂ©rilet. Et putain, j’ai me tords de douleur, je pleure comme une madeleine, et je manque trois fois de vomir dans les poubelles sur le quai. Je reprends deux Spasfons et un Doliprane 1000, et j’attends. Le soir, je m’écroule, et je ne bouge contractions ont durĂ© trois jours — au cours desquels elles se sont heureusement beaucoup attĂ©nuĂ©es. Et c’était fini ! » Un avant-goĂ»t sympa d’un Ă©ventuel accouchement — ça donne envie non. LĂ  encore tout dĂ©pend des personnes, des mĂ©dicaments qu’elles ont pris avant
 Mona Lise a quant Ă  elle bien vĂ©cu les premiĂšres semaines avec son stĂ©rilet hormonal Mon stĂ©rilet hormonal a Ă©tĂ© posĂ© il y a maintenant un mois. J’ai eu quelques traces de sang trĂšs lĂ©gĂšres les trois premiĂšres semaines, qui commencent Ă  disparaĂźtre. Je pense qu’il faut trois mois pour que l’endomĂštre se fasse Ă  la dose de progestĂ©rone, mais ce n’est rien de grave donc ça me convient bien. » Il y a le corps qui se demande ce qu’il se passe, mais aussi la tĂȘte qui cherche ses nouveaux repĂšres. Une fois les douleurs passĂ©es, il faut intĂ©grer complĂštement qu’on est bien protĂ©gĂ©e contre les grossesses, mĂȘme si cela ne se voit pas. Fleur l’explique Au dĂ©but j’avais peur de l’expulser, je me disais qu’en poussant, il partirait. Il a fallu que je me rassure sur cette peur totalement irrationnelle. Ensuite j’ai appris Ă  ressentir les sensations normales durant le cycle, les petits tiraillements, des choses que je ne ressentais plus sous pilule — et j’avoue que c’est plutĂŽt rassurant de comprendre comment son corps flux, c’est vrai que c’est plus important, mais selon les conseils du blog de Martin Winckler je prends de l’ibuprofĂšne pendant les rĂšgles pour le diminuer et j’utilise une cup. » Bien sĂ»r, chaque personne rĂ©agit un peu diffĂ©remment, d’oĂč l’importance du libre choix de sa contraception. Stefany a par exemple eu quelques surprises Pendant trois jours j’ai eu une sensation d’inconfort au niveau de l’utĂ©rus il lutte contre ce corps Ă©tranger et on sent que tout n’est pas normal. C’était trĂšs largement supportable, pour moi c’était du mĂȘme ordre que le petit inconfort de mes ne m’a rien empĂȘchĂ© de faire, je prenais de l’ibuprofĂšne pour limiter. En fait ça m’a plutĂŽt donnĂ© une excuse pour me chouchouter et de me caler sur le lit avec une bouillotte et des sĂ©ries !Et puis, le premier cycle de rĂšgles est arrivĂ©. Elles Ă©taient trĂšs abondantes les deux premiers jours
 Mais c’est aprĂšs que c’est devenu des sautes d’humeurs, des crises de nerfs, des douleurs atroces au bas-ventre, une perte d’appĂ©tit. Tous les symptĂŽmes menstruels que j’avais voulu Ă©viter en continuant Ă  prendre la pilule sont ne me sentais plus de marcher, j’étais d’humeur massacrante, et surtout, j’avais trĂšs mal et les anti-douleurs n’y faisaient rien. Ça a durĂ© environ deux jours, et mes rĂšgles ont durĂ© huit jours en tout. Je ne perdais pas de moins en moins de sang, je remplissais une cup toutes les trois heures, alors que je n’en avais jamais rempli une de ma vie !C’était un Ă©vĂ©nement isolĂ© j’ai eu plusieurs cycles de rĂšgles depuis et ça ne s’est plus jamais passĂ© comme ça. Je continue de perdre plus de sang qu’avant, et plus longtemps, mais ça ne me fait pas mal et ça reste dans le domaine du raisonnable. » Les stĂ©rilets en cuivre ou hormonaux quelques histoires de rejets
