Larédaction du Washington Post a réalisé son classement des 23 meilleurs films du XXIe siècle. There Will Be Blood de Paul Thomas Anderson (2007) Boyhood de Richard Linklater (2014) 4 Boogie Nights 19972 h 35 min. Sortie 18 mars 1998 France. Dramefilm de Paul Thomas Anderson avec Mark Wahlberg, Burt Reynolds, Julianne MooreCineFun a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur et l'a mis en There Will Be Blood 20072 h 38 min. Sortie 27 février 2008 France. Dramefilm de Paul Thomas Anderson avec Daniel Day-Lewis, Paul Dano, Kevin J. O'ConnorCineFun a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de Magnolia 19993 h 04 min. Sortie 1 mars 2000 France. Dramefilm de Paul Thomas Anderson avec Tom Cruise, Julianne Moore, William H. MacyCineFun a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de Licorice Pizza 20212 h 13 min. Sortie 5 janvier 2022 France. Comédie dramatique, Romancefilm de Paul Thomas Anderson avec Alana Haim, Cooper Hoffman, Sean PennCineFun a mis 7/ The Master 20122 h 18 min. Sortie 9 janvier 2013 France. Dramefilm de Paul Thomas Anderson avec Joaquin Phoenix, Philip Seymour Hoffman, Amy AdamsCineFun a mis 7/ Phantom Thread 20172 h 10 min. Sortie 14 février 2018 France. Dramefilm de Paul Thomas Anderson avec Daniel Day-Lewis, Vicky Krieps, Lesley ManvilleCineFun a mis 7/ Punch-Drunk Love - Ivre d'amour 2002Punch-Drunk Love1 h 35 min. Sortie 22 janvier 2003 France. Romance, Comédie dramatiquefilm de Paul Thomas Anderson avec Adam Sandler, Emily Watson, Philip Seymour HoffmanCineFun a mis 7/ Inherent Vice 20142 h 28 min. Sortie 4 mars 2015 France. Film noir, Comédie dramatiquefilm de Paul Thomas Anderson avec Joaquin Phoenix, Josh Brolin, Owen WilsonCineFun a mis 7/ Double mise 1996Hard Eight1 h 41 min. Sortie 21 novembre 2018 France. Thrillerfilm de Paul Thomas Anderson avec Philip Baker Hall, John C. Reilly, Gwyneth PaltrowCineFun a mis 6/10. En1999, année de sortie de MAGNOLIA, Paul Thomas Anderson est un réalisateur qui monte. Avec son deuxième long-métrage, BOOGIE NIGHTS (1997), il a plongé avec succès dans l’âge d’or de l’industrie du porno des années 1970. Résultat, pour son film suivant, le studio New Line lui donne carte blanche, et le réalisateur californien qui n’a alors Après avoir découvert le classement des Inrocks des 100 meilleurs films de la décennie, on vous partage à présent les dix coups de cœur de chacun de nos critiques cinéma. Ce n’est pas une mince affaire que de combiner cent films considérés comme les meilleurs des dix dernières années écoulées. Aux Inrocks, nous avons ainsi demandé à nos critiques cinéma – ou – de livrer leur top 10 personnel, ainsi que d’indiquer cinquante autres films qui les avaient marqués – ceci dans le but d’en tirer ensuite, en fonction du nombre d’occurrences, la sélection finale. Découvrez ainsi les choix de vos plumes favorites, d’Oncle Boonmee à Holy Motors, très plébiscités, en passant par Elle, Le Livre d’image ou Mektoub My Love. A noter que certains d’entre eux ont fait le choix d’inclure Twin Peaks The Return dans leur liste. La série étant numéro 1 de notre top série, nous avons choisi de ne pas en inclure les occurrences dans le top cinéma. >> A lire aussi Nos 100 films préférés de la décennie Jean-Marc Lalanne L’inconnu du lac d’Alain Guiraudie 2013 Saint-Laurent de Bertrand Bonello 2014 Sils Maria d’Olivier Assayas 2014 Oncle Boonmee d’Apichatpong Weerasethakul 2010 Holy Motors de Leos Carax 2012 Les mystères de Lisbonne de Raul Ruiz 2010 Mad Max Fury Road de Georges Miller 2015 Ad Astra de James Gray 2019 Passion de Brian De Palma 2013 Le musée des merveilles de Todd Haynes 2017 Bruno Deruisseau Les Milles et Une Nuits de Miguel Gomes 2015 Yourself and Yours de Hong Sang-soo 2017 Mektoub My Love Canto Uno d’Abdellatif Kechiche 2018 Melancholia de Lars Von Trier 2011 Under the Skin de Jonathan Glazer 2014 Le Livre d’image de Jean-Luc Godard 2019 Gone Girl de David Fincher 2014 Sils Maria d’Olivier Assayas 2014 Mad Max Fury Road de George Miller 2015 Oncle Boonmee d’Apichatpong Weerasethakul 2010 Léo Moser Mad Max Fury Road de George Miller 2015 Holy Motors de Leos Carax 2012 Inherent Vice de Paul Thomas Anderson 2015 Take Shelter de Jeff Nichols 2011 Inside Llewyn Davis des frères Coen 2013 Interstellar de Christopher Nolan 2014 A Touch of Sin de Jia Zhangke 2013 Ad Astra de James Gray 2019 Cemetery of Splendour d’Apichatpong Weerasethakul 2015 Hérédité d’Ari Aster 2018 Marilou Duponchel Tabou de Miguel Gomes 2012 Certaines femmes de Kelly Reichardt 2017 Holy Motors de Leos Carax 2012 Mektoub My Love Canto Uno d’Abdellatif Kechiche 2018 Plaire aimer et courir vite de Christophe Honoré 2018 Synonymes de Nadav Lapid 2019 Douleur et gloire de Pedro Almodóvar 2019 Un monde sans femmes de Guillaume Brac 2012 L’Apollonide de Bertrand Bonello 2011 Seule sur la plage la nuit de Hong Sang-Soo 2018 / L’avenir de Mia Hansen-Løve 2016 Thierry Jousse Twin Peaks The Return de David Lynch 2017 Melancholia de Lars Von Trier 2011 Le Livre d’image de Jean-Luc Godard Un jour avec, un jour sans de Hong Sang-Soo 2016 Holy Motors de Leos Carax 2012 L’Image manquante de Rithy Pahn 2015 Oncle Boonmee d’Apichatpong Weeraseethakul 2010 L’Inconnu du Lac d’Alain Guiraudie 2013 Phantom Thread de Paul Thomas Anderson 2018 Personal Shopper de Olivier Assayas 2016 Alexandre Buyukodabas Holy Motors de Leos Carax 2012 Oncle Boonmee d’Apichatpong Weerasethakul 2010 Melancholia de Lars Von Trier 2011 The Ghost Writer de Roman Polanski 2010 Spring Breakers d’Harmony Korine 2013 Elle de Paul Verhoeven 2016 Twixt de Francis Ford Coppola 2012 Mektoub My Love Canto Uno d’Abdellatif Kechiche 2018 Maps to the Stars de David Cronenberg 2014 Aquarius de Kleber Mendonça Filho 2016 Ludovic Béot Mektoub My Love Canto Uno d’Abdellatif Kechiche 2018 L’inconnu du lac d’Alain Guiraudie 2012 Douleur et gloire de Pedro Almodovar 2019 Inside Llewyn Davis des frères Coen 2013 Melancholia de Lars von Trier 2011 Un monde sans femmes de Guillaume Brac 2012 Amour de Michael Haneke 2012 Good Time des frères Safdie 2017 Spring Breakers de Harmony Korine 2012 Mad Max Fury Road de George Miller 2015 Théo Ribeton Inside Llewyn Davis de Joel & Ethan Coen 2013 Puis sans ordre Mektoub My Love Intermezzo d’Abdellatif Kechiche Good Time de Josh & Benny Safdie 2017 