 Il y a cependant quelques exceptions, autour lesquelles les mythes entourant le DIU se sont construits. On entend beaucoup parler de rejets, de stĂ©rilets que l’on retrouve un beau matin dans sa culotte
 Ça a Ă©tĂ© le cas pour Morgane, 22 ans Ma gynĂ©co m’en a posĂ© un, et je n’ai eu aucune douleur ni rien, la pose parfaite ! Mais le lendemain, je l’ai retrouvĂ© dans ma culotte non non c’est pas un mythe, alors que je n’avais rien senti. » Pour Emeline, 22 ans aussi, cela n’a pas non plus fonctionnĂ©. Elle raconte les suites de la pose de son DIU Au bout d’une semaine, la douleur s’est estompĂ©e. Enfin ! Mais c’était une fausse joie, car elle a repris aprĂšs deux jours, deux fois plus forte. J’ai eu de vĂ©ritables contractions, comme lors d’un accouchement ! Je ne pouvais plus bouger de mon lit, j’avais d’énormes chutes de tension
 L’ appelĂ© mon gynĂ©co qui Ă©tait bien embĂȘtĂ© pour moi, car mon corps rejetait littĂ©ralement le stĂ©rilet. Il m’a donnĂ© un rendez-vous pour le lendemain. Mon copain m’a accompagnĂ©e car je ne pouvais plus me dĂ©placer sans risque de perte d’équilibre et la vie parisienne veut qu’on se dĂ©place beaucoup Ă  pied, malheureusement.Mon mĂ©decin m’a expliquĂ© que s’il laissait le stĂ©rilet en place, les douleurs finiraient par s’arrĂȘter mais reprendraient trĂšs probablement tous les mois. Il avait vu des cas de graves complications Ă  cause de rejets comme le mien. Nous avons donc dĂ©cidĂ© de le s’est fait trĂšs rapidement, presque sans douleur. Au bout d’une dizaine de jours, mes douleurs Ă  l’utĂ©rus ont complĂštement suis vraiment dĂ©goĂ»tĂ©e de faire partie de la faible proportion de femmes dont le corps rejette aussi violemment un stĂ©rilet. J’en voulais vraiment un, mais ça n’a pas Ă©tĂ© possible. » Tout comme le stĂ©rilet n’est pas fiable Ă  100% comme tous les moyens de contraception, le corps humain n’est pas toujours prĂ©visible. Heureusement, ces cas semblent relativement minoritaires, et la grande majoritĂ© des personnes qui ont tĂ©moignĂ© sont plus que contentes de leur DIU ! Le stĂ©rilet et ses succĂšs Nombre d’entre vous ont louĂ© le DIU pour ses annĂ©es de tranquillitĂ© relative il est toutefois important de rappeler quil faut faire vĂ©rifier son stĂ©rilet une fois par an, pour s’assurer qu’il est toujours en place, l’absence d’hormones de sa version en cuivre, et l’absence de rĂšgles pour le DIU hormonal. Gwendapi a listĂ© tout ce qu’elle apprĂ©ciait dans sa nouvelle contraception En premier lieu, il y a une certaine libertĂ© d’esprit. Pas de “Est ce que j’ai bien ma pilule dans mon sac ? Est ce que je l’ai bien prise ? Est-ce qu’il m’en reste une plaquette quelque part ? Attends, il est quelle heure lĂ  en France ?”Il y a aussi l’absence d’hormones. Mes seins sont plus ou moins douloureux selon les mois mais jamais au niveau atteint avec ma pilule dans les meilleurs mois. J’ai aussi beaucoup dĂ©gonflĂ© les trois premiers mois ; je n’ai pas vraiment perdu de poids mais j’étais moins serrĂ©e dans mes vĂȘtements, moins bouffie, mes jambes Ă©taient moins lourdes et adieu