Toni Erdmann de Maren Ade 2016 Everybody Wants Some ! de Richard Linklater 2016 Magic Mike XXL de Gregory Jacobs 2015 Under The Skin de Jonathan Glazer 2014 Elle de Paul Verhoeven 2016 Interstellar de Christopher Nolan 2014 How Do You Know de James L. Brooks 2011 Emily Barnett sans ordre Zero Dark Thirty de Kathryn Bigelow 2013 Les mystères de Lisbonne de Raúl Ruiz 2010 La vie d’Adèle d’Abdellatif Kechiche 2013 Amour de Michael Haneke 2012 Mommy de Xavier Dolan 2014 Melancholia de Lars von Trier 2011 Le fils de Saul de László Nemes 2015 Mon roi de Maïwen 2015 Holy Motors de Leos Carax 2012 Deux jours, une nuit des frères Dardenne 2014 Vincent Ostria sans ordre Senses de Riusuke Hamaguchi 2018 An Elephant Sitting Still de Hu Bo 2019 Shozukai de Kiyoshi Kurosawa 2013 Under the Skin de Jonathan Glazer 2014 Oncle Boonmee d’Apichatpong Weerasethakul 2010 Faust d’Alexandre Sokourov 2012 Holy Motors de Leos Carax 2012 Les Bruits de Recife de Kleber Mendonça Filho 2014 Mad Max Fury Road de George Miller 2015 Twin Peaks The Return de David Lynch 2017 Gérard Lefort Le livre d’image de Jean-Luc Godard Oncle Boonmee d’Apichatpong Weerasethakul 2010 Le cheval de Turin de Béla Tarr 2011 L’étrange affaire Angelica de Manoel de Oliveira 2011 Tabou de Miguel Gomes 2012 Holy Motors de Leos Carax 2012 Rester vertical de Alain Guiraudie 2016 The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson 2014 Hors Satan de Bruno Dumont 2011 Mommy de Xavier Dolan 2014 Olivier Joyard Oncle Boonmee d’Apichatpong Weerasethakul 2010 Elle de Paul Verhoeven 2016 American Honey de Andrea Arnold 2017 Le livre d’image de Jean-Luc Godar Mad Max Fury Road de George Miller 2015 Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma 2019 Vice-Versa de Pete Docter 2015 Holy Motors de Leos Carax 2012 Sexy Dance 3D de Jon Chu 2010 Get Out de Jordan Peele 2017 Patrice Blouin sans ordre Oncle Boonmee d’Apichatpong Weerasethakul 2010 Les Mystères de Lisbonne de Raúl Ruiz 2010 Film Socialisme de Jean-Luc Godard 2010 Mad Max Fury road de George Miller 2015 Guardians of the Galaxy de James Gunn 2014 Inception de Christopher Nolan 2010 Gravity d’Alfonso Cuaron 2013 Les Rencontres d’après minuit de Yann Gonzales 2013 Fantastic Mr. Fox de Wes Anderson 2010 Avengers Infinity Wars d’Anthony et Joe Russo 2018 Romain Blondeau Mektoub My Love Canto Uno d’Abdellatif Kechiche 2018 Oncle Boonmee d’Apichatpong Weerasethakul 2010 Holy Motors de Leos Carax 2012 L’Inconnu du lac d’Alain Giraudie 2013 Under the Skin de Jonathan Glazer 2014 The Social Network de David Fincher 2010 American Honey d’Andrea Arnold 2017 Douleur et gloire de Pedro Almodovar 2019 The Immigrant de James Gray 2013 Mommy de Xavier Dolan 2014 Luc Chessel sans ordre Film Socialisme de Jean-Luc Godard 2010 Piégée de Steven Soderbergh 2012 A Touch of Sin de Jia Zhangke 2013 Cavalo Dinheiro de Pedro Costa 2014 No Home Movie de Chantal Akerman 2015 American Honey d’Andrea Arnold 2016 Rester Vertical d’Alain Guiraudie 2016 Vincent V. de Soufiane Adel 2016 Bangkok Nites de Katsuya Tomita 2017 Un jour dans la vie de Billy Lynn d’Ang Lee 2017 Bonus Twin Peaks The Return de David Lynch 2017 Murielle Joudet Mektoub, my love Canto uno d’Abdellatif Kechiche 2018 ex-aequo avec Gone girl de David Fincher 2014 Comment savoir de James L. Brooks 2011 La Jalousie de Philippe Garrel 2013 Mia Madre de Nanni Moretti 2015 Douleur et gloire de Pedro Almodovar 2019 Spring Breakers de Harmony Korine 2013 Le Pont des espions de Steven Spielberg 2015 Inside Llewyn Davis des frères Coen 2013 Abus de faiblesse de Catherine Breillat 2014 Homeland Irak année zéro d’Abbas Fahdel 2016 Jacky Goldberg Twin Peaks The Return de David Lynch 2017 Comment savoir de James L. Brooks 2011 The Social Network de David Fincher 2010 Unstoppable de Tony Scott 2010 Uncle Boonmee d’Apichatpong Weerasethakul 2010 Interstellar de Christopher Nolan 2014 Mektoub My Love Intermezzo d’Abdellatif Kechiche 2019 Billy Lynn’s Halftime Long Walk d’Ang Lee 2016 Everybody Wants Some ! de Richard Linklater 2016 Elle de Paul Verhoeven 2016 Olivier Père sans ordre The Assassin de Hou Hsiao-hsien 2016 Holy Motors de Léos Carax 2012 Melancholia de Lars von Trier 2011 Under the Skin de Jonathan Glazer 2014 Phantom Thread de Paul Thomas Anderson 2018 Once Upon a Time… in Hollywood de Quentin Tarantino 2019 Somewhere de Sofia Coppola 2011 Julieta de Pedro Almodóvar 2016 La Mort de Louis XIV d’Albert Serra 2016 Detroit de Kathryn Bigelow 2017 Philippe Azoury Mektoub my love intermezzo d’Abdellatif Kechiche Liberté d’Albert Serra 2019 Aka Ana d’Antoine d’Agata 2008 El Auge del Humano d’Edouardo Teddy » Williams 2016 High Life de Claire Denis 2018 Under the Skin de Jonathan Glazer 2014 Sophia Antipolis de Virgil Vernier 2018 Cemetery of Splendour d’Apitchapong Weerashetakul 2015 Kaili Blues de Bi Gan 2016 Twin Peaks The Return de David Lynch 2017 Jean-Baptiste Morain Le Livre d’image de Jean-Luc Godard Film Socialisme de Jean-Luc Godard 2010 Adieu au langage de Jean-Luc Godard 2014 Certaines femmes de Kelly Reichardt 2017 Elle de Paul Verhoeven 2016 Under the Skin de Jonathan Glazer 2014 Les Mystères de Lisbonne de Raúl Ruiz 2010 La Flor de Mariano Llinas 2019 Interstellar de Christopher Nolan 2014 Ad Astra de James Gray 2019 Axelle Ropert sans ordre Comment savoir de James L. Brooks 2011 Damsels in distress de Whit Stillman 2012 Les Mystères de Lisbonne de Raúl Ruiz 2010 Once Upon a Time in Hollywood de Quentin Tarantino 2019 Toni Erdman de Maren Ade 2016 Welcome to New York d’Abel Ferrara 2014 Certaines femmes de Kelly Reichardt 2017 La Villa de Robert Guédiguian 2017 Frantz de François Ozon 2016 Les quatre soeurs de Claude Lanzmann 2018 Julien Gester 1. ex aequo Twin Peaks – The Return de David Lynch 2017 et Mystères de Lisbonne de Raúl Ruiz 20103. ex aequo Tabou de Miguel Gomes 2012 et Un jour avec un jour sans de Hong Sang-soo 20165. ex aequo Mektoub My Love Intermezzo d’Abdellatif Kechiche et Certaines femmes de Kelly Reichardt 20177. ex aequo Cemetery of Splendour d’Apichatpong Weerasethakul 2015 et Mad Max – Fury Road de George Miller 20159. ex aequo Kaili Blues de Bi Gan 2016, L’Etrange affaire Angelica de Manoel de Oliveira 2011 et Comment savoir de James L. Brooks 2011 Hélène Frappat sans ordre Comment savoir de James L. Brooks 2011 Réalité de Quentin Dupieux 2015 Certaines femmes de Kelly Reichardt 2017 Twixt de Francis Ford Coppola 2012 Midnight in Paris de Woody Allen 2011 The Visit de M. Night Shyamalan 2015 Les rencontres d’après minuit de Yann Gonzalez 2013 Elle de Paul Verhoeven 2016 Pentagon Papers de Steven Spielberg 2018 Passion de Brian de Palma 2013

Meilleursfilms par année de réalisation; Meilleurs films Horreur; Films à la télé ; Paul Thomas Anderson. a réalisé les films ci-dessous. licorice pizza: Film 2021 américain de: Paul Thomas Anderson Avec: Alana Haim, Cooper Hoffman, Bradley Cooper, Sean Penn, Benny Safdie, Tom Waits Durée: 2h14 Genre: Comédie dramatique, Romance. En 1973, dans la région de Los

Paul Thomas Anderson personnages sont tous défectueux en quelque sorte — pas défectueux tellement brisée et incomplète., Dans une filmographie imprévisible qui s’étend de l’époque maussade du boom indépendant du milieu des années 90 au paysage post-celluloïd ténu de l’ère moderne-une collection dispersée d’histoires qui sautent à travers les 100 dernières années comme si elle se décollait dans le temps, se résolvant dans l’histoire d’un peuple étrange et sauvage de L’Amérique au 20ème siècle — un sens fondamental du vice inhérent pourrait être, Cela se sent particulièrement vrai à la suite de” Phantom Thread », qui trouve Anderson abandonnant sa ville natale de Los Angeles pour Londres, mais conservant ou même doublant son affection sincère pour les personnes obsessionnelles avec des trous dans leur cœur. la sagesse commune suggère que la carrière D’Anderson a été divisée au milieu, avec Punch-Drunk Love” de 2002 fonctionnant comme une transition douce des mosaïques exubérantes qui annonçaient le génie de PTA aux micro-portraits d’acier qui exploitaient son potentiel., Et bien qu’il y ait une certaine part de vérité dans cet aperçu superficiel, L’évolution du style D’Anderson est surtout intéressante pour la façon dont elle éclaire les choses sous-jacentes qui lient tout son travail. populaire sur Indiewire avec Phantom Thread” prévu pour sortir en salles le jour de Noël, nous avons décidé de classer les films de Paul Thomas Anderson du pire au meilleur essentiellement en leur attribuant divers degrés de grandeur, en se concentrant sur toutes les choses qui ont changé dans ses films, et toutes les choses, Hard Eight” aka Sydney” 1996 Paul Thomas Anderson n’avait que 26 ans quand il a réussi à se disputer Philip Baker Hall et un budget de 3 millions de dollars pour son premier long métrage, Un exploit impressionnant à tout point de vue. Cependant, à la lumière de ce que l’auteur arriviste allait faire ensuite, Hard Eight” est plus frappant par sa modestie — par son manque d’ambition — que par toute autre chose. L’histoire discrète d’une amitié qui se forme entre un joueur mystérieux Hall et le burnout sans le sou John C. Reilly qu’il rencontre dans un dîner quelque part entre Los Angeles., et Las Vegas, Les débuts préternaturellement assurés de PTA ressemble à une collection de tropes de Sundance restants essayant de se libérer d’une camisole de force. Des environs poussiéreux du sud-ouest, des motels délabrés, des ombres néo-noires, Samuel L. Jackson, du café et des cigarettes if sans le stoïcisme blessé de la performance de Hall et les contributions expertes des futurs piliers de la PTA comme Robert Elswit et Jon Brion, il pourrait être tentant de regrouper cela avec tous les autres riffs de Tarantino qui ont échoué après Pulp Fiction., » pourtant, aussi facile qu’il est de perdre de vue ce film dans la vaste ombre de ce qui est venu ensuite,” Hard Eight » roule avec un humanisme doux qui lui donne une vie qui lui est propre. Sydney pourrait avoir des arrière-pensées en prêtant à un étranger 50 $et en lui montrant les ficelles du métier pour truquer un casino, mais sa relation d’approfondissement avec John ne fait qu’enrichir la question qui plane sur leur première rencontre Combien vaut vraiment un ami pour vous?, C’est un petit film, et un film maladroitement fracturé, mais il est plein d’acteurs incroyablement convaincants à leur meilleur, leurs personnages aidés par un scénariste-réalisateur qui croit palpablement en leur douleur. Junun” 2015 personne n’a vraiment vu ce délicieux curio — le seul long métrage documentaire D’Anderson-qui a été présenté en première au Festival du film de New York avant de contourner une course en salle et de se diriger directement vers internet. Mais Junun » n’est pas seulement une face B pour les fans hardcore du réalisateur., Si quoi que ce soit, c’est la chose la plus accessible qu’il ait jamais faite, un banger extrêmement agréable de 54 minutes sur la joie foudroyante de bonnes personnes faisant de la bonne musique ensemble. Une mouche inhabituellement invisible sur le mur, Anderson traîne dans les environs poussiéreux du Fort de Mehrangarh en Inde, regardant avec une attention ravie son collaborateur régulier Jonny Greenwood et le compositeur israélien Shye Ben Tzur enregistrer un album de groupe avec le Rajasthan Express., apparemment réalisé sur un coup de tête et sans trop d’agenda, le film capture une collision unique de talents musicaux avant que tout le monde ne se disperse au vent. Aussi choquant que cela puisse être de voir PTA tirer en numérique les drones le demandent, la musique est si entraînante et l’ambiance si pleine de vie que vous oubliez vite qui est derrière la caméra. Junun » pourrait être une note de bas de page, mais il est transportant et entier et difficile à oublier., Inherent Vice” 2014 si dense qu’il était probablement destiné à être le plus sous-apprécié des films de Paul Thomas Anderson — il y a une certaine piquant dans le matériel source de Thomas Pynchon, car même le plus lapidé de ses romans est difficile à travers le brouillard du capitalisme tardif., C’est aussi un film où Jena Malone a des dents en bois, Josh Brolin se gargarise d’une banane gelée, et Joanna Newsom, déesse folklorique des lutins, joue un narrateur qui pourrait être le fruit de L’imagination de Joaquin Phoenix so donc ce n’est pas comme si PTA essayait de nous rendre les choses difficiles. tourné comme une carte postale fanée et plein de personnages fantastiques, Inherent Vice” emprunte beaucoup à des fils Pi tachetés de soleil comme The Long Goodbye”, mais il est plus