les maux de tĂȘte !Et surtout, MA LIBIDO ! Alors lĂ , ça a Ă©tĂ© la dĂ©couverte. Je ne pensais pas avoir une libido en berne, mais j’ai dĂ©couvert qu’en fait si, un peu merci ma pilule. Alors qu’avant c’était parfois un peu dur de mettre la machine en route, lĂ  en deux minutes check. Plus de problĂšme de lubrification, et des envies de coller mon copain au mur pour le faire lĂ  tout de suite dans le bus, au cinĂ©, pendant qu’il mange ses pĂątes, peu importe, et envie de me coller moi lĂ  au mur pour m’occuper de mon frifri dans le bus, au cinĂ©, alors que je mange mes pĂątes, peu importe aussi. J’ai aussi des sensations nouvelles, et mon partenaire aussi. » Le retour en force de la libido a d’ailleurs Ă©tĂ© soulignĂ© Ă  de multiples reprises. Avec le stĂ©rilet au cuivre, les filles retrouvent leur corps d’avant la pilule, avec tout ce que cela implique. Les rĂšgles sont moins rĂ©glĂ©es », mais le corps est en pleine possession de ses sensations. Gwendapi conclut mĂȘme que le DIU est la chose la plus merveilleuse qui me soit arrivĂ©e ». Fleur aussi a fait pĂ©ter le champagne C’est gĂ©nial ! Que du bonheur, je ne regrette pas une seconde. Je regrette par contre que les mĂ©decins ne se mettent pas Ă  jour et que les prĂ©jugĂ©s soient encore si c’est votre choix, tenez le coup, ne vous laissez pas faire — et on a le droit de remettre en question l’opinion de son mĂ©decin. C’est votre corps ! » En ce moment de ma vie, le DIU est parfait pour moi » Il faut citer Gaelle, 26 ans, qui note un autre avantage certain du DIU Le super bonus, c’est quand mĂȘme de noter que le stĂ©rilet en cuivre est Ă©colo. Lorsqu’on urine, on rejette dans les Ă©gouts les mĂ©docs et donc la pilule consommĂ©e. Le stĂ©rilet en cuivre ne produisant aucune hormone, je pisse sain pour la planĂšte. » Gwendapi insiste de plus sur un principe clair Mon corps, mon choix, mon utĂ©rus, tais-toi » Je pense vraiment que le choix de la contraception est propre Ă  chacune et qu’à ce moment-lĂ  de ma vie, le DIU est parfait pour ne l’envisageais pas il y a sept ans quoi, un truc dans mon utĂ©rus ? Mais ça va pas ?, mais aujourd’hui il rĂ©pond Ă  tous mes besoins, tout comme moi, je rentre dans ses cases taille de l’utĂ©rus, corps qui ne bronche pas et qui le rejette pas, pas de rĂšgles trop importantes qui me mettent Ă  plat, pas de douleurs insupportables. » SĂ©golĂšne, quant Ă  elle, ne regrette pas d’avoir souffert au dĂ©but pour son DIU hormonal, et elle ne retournerait pour rien au monde Ă  la pilule MĂȘme si j’ai eu trÚÚÚÚs mal, c’est vraiment un super moyen de contraception. Je trouve ça plus logique d’avoir un petit truc dans mon corps plutĂŽt qu’un mĂ©dicament que j’ les hormones, c’est beaucoup moins que la pilule. J’ai reperdu la taille de poitrine que j’avais prise et quelques petits boutons sont rĂ©apparus. Les rĂšgles sont de nouveau douloureuses et irrĂ©guliĂšres mais je me sens, nĂ©anmoins, plus en confiance et moins stressĂ©e que lorsque je prenais la pilule. » Ecouter son corps, quoi qu’il arrive AprĂšs le pĂ©riple qu’elle a dĂ» vivre pour pouvoir enfin obtenir la contraception qui lui convenait, Ludivine est convaincue de l’importance d’écouter son corps et de ne pas se fier Ă  tout ce