silencieux et plus triste que Philip Marlowe ne l’a jamais été., Selon la tradition du genre, le mystère central est en fait plusieurs mystères différents tous noués ensemble; bonne chance pour démêler ce que le mari disparu d’un héroïnomane a à voir avec un promoteur immobilier nommé Mickey Wolfmann et un cartel de la drogue qui se fait appeler le Croc D’or. Mais alors que l’intrigue peut être difficile à suivre, PTA compense en rendant les fondements émotionnels du film aussi clairs que la vue de Doc Sportello sur la côte californienne., L’amour perdu entre Sportello et son ex Katherine Waterston est terriblement bien réalisé en quelques courtes scènes, tandis que le sentiment envahissant d’un pays en déclin est imprégné dans l’atmosphère comme autant de pets de patchouli pour emprunter l’une des meilleures insultes d’un film qui en a des dizaines à revendre. Oubliez » Boogie Nights et l’illusion de la possibilité américaine,” Inherent Vice » plonge dans le sentiment que nous l’avons déjà laissé s’éloigner de nous — que nous sommes tous là-bas pourchassant nos propres queues. Il devient un peu plus triste chaque fois que vous regardez., Boogie Nights” 1997 C’est un vrai film, Jack. » Une épopée vertigineuse de réinvention, le deuxième film miteux et sensationnel de Paul Thomas Anderson a trouvé le réalisateur de 28 ans avec la fanfaronnade d’un jeune homme en possession d’une quantité massive de talent naturel. Mais ce n’est pas seulement la confiance ahurissante derrière la caméra qui fait de Boogie Nights” une œuvre aussi incroyable, c’est aussi la générosité pure qu’Anderson montre envers ses personnages, même les plus pathétiques et les plus beaux d’entre eux., Regardez comment la caméra s’attarde sur Jesse St. Vincent La Grande Melora Walters après avoir été bloquée à la fête du Nouvel an 1979, ou comment Anderson rachète Rollergirl Heather Graham, dans son meilleur rôle avec un seul push-in pendant les dernières minutes. Anderson aime ces gens. Quand Amber Waves, joué par un pic Julianne Moore comme la MILF originale, dit Dirk Diggler Mark Wahlberg qu’il mérite sa toute nouvelle Corvette 1978, elle le veut du fond du cœur., Plus qu’un simple regard vertigineux à l’intérieur de l’industrie du porno alors qu’elle luttait pour surmonter la bosse de la vidéo à domicile, Boogie Nights” est une histoire sur une vallée magique de jouets inadaptés — des figurines d’action, pour être précis. Tous ces cinglés excités ont été chassés de leurs familles, tous recherchent des parents de Substitution, et tous ont suivi Le Rêve Américain AU même endroit ridicule., Il y a quelque chose de très spécial dans la frénésie Altman-esque dans laquelle ces âmes perdues deviennent ensemble pour s » être retrouvées, une énergie ineffable qui survit au besoin du jeune Anderson de tripler chaque épanouissement. cela reste l’une des choses les plus citables et les mieux réalisées que le réalisateur ait jamais faites, même si la seconde moitié plus sombre-dans laquelle PTA rend ses sentiments très clairs la chaleur du film contre la chair de poule de la vidéo — se sent à la fois trop long et sous — alimenté. Mais qui s’en soucie?, Burt Reynolds vend l’enfer de tous les films, Wahlberg fonctionne bien au-delà des limites de son talent, et les succès continuent à venir alors que les défauts commencent à disparaître. Il ne sert à rien de se déformer à ce sujet; il y a des ombres dans la vie, bébé!, Phantom Thread” 2017 plus tôt cette année, avant que nous ayons vu autant qu’une photo fixe du dernier film de Paul Thomas Anderson, il a été largement répandu que Phantom Thread” était un s&M pièce que n’importe lequel des mélodrames britanniques classiques qui ont été réalisés au moment où cette histoire se déroule., Hélas, la romance perverse qui fleurit entre un couturier renommé Daniel Day-Lewis dans le rôle de Reynolds Woodcock et une serveuse à la voix douce Alma Vicki Krieps est une affaire strictement PG, beaucoup plus intéressée à ajouter des vêtements qu’à les enlever. Quoi qu’il en soit, des éléments de domination et de soumission persistent, et la chasteté trompeuse du film est précisément ce qui permet à Anderson de coudre une pièce aussi convaincante sur l’amour et le contrôle, enfilant l’aiguille entre l’évasion haute et quelque chose de beaucoup plus proche de la maison., S’exprimant après la première projection du film à New York, Anderson a déclaré à la foule que Phantom Thread” avait été inspiré par un récent épisode de grippe. Le cinéaste a été allongé dans son lit, se sentant comme la mort refried, quand il a remarqué que sa femme le regardant avec un degré de pitié et de soins qu’elle réserve généralement à leurs jeunes enfants. Il l’aimait. Vous n’avez pas besoin d’être un réalisateur vénéré ou un créateur de mode tyrannique pour apprécier que l’impuissance a ses propres plaisirs, et que céder le contrôle à la bonne personne peut être aussi satisfaisant que de le thésauriser pour vous-même., Il n’y a probablement pas un couple marié au monde qui ne comprenne pas cette dynamique ou ne reconnaisse pas la force laide qu’ils tirent de la faiblesse de leur partenaire. Phantom Thread” prend cette laideur et la transforme en quelque chose de beau, Anderson riffant sur les goûts de Rebecca” avec une bouffée de la guerre des Roses” pour faire bonne mesure pour créer un portrait impeccablement démodé de l’obsession., Anderson a fait un certain nombre de duos animés sur deux personnes étranges qui ont besoin l’un de l’autre pour l’équilibre, mais le tour de magie que la performance laconique de Krieps lui permet de faire ici — permettant lentement à Alma d’éclipser Reynolds et de prendre le contrôle de la roue, elle — même-est nouveau pour lui. Beau et séduisant dans la même mesure, C’est le film Le plus invitant Qu’Anderson ait fait depuis Punch-Drunk Love”, et la meilleure preuve à ce jour que sa collaboration avec le compositeur Jonny Greenwood pourrait être l’élément déterminant de son travail récent., Punch-Drunk Love” 2002 Paul Thomas Anderson est connu pour dire que chacun de ses films est une réaction au dernier, et le fait qu’il ait fait le serré et contraint Punch-Drunk Love” sur les talons du tentaculaire Magnolia” suffit à prouver C’est le travail d’un artiste prodigieusement doué qui a réalisé son idée la plus ambitieuse au moment où il a eu 30 ans et a constaté qu’il avait encore de la place pour grandir — que ses films ne pouvaient pas être plus grands, mais ils pouvaient être plus imprégnés de sentiment., Ce Qu’Anderson a appris entre” Boogie Nights en 1998 et” Punch-Drunk Love » en 2002, c’est que la taille n’est pas tout. quasi-comédie musicale frénétique sur des personnes violemment isolées qui apprennent qu’elles n’ont pas à se condamner à leur tristesse, le quatrième long métrage d’Anderson distille l’émotion d’une épopée et la met en bouteille dans un costume bleu bon marché. Adam Sandler est révélateur en tant que Barry Egan, le comédien à sourcils Bas qui transforme sa rage de signature en quelque chose de nouveau simplement en lui refusant un endroit où aller., Il ne peut pas simplement gagner un tournoi de golf et ou reprendre la deuxième année; il a une entreprise à gérer, mille sœurs à gérer, et un trou dans son cœur de la taille d’Hawaï. Et puis il y a Lena Leonard Emily Watson, qui regarde Barry et voit une harmonie, son désir déclenchant une histoire d’amour où les sens se brouillent comme tout le film a été touché par la synesthésie., Punch-Drunk Love” est un petit film, mais la caméra D’Elswit tourne autour de L’usine de Barry avec une curiosité maniaque qui confine à Chaplin-esque, résultant en le premier film de PTA qui n’a pas l’impression de sculpter une histoire autant que d’en construire une à partir de zéro. Cet esprit de création est infusé dans les personnages, qui découvrent que l’opportunité abonde dans ce monde chez pudding et les gens, et qu’ils ont le pouvoir de monter dans un avion et de chasser l’amour avant qu’il ne s’en aille. L’amour est là, vous avez juste à prendre le téléphone., Si vous avez de la chance, vous trouverez peut-être Lena Leonard dans sa chambre d’hôtel. Et si vous avez vraiment de la chance, vous pourriez faire appel à Philip Seymour Hoffman, dont l’apparence céleste galvanise cette étrange concoction avec un tas de crachats et un arsenal de bombes F. Si ce n’est pas la plus grande scène jamais commis de celluloïd, c’est sacrément proche. The Master” 2012 Le plus impénétrable et énigmatique des films D’Anderson, The Master” est toujours hypnotisant juste hors de portée, vous tournant vers l’intérieur chaque fois que vous tendez la main pour le rencontrer. A. O., Scott a frappé le clou sur la tête quand il l a décrit comme » un film qui défie la compréhension même s » il oblige à respecter, croyance étonnée. »Mais il y a des réponses ici, même si Anderson ne fournit aucune indication claire de ce qu’elles pourraient être; quelle que soit la signification que vous parvenez à tirer de cette histoire est à vous de garder. à son niveau le plus élémentaire, The Master” est un double-hander saisissant sur un homme et son chien. Philip Seymour Hoffman est presque insondablement brillant comme le volatile Lancaster Dodd, un pseudo-prophète new age dans le moule de L., Ron Hubbard il n’est pas comme un réalisateur, le meneur d’un cirque itinérant qui doit enchaîner les gens par la force de la volonté. Joaquin Phoenix est tout à fait son égal comme L’alcoolique Freddie Quell, un homme dont le visage est tordu dans un ricanement perpétuel avant même qu’il ne soit mis à la dérive à la suite de la Seconde Guerre mondiale. l’un aboie les commandes et l’autre se retourne, mais aucun d’entre eux ne peut jouer seul. Comme le dit Dodd, avec pas mal de dépit si vous trouvez un moyen de vivre sans servir un maître, n’importe quel maître, alors faites-le savoir au reste d’entre nous, voulez-vous?, Car vous seriez la première personne de l’histoire du monde. » Dodd et Quell ne sont vraiment pas si différents, et la narration onirique d’Anderson les aide à les faire tourbillonner jusqu’à ce qu’il soit difficile de dire où l’un se termine et où l’autre commence la partition seasick de Jonny Greenwood enracine cette confusion dans le creux de votre estomac. Ce sont deux hommes qui sont hantés par un traumatisme passé et qui se sont produits sur des moyens opposés d essayer de le dépasser; deux hommes qui se servent les uns des autres comme balises pour naviguer dans les eaux agitées entre la mémoire et l » imagination; deux hommes qui » ne peuvent pas prendre cette vie droite.,” Mais là encore, qui le peut? Il suffit de regarder dans les yeux de quelqu’un, ne clignez pas des yeux et répétez votre nom jusqu’à ce que vous commenciez à croire qu’il vous dit quelque chose. Magnolia” 1999 je vais vous dire le plus grand regret de ma vie j’ai laissé mon amour. » ” Magnolia » est beaucoup, beaucoup beaucoup de choses, mais c’est avant tout un film sur des gens qui se battent pour vivre au — dessus de leur douleur-un thème qui traverse non seulement les neuf parties de cette histoire, mais qui saigne également à travers les deux phases de la carrière de Paul Thomas Anderson. Il y a John C., Reilly dans le rôle de L’officier Jim Kurring, qui s’est effectivement présenté comme le héros et le narrateur d’un spectacle de flics inexistant afin de donner la parole aux choses qu’il ne peut pas admettre. Il y a Jimmy Gator, l’animateur de jeu télévisé mourant qui est hanté par toutes les façons dont il a échoué à sa fille il est joué par Philip Baker Hall dans l’une des performances les plus humaines que vous verrez jamais. Il y a le conférencier motivateur Frank T. J., Mackey, qui a tout sous contrôle jusqu à ce que quelqu » un mentionne son père, et sa femme trophée Linda Partridge, qui émerge d » un brouillard de médicaments sur ordonnance juste un peu trop tard pour dire à son mari en phase terminale comment elle se sent vraiment. Et encore et encore, la petite armée de personnages D’Anderson s’enfile dans un opéra moderne délirant sur les gens blessés blessant les gens jusqu’à ce que le temps change et ils se rendent tous compte que ça ne va pas s’arrêter jusqu’à ce qu’ils se lèvent. avez – vous déjà remarqué que PTA est assez bon avec les acteurs?, Pour un gars qui est presque sans égal expressif avec une caméra, c’est toujours une surprise de regarder l’un de ses films et de se rappeler combien il s’en remet à son casting et à leurs visages. Magnolia » pourrait être l’exemple le plus frappant de tous, non seulement à cause de son Mélodrame brut, mais aussi