que peuvent dire les mĂ©decins sur ces sujets qui souffrent de principes aussi dĂ©passĂ©s que profondĂ©ment ancrĂ©s. Je n’ai jamais Ă©tĂ© orientĂ©e correctement en matiĂšre de contraception. MalgrĂ© la multitude de choix, on ne m’a parlĂ© que de la pilule. Avec tous les problĂšmes hormonaux liĂ©s Ă  son utilisation, aucun professionnel de santĂ© n’a jugĂ© bon de me faire passer des examens ou m’aider Ă  trouver un contraceptif dĂ» demander et me battre pour faire des IRM, des bilans sanguins et hormonaux et prouver que le DIU au cuivre Ă©tait ma derniĂšre chance. Je me suis renseignĂ©e et Ă©duquĂ©e sur Internet, et malgrĂ© les difficultĂ©s des dĂ©buts, je pense que le DIU au cuivre est LE moyen de contraception qui me va le mieux et que je garderai toute ma que chaque personne est diffĂ©rente, il faut davantage sensibiliser le milieu mĂ©dical et les femmes au DIU et Ă  toutes les autres formes de contraception non, ce n’est pas parce que ma mĂšre a tolĂ©rĂ© la pilule des annĂ©es durant que mon corps en fera de mĂȘme. Et ce n’est pas parce que moi je tolĂšre le DIU au cuivre que mes amies ne seront pas plus Ă  l’aise avec un anneau ou un vis plutĂŽt bien avec mon stĂ©rilet, au final tellement bien que parfois j’oublie que je l’ai ! » Et plusieurs Ă©tudiantes en mĂ©decine le confirment le moyen de contraception se dĂ©mocratise, surtout depuis qu’il en existe une petite version complĂštement adaptĂ©e aux utĂ©rus des nullipares. Elles en entendent mĂȘme parler en cours
 De quoi espĂ©rer un avenir radieux pour le DIU ! À lire aussi Marre de bouffer des hormones la pilule est en berne en France TĂ©moignez sur Madmoizelle ! Pour tĂ©moigner sur Madmoizelle, Ă©crivez-nous Ă  [email protected] On a hĂąte de vous lire ! CebĂ©nĂ©fice secondaire est particuliĂšrement intĂ©ressant en pĂ©rimĂ©nopause oĂč les troubles du cycle sont frĂ©quents, comme des rĂšgles tous les 15 jours Ă  vous rendre exangue ! Pas top, mais alors, pas top du tout ! Avec un stĂ©rilet Ă  la progestĂ©rone, c’est ni vu, ni connu, pas mal ELLANAIS PremiĂšre fraise Messages 26 EnregistrĂ© le 08 mars 2009, 1615 Contact Bonjour Ă  toutes, VoilĂ  j'ai 3 enfants et mon dernier vient d'avoir 9 mois. Il y a deux mois, j'ai optĂ© pour le stĂ©rilet cuivre en moyen de contraception. Jusque lĂ  j'ai eu mes rĂšgles comme d'habitude mĂȘme durĂ©e du cycle mais ce mois-ci toujours rien, j'ai 10 jours de retard, les seins gonflĂ©s et douloureux, le ventre idem, ça fait des jours que j'ai la sensation que mes rĂšgles vont arriver mais toujours rien... Alors je commence Ă  psychoter un peu ! enceinte ou pas enceinte ? Ma question y a-t-il l'une d'entre vous Ă  qui c'est arrivĂ© de tomber enceinte avec un stĂ©rilet ? est-ce possible ? carabosse40 PremiĂšre fraise Messages 19 EnregistrĂ© le 09 aoĂ»t 2012, 0058 Localisation mezos Contact 13 aoĂ»t 2012, 0008 et bien moi je n ai que 8 jours de retard mais memes symptomes que toi et aussi un sterilet au cuivre....la le probleme majeur c est que les deux ne font pas du tout bon menage donc en gros si c est du on est dans le caca moi ca me perturbe beaucoup me pose trop de questions et je trouve tres peu de reponses lol bon courage a toi je suis cette convers ca peut peut etre m