parce que tout le monde ici joue si agressivement contre le type que vous pouvez les sentir essayer de fuir quelque chose., Un film de 188 minutes sans une seconde hors de propos, Magnolia” est le sous-produit de l’égomanie injectée de sang, le film infusé d’une arrogance sauvage qui part de ses racines et grandit comme une tumeur jusqu’à ce que Dieu apparaisse et qu’il ait l’impression Et Dieu merci que quelqu’un ait eu la confiance ou la cocaïne ou tout ce qu’il fallait pour tenter quelque chose comme ça, parce que plus le film devient grand, plus il semble qu’il ne pouvait pas se permettre d’être plus petit., Comme Anderson le dit vers la fin du incroyable making-of documentaire sur le DVD, c’est trop putain aussi”, et c’est le cas, mais c’est aussi juste assez pour montrer comment la fiction peut parfois refléter l’étrangeté de la vie réelle. Magnolia » est un film qui vous met à travers l’essoreuse, et peut vous tirer de presque n’importe quoi. Il y Aura du Sang” 2007 Il y Aura du Sang” est le Grand Film Américain du 21ème siècle, qui est moins un compliment que c’est une classification taxonomique., C’est un genre en soi, un genre dépassé forgé par des films antérieurs comme Citizen Kane” et The Godfather” et défini par des histoires de sociopathes autodidactes-toujours des hommes — qui construisent des empires au — dessus du corps de leurs ennemis et s’accrochent au rêve américain jusqu’à ce que ce soit la seule chose qui leur reste. Ce sont des images élémentaires pleines de gens qui voient le capitalisme comme un sport de sang, gagner de l’argent avec une ferveur qui expose la violence fondamentale du marché libre., comme il convient donc que la richesse et la mort soient si inextricablement liées dans There Will Be Blood”, un film qui porte sa grandeur” intrinsèque comme un genre dont il se lasse au fur et à mesure, se retournant finalement contre lui et le battant à mort avec une quille. Il n’y a rien que nous aimons voir de plus qu’une saga rise and fall sur quelqu’un ruiné par la même ambition vorace qui nous manque en nous-mêmes, et le public a appris que des histoires comme celle-ci ont rarement des fins heureuses ces récits nous apprennent à ne pas trop vouloir. Mais il y aura du sang” se résout dans la victoire, pas dans la défaite., Il n’y a pas de bouton de rose” pour Daniel Plainview, juste un abîme sans fond. Daniel Day-Lewis habite Plainview comme la star involontaire d’un film de monstre, un prédateur apex qui marche avec l’intuition ganglionnaire d’un méchant Scooby-Doo et escroque sa tête afin qu’il ne puisse voir que le pire chez les gens. Grâce aux compositions de cordes Toru Takemitsu de Jonny Greenwood, Plainview entre dans chaque scène comme Jaws encerclant sa prochaine victime., Entre le prédicateur opportuniste de Paul Dano et les panaches d’huile et de feu qui jaillissent de la terre que Plainview revendique pour lui-même, tout le film commence à assumer une ferveur biblique, la gravité naturelle du drame se tordant en quelque chose de vaguement apocalyptique. There Will Be Blood » est une tempête parfaite de talents au sommet de leur art, un film qui plonge dans le passé de l’Amérique afin de puiser dans la pourriture que nous souffrons dans son présent. Non seulement c’est le grand film américain du 21e siècle, mais il mérite de l’être., Restez au courant des dernières actualités cinématographiques et télévisées! Inscrivez-vous à nos Newsletters par courriel ici.
TopPaul Thomas Anderson, une liste de films par Jimereeno :
DébutPage précedentePage suivanteFin Le top des Inrocks 01. L'inconnu du lac 02. Holy Motors 03. Oncle Boonmee 04. Elle 05. Under the skin 06. Mystères de Lisbonne 07. The Social network 08. Mad Max Fury Road 09. Trois souvenirs de ma jeunesse 10. Certaines femmes Ptdr ridiculeSinon MON top, peut-être plus crédible mais pas sûr d'être à jour Le 04 janvier 2021 à 122757 Lottin2Terre a écrit Le 04 janvier 2021 à 122505 XZibitZionism a écrit Y'a encore trop de films connus dans ce top 10, ça manque de production ouzbekJ'avoue, Lars Von Trier, Paul Thomas Anderson, James Gray, Lynch et Malick c'est ultra noname Ben c'est exactement ce que je dis, y'a trop de films connus dans ton top 10, tocard. Ouais bon pas du tout à jour mais flemme Le top des Cahiers du Cinéma 1. Twin Peaks The Return de David Lynch 2017 2. Holy Motors de Leos Carax 2012 3. P’tit Quinquin de Bruno Dumont 4. Oncle Boonmee d’Apichatpong Weerasethakul 2010 5. Le Livre d’Image de Jean-Luc Godard 2018 6. Toni Erdmann de Maren Ade 2016 7. Mia Madre de Nanni Moretti 2015 8. Melancholia de Lars von Trier 2011 9. Under The Skin de Jonathan Glazer 2013 10. L’Étrange Affaire Angélica de Manoel de Oliveira 2010 Le 04 janvier 2021 à 123241 KingKompany a écrit Ouais bon pas du tout à jour mais flemme Cela donne un rendu étrange Senscritique. Patients se retrouve au niveau de Take Shelter. Le système de notation d'un film a des effets pervers. Le 04 janvier 2021 à 121324 FreddyAdu a écrit On n'a pas tourné de films ailleurs qu'aux États-Unis durant la décennie écoulée Ce sont les pros d'hollywood qui ont voté. D'où les films US. Et ce top est sorti en 2019 d'ailleurs. Je trouve le top des Inrocks le plus stylé pour l'instant. Il est varié. Ridicule le classementMais je viens de voir la gueule du site, ce n'est vraiment pas étonnant de leurs parts Message édité le 04 janvier 2021 à 140206 par Mageta97230 C'est un classement de cinix, mais même en étant à l'Ouest comment c'est possible de mettre Avengers devant Harry Potter ? Le 04 janvier 2021 à 140522 Paraworld_sam a écrit C'est un classement de cinix, mais même en étant à l'Ouest comment c'est possible de mettre Avengers devant Harry Potter ? Ca à la limite pourquoi pas, pour moi ça se vautMais en tant que film d'action, comment il est possible de mettre Black Panther aussi haut par rapport à Mad Max Fury Road? Ca n'a aucun sens Le 04 janvier 2021 à 140522 Paraworld_sam a écrit C'est un classement de cinix, mais même en étant à l'Ouest comment c'est possible de mettre Avengers devant Harry Potter ? L'un et l'autre n'ont pas leur place dans un classement si t'as vu plus de 2 films sur la décennie Le 04 janvier 2021 à 141337 KingKompany a écrit Le 04 janvier 2021 à 140522 Paraworld_sam a écrit C'est un classement de cinix, mais même en étant à l'Ouest comment c'est possible de mettre Avengers devant Harry Potter ? L'un et l'autre n'ont pas leur place dans un classement si t'as vu plus de 2 films sur la décennie Tu mettrais Cinquante Nuance Plus Sombre et Transformers plus haut? Il est vraiment excellent Twin Peaks ? Je l’ai toujours pas regardé C'est moi ou il y a aucun bon film dans la liste 12 The Social NetworkAlors ca j'ai jamais compris il est sympa mais de là à le foutre dans un top 10 c'est n'importe quoi Perso ça pourrait donner un truc du genre 1- Grand Budapest Hotel 2- Le Loup de Wall Street 3- Once upon a time in hollywood 4- Leviathan 5- The square 6- Gone girl 7- Jusqu'à la garde 8- Stoker 9- Blue Jasmine 10- Toni Erdmann Le 04 janvier 2021 à 144802 JuanJoNarvaez a écrit C'est moi ou il y a aucun bon film dans la listeUn peu de respect pour Birdman stp Jamais vu Hotel machin ... Le 04 janvier 2021 à 145808 ___kingrabbit a écrit Perso ça pourrait donner un truc du genre 1- Grand Budapest Hotel 2- Le Loup de Wall Street 3- Once upon a time in hollywood 4- Leviathan 5- The square 6- Gone girl 7- Jusqu'à la garde 8- Stoker 9- Blue Jasmine 10- Toni ErdmannJe ne pensais pas que tu mettrais Gone Girl aussi haut DébutPage précedentePage suivanteFin Victime de harcèlement en ligne comment réagir ?

Inherentvice. (2014) de Paul Thomas Anderson. Polar, Comédie | 2h28. 64% 299 micro-critiques. Synopsis : L'ex-petite amie du détective privé Doc Sportello surgit un beau jour, en

Votre dernier souvenir de Burt Reynolds remonte à Boogie Nights de Paul Thomas Anderson ? Dommage pour lui. Il a récolté sa première et encore unique nomination aux Oscars ainsi qu'un Golden Globe grâce au rôle du producteur de film X Jack Horner dans Boogie Nights, qui a lancé en 1998 la carrière de Paul Thomas Anderson et failli relancer la sienne. Mais presque vingt ans après, l'acteur garde un souvenir très mitigé de l'expérience, et ne cache pas son mépris envers un cinéaste devenu depuis une superstar, nommé six fois aux Oscars. Interrogé par GQ, Burt Reynolds explique ainsi qu'il ne retravaillera pas avec le réalisateur "D'un point de vue personnalité, on ne s'accordait pas", et en dresse un portrait peu flatteur "Je pense qu'il était surtout jeune et imbu de lui-même. Chaque plan qu'on faisait, c'était comme si ça n'avait jamais été avant. Je me souviens du premier plan qu'on a tourné, quand je conduis la voiture au Grauman Theater. Juste après, il m'a dit, 'Est-ce que c'est extraordinaire ?'. Et je lui ai nommé cinq films qui avaient exactement le même plan. Ce n'était pas original. Mais si on vole, autant voler aux meilleurs". Même discours du côté de The Guardian, où l'acteur affirme qu'il "détestait" Paul Thomas Anderson, si bien qu'il a refusé un rôle dans Magnolia dans la foulée "J'ai fait mon film avec Paul Thomas Anderson, c'est assez". Au passage, Burt Reynolds explique que Mark Wahlberg était si passionné par son rôle de star du porno qu'il se promenait sur le plateau avec une fausse érection. Avec également Heather Graham à moitié nue sur ses rollers et Julianne Moore dans un de ses plus beaux rôles, il y a de quoi imaginer une ambiance de travail électrique.

Lemeilleur du cinéma de Paul Thomas Anderson en 8 minutes chrono. le 16/09/2014 à 15:23 par La rédaction. DR. A seulement 44 ans, le réalisateur américain Paul Thomas Anderson nous a déjà emmenés dans les méandres d'un casino (Double Mise, en 1996), sur des tournages de films porno dans le L.A. des 70's (Boogie Nights, 1998), dans un film-choral bouleversant à

Écrans & TV Cinéma Article réservé aux abonnés Publié le 11/04/19 mis à jour le 07/12/20 Partager © Warner Bros. - Ghoulardi Film Company Netflix enrichit son catalogue avec “Inherent Vice”, hommage enfumé aux classiques des romans et films noirs, de Paul Thomas Anderson “There Will Be Blood”, “Phantom Thread”. Un trip hallucinant porté par un Joaquin Phoenix plus que crédible en roi de la défonce. What’s up, Doc ? » Jamais on n’aurait cru que la phrase culte de Bugs Bunny devienne un jour la réplique leitmotiv d’un film de Paul Thomas Anderson, le plus ambitieux des cinéastes américains vivants. Des surprises de ce genre, Inherent Vice les enchaîne jusqu’à l’ultime carton du générique de fin. Le réalisateur de There will be blood a repris les grandes lignes d’un roman touffu de Thomas Pynchon pour signer une sorte de chaînon manquant entre Le Grand Sommeil et The Big Lebowski un brillant pastiche des polars de Raymond Chandler, où Philip Marlowe troque son trench-coat pour une liquette à fleurs et son bourbon pour de la marijuana inhalée par kilos. Film noir oblige, tout part d’une femme fatale. Shasta, beauté qui rêve de Hollywood, demande de l’aide à son ex, le détective Doc » Sportello Joaquin Phoenix, très crédible en fumeur de joints son nouvel amant, un promoteur immobilier aux fréquentations douteuses, serait victime d’un complot. C’est le début d’une enquête complexe avec dialogues à double sens et personnages qui changent d’identité comme de chemise. Entre deux pétards et une tournée de tequila zombie », Doc va être confronté à des bikers néonazis, au saxophoniste d’un groupe de surf rock, à un cartel de la drogue vietnamien… Pour raconter cette histoire qu’on croirait écrite sous LSD, le cinéaste a l’intelligence de faire sobre. Pas — ou peu — de plans-séquences virtuoses dont il faisait étalage à l’époque de Boogie Nights, mais beaucoup de longs plans fixes au plus près de ses acteurs, avec tension érotique à la clé. Pas non plus de distorsions psychédéliques — il est vrai inutiles le Los Angeles de 1970 constitue, en soi, le plus hallucinant des trips quand on y découvre les coups de sang du flic hippiephobe » incarné par Josh Brolin ou la démarche cartoonesque d’un dentiste accro à la cocaïne et au sexe Martin Short, hilarant. Paiement sécurisé Sans engagement Désabonnement simple Déjà abonné ? Je me connecte Découvrir toutes nos offres Inherent Vice est disponible depuis le 10 avril sur Netflix Films et séries sur Netflix notre sélection Paul Thomas Anderson Joaquin Phoenix Partager Contribuer Sur le même thème Postez votre avis Pour soutenir le travail de toute une rédaction, abonnez-vous Pourquoi voyez-vous ce message ? Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicité personnalisée. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. Chaque jour, la rédaction et l'ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements... Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel. Nous vous invitons à rejoindre à votre tour cette communauté en vous abonnant à Télérama. Merci, et à bientôt. S’abonner Decouvrezle meilleur de Paul Thomas Anderson. Voir tout. Les plus populaires Les mieux notés Les plus récents Licorice Pizza Blu-ray - Blu-ray . Paul Thomas Anderson Alana Haim Cooper Hoffman Bradley Cooper Sean Penn Benny Safdie. 45 19 €99. Plus