eclairer aussi. cannelle35 Fraise de bronze Messages 3749 EnregistrĂ© le 13 janv. 2009, 2038 Localisation France Contact 13 aoĂ»t 2012, 1047 les filles! Moi j'ai eu un stĂ©rilet au cuivre, mes cycles allaient de 27 Ă  34 jours mais ce n'est jamais allĂ©e au delĂ , un retard de 10 jours ça fait quand mĂȘme beaucoup .... ELLANAIS, tu as fait ta visite de contrĂŽle pour voir si il n'avait pas bougĂ© ? On gĂ©nĂ©ral on a cette visite 1 ou 2 cycle aprĂšs la pose car avec les rĂšgles, il peut bouger c'est rare mais ça arrive . Tout dĂ©pend si il a Ă©tĂ© bien mis au dĂ©part. DOnc voilĂ  c'est surtout ça le risque car si il a bougĂ©, tu n'est plus qu'a moitiĂ© protĂ©gĂ©e et son efficacitĂ© diminue de plus de 50%! DĂ©jĂ , fais un test, tu en auras le coeur net... Idem pour toi carabosse Nous deux c'est depuis Mai 2005 et nous sommes mariĂ©s depuis le 4 Juillet 2009 Notre premier Loulou d'amour! nĂ© le 17 Octobre 2009 3kg770 52,5cm Notre petite princesse d'amour! nĂ©e le 29 Aout 2013 3kg535 50 cm heleana fraise d'or!!!! Messages 18719 EnregistrĂ© le 28 janv. 2011, 2246 Contact 13 aoĂ»t 2012, 1051 Ma belle soeur avait elle aussi eu du retard en mai avec son sterilet...elle avait fait un test Qui s'est avĂ©rĂ© ...mais comme elle dit ça peut arriver Titou octobre 2011 aprĂšs Clomid Minette mars 2014 aprĂšs FC Ă  7sa 09/2015 fc prĂ©coce 07/2016 fc Ă  7sa BĂ©bĂ© suprise... est une fille arrivĂ©e avril 2017 celina16 Fraise d'argent Messages 6886 EnregistrĂ© le 19 juil. 2012, 1305 Contact 13 aoĂ»t 2012, 1815 coucou les tomber enceinte sous stĂ©rilet oui c'est possible.. j'ai pas testĂ© mais je connais plusieurs femmes. faites des analyses de sang et surveillez ça car si grossesse il y a, il faut enlever le stĂ©rilet trĂšs rapidement.... et pour le bien de tout le monde.. bĂ©bĂ© et maman... appeler vos gygy et demandez des ordonnances pour prise de sang... 10j de retard c'est beaucoup.... courage les filles et tenez nous au courant cĂ©lina petit coeur nĂ© Ă  42 SA + 3j. et 53cm petit ange nĂ©e sans vie 24SA petit ange nĂ©e sans vie 16SA petite puce nĂ©e 33SA +4j et 41cm petit coeur nĂ© Ă  39 SA +2j et 51cm BĂźnome avec ma nanourou cinette Top fraise Messages 430 EnregistrĂ© le 26 fĂ©vr. 2009, 0929 Localisation Belgique Contact cannelle35 Fraise de bronze Messages 3749 EnregistrĂ© le 13 janv. 2009, 2038 Localisation France Contact 15 aoĂ»t 2012, 1351 alors les filles, des nouvelles ? Nous deux c'est depuis Mai 2005 et nous sommes mariĂ©s depuis le 4 Juillet 2009 Notre premier Loulou d'amour! nĂ© le 17 Octobre 2009 3kg770 52,5cm Notre petite princesse d'amour! nĂ©e le 29 Aout 2013 3kg535 50 cm pucca971 Fraise active Messages 123 EnregistrĂ© le 05 nov. 2012, 0316 Contact 06 nov. 2012, 0213 Bjr les filles, je ss nouvelle. Pour etre honnĂȘte je n'ai jamais vraiment compris comment suivre un cycle, dĂšs que javai mes rĂšgles tous les mois cest bon. G envie d'un bb2 mais mon mari n'est pas encore prĂšs il veut un cdi avant. Jai un sterilet cuivre, je sais que ça peut paraĂźtre fou mais j'aurais voulu tomber enceinte ac le sterilet. J'ai eu mes rĂšgles le et fini depuis et depuis la fin jme sens enceinte OUI JE SAIS JE PSYCHOTE. Le lendemain de la fin des ragnagnas on a eu des rapports. C'est la 1ere fois que je me sens comme sa douleurs de rĂšgles,migraine,nausĂ©es le soir, grosse fatigue J'espĂšre ne pas etre jugĂ© dans mes doutes,envies,et psychotage. Bisou Ă  vous et ++++ pour ttes celles ki le souhaite pucca971 Fraise active Messages 123 EnregistrĂ© le 05 nov. 2012, 0316 Contact 06 nov. 2012, 0216 J'ai oublier de poser mes questions lol * comment calculer vous vos cycles exemple J12,13...... * peut on etre enceinte ss sterilet et continuer Ă  avoir ses rĂšgles? pucca971 Fraise active Messages 123 EnregistrĂ© le 05 nov. 2012, 0316 Contact 06 nov. 2012, 1755 Personne pour m'aider ou dans la mĂȘme situation que moi ? Courage Ă  ttes celles qui st dans des phases difficiles. Biz Qui est en ligne Utilisateurs parcourant ce forum Aucun utilisateur enregistrĂ© et 5 invitĂ©s
Cequi prouve bien que le DIU n’est pas abortif. 4° le DIU hormonal Mirena ne fonctionne pas comme les DIU au cuivre : l’hormone qu’il contient Ă©paissit les sĂ©crĂ©tions du col utĂ©rin (comme le fait la pilule, ou comme cela se passe pendant la grossesse) ; cela empĂȘche le passage des spermatozoĂŻdes, et donc la fĂ©condation.
Un stĂ©rilet en cuivre peut ĂȘtre retirĂ© Ă  tout moment. L’opĂ©ration, effectuĂ©e par un gynĂ©cologue, est simple, rapide et indolore. On peut ensuite procĂ©der Ă  la pose d’un stĂ©rilet nouveau si l’on souhaite poursuivre sa contraception.©iStockIstockPose d’un stĂ©riletLa pose d’un stĂ©rilet ne prend que quelques instants. Elle doit ĂȘtre effectuĂ©e par un professionnel de la santĂ©, gĂ©nĂ©ralement un gynĂ©cologue. Il est important de s’assurer auparavant qu’aucune grossesse n’est en cours. La pĂ©riode du cycle la plus propice Ă  la pose d’un stĂ©rilet est celle qui correspond Ă  la fin des rĂšgles. C’est aussi Ă  ce moment du cycle que l’utĂ©rus est le plus accessible sans douleur pour la patiente. Certaines femmes n’ayant jamais eu d’enfant peuvent Ă©ventuellement ressentir une infime douleur de trĂšs courte durĂ©e. Dans le but de rendre plus confortable la pose d’un stĂ©rilet, le gynĂ©cologue peut s’aider d’un introducteur d’une finesse absolue. Ce petit dispositif facilite l’introduction du dispositif intra-utĂ©rin DIU dans le col d’un stĂ©rilet en cuivrePour procĂ©der au retrait d’un stĂ©rilet en cuivre, le gynĂ©cologue place tout d’abord un spĂ©culum afin d’écarter les parois vaginales et de faciliter du mĂȘme coup l’examen du col de l’utĂ©rus. Il lui suffit ensuite de tirer dĂ©licatement sur le fil du DIU. C’est Ă  cette fin que ce fil est laissĂ© en place au moment de la pose d’un stĂ©rilet. Toutefois, une hystĂ©roscopie est nĂ©cessaire lorsque le fil du stĂ©rilet est inaccessible ou introuvable par le gynĂ©cologue. Cette opĂ©ration consiste en l’introduction, dans le col de l’utĂ©rus, d’un endoscope. Il s’agit d’un dispositif en forme de tube Ă©quipĂ© d’un systĂšme Ă©clairant qui facilite l’examen visuel de la zone utĂ©rine. GrĂące Ă  l’hystĂ©roscopie, le stĂ©rilet peut ĂȘtre retirĂ© aisĂ©ment. Notre NewsletterRecevez encore plus d'infos santĂ© en vous abonnant Ă  la quotidienne de adresse mail est collectĂ©e par pour vous permettre de recevoir nos actualitĂ©s. En savoir plus. YnWGR0.
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