Le best of cinéma du premier semestre 2018, avec des monstres, de la haute couture, des chiens, beaucoup de coups de boules et deux Spielberg. C'est l'été, et vous savez ce que ça veut dire le bac, la coupe du monde de foot, les vacances et le top cinéma 2018. Déjà ? Il s'agit évidemment de classer les meilleurs films sortis au premier semestre de l'année, de faire un bilan d'étape avant le break estival. Jusqu'à la garde de Xavier Legrand Un divorce, une garde partagée. Une dérive familiale atrocement banale qui vire au film d'horreur. Le premier film de Xavier Legrand est une bombe, d'une perfection quasi-absolue, qui s'inscrit dans un cadre réaliste et sociologiquement précis pour mieux vous planter dans le bide une force de cinoche en acier trempé. la critique complète est ici Ready Player One de Steven Spielberg Transcendant de son postulat übergeek, Spielberg livre un vrai film d'auteur qui dessine en creux son autoportrait complexe. Cinéaste sincère, businessman à l'allure de démiurge, ogre pop qui a défini son époque... Ready Player One est aussi un film de fou, où Spielberg enquille tranquillement des morceaux de bravoure ébourrifants la course de bagnoles d'ouverture, la réécriture de Shining comme s'il avait fait ça toute sa vie. Ca tombe bien, c'est le cas. la critique complète est ici Mektoub My Love Canto Uno d'Abdellatif Kechiche Kechiche dépouille son cinéma de tout ce qui pourrait l'encombrer les vêtements, le filtre social ce qui pourrait l'encombrer pour livrer un récit d'apprentissage lumineux et chamanique. Une célébration frénétique du sexe et de la vie. Sublime. la critique complète est ici Phantom Thread de Paul Thomas Anderson Quand Anderson filme les névroses d'un couturier vampirique dans les années 50, ça donne un pur film de style, sans hystérie auteurisante, où l'on chuchote, on se frôle, on se concentre. Tout est intérieur. Un très grand film sur la maîtrise de soi, et la maîtrise de son art. la critique complète est ici La Forme de l'eau de Guillermo Del Toro Film muet, film de monstres, film d'amour, film d'espionnage, film d'horreur, film noir... Guillermo Del Toro parvient à fusionner tous les genres de cinéma dans une éblouissante symphonie. Un triomphe total. la critique complète est ici Battleship Island de Ryoo Seung-wan L'histoire vraie d'une évasion d'une île-prison japonaise pendant la Deuxième guerre mondiale. Un film grandiose et furieux, opulent jusque dans ses monstrueuses batailles rangées. Un peu comme une version cinéma de la plus belle symphonie de heavy metal. la critique complète est ici 3 Billboards - Les Panneaux de la vengeance de Martin McDonagh Une fable philosophique, morale, politique, drôle et noire, qui a donné à Frances McDormand son plus beau rôle depuis Fargo et qui permet aussi à Sam Rockwell de donner la performance de sa vie, tant qu'on y est. Tout ça ? Mais oui. la critique complète est ici Everybody Knows d'Asghar Farhadi Des stars, l’Espagne et un suspens digne d'Ingmar Bergman Farhadi pose ses caméras loin de l’Iran pour mieux réaffirmer son style et ses obsessions. Everybody Knows est un grand drame psychologique verrouillé, maîtrisé. la critique complète est ici Pentagon Papers de Steven Spielberg Un superbe film de suspense en hommage à une presse libre, beau et intemporel comme un fragment du classicisme hollywoodien oublié. L'autre Spielberg de 2018 où Steven s'affirme aussi comme un héritier de John Ford et Frank Capra. la critique complète est ici Call Me by Your Name de Luca Guadagnino Une histoire d'amour dans l'été italien. Simple comme bonjour, et pourtant Luca Guadagnino parvient à donner à Call Me by Your Name la stature d'une odyssée du paradis perdu d'un érotisme fou. Qu'est-ce que c'est beau. la critique complète est ici Annihilation d'Alex Garland Diifusé sur Netflix en France mais au cinéma aux Etats-Unis, Annihilation a peut-être souffert de son petit format. Alors qu'il s'agit clairement d'un classique de SF immédiat ce trip dans une terre hostile contaminée par une force alien est à la fois un labyrinthe où l'on s'égare, et un miroir qui révèle notre ignorance face à l'univers. la critique complète est ici La Douleur d'Emmanuel Finkel Les mots de Marguerite Duras, la mise en scène d’Emmanuel Finkiel, l’interprétation de Mélanie Thierry. Trois éléments qui font de La Douleur, récit violent d'un amour sous l'Occupation, un film exceptionnel de puissance. la critique complète est ici L'Apparition de Xavier Giannoli Voir ou ne pas voir ? Croire ou ne pas croire ? Pas si simple, nous dit Giannoli qui, sans délaisser son entreprise de mystification-mythification, s’arrime à l’humain pour mieux en faire ressortir la part de lumière. L’Apparition jongle avec les genres et la multiplicité des niveaux de lecture dont l’enchevêtrement procure un fascinant sentiment mêlé d’évidence et de perplexité. la critique complète est ici L'Ile aux Chiens de Wes Anderson Imaginez Les Douze salopards d’Aldrich, incarnés par des chiens, dans un Japon rétro-futuriste et bilingue. A priori hétérogènes, ces éléments s’intègrent parfaitement aux motifs habituels de Wes Anderson, aussi bien formels que thématiques. Ça a de la gueule. la critique complète est ici Hérédité d'Ari Aster Ari Aster a su compiler et utiliser à leur effet maximum les effets son, image et surtout thèmes les plus flippants de l'arsenal du cinéma d'horreur. Hérédité est véritablement et purement terrifiant. la critique complète est ici Une Prière avant l'aube de Jean-Stéphane Sauvaire Un film de prison transcendental, lumineux, aussi primitif et évident qu'un bon coup de boule. Ça réveille et ça fait un bien fou, en fait. la critique complète est ici
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