DébutPage précedentePage suivanteFin Le top des Inrocks 01. L'inconnu du lac 02. Holy Motors 03. Oncle Boonmee 04. Elle 05. Under the skin 06. Mystères de Lisbonne 07. The Social network 08. Mad Max Fury Road 09. Trois souvenirs de ma jeunesse 10. Certaines femmes Ptdr ridiculeSinon MON top, peut-être plus crédible mais pas sûr d'être à jour Le 04 janvier 2021 à 122757 Lottin2Terre a écrit Le 04 janvier 2021 à 122505 XZibitZionism a écrit Y'a encore trop de films connus dans ce top 10, ça manque de production ouzbekJ'avoue, Lars Von Trier, Paul Thomas Anderson, James Gray, Lynch et Malick c'est ultra noname Ben c'est exactement ce que je dis, y'a trop de films connus dans ton top 10, tocard. Ouais bon pas du tout à jour mais flemme Le top des Cahiers du Cinéma 1. Twin Peaks The Return de David Lynch 2017 2. Holy Motors de Leos Carax 2012 3. P’tit Quinquin de Bruno Dumont 4. Oncle Boonmee d’Apichatpong Weerasethakul 2010 5. Le Livre d’Image de Jean-Luc Godard 2018 6. Toni Erdmann de Maren Ade 2016 7. Mia Madre de Nanni Moretti 2015 8. Melancholia de Lars von Trier 2011 9. Under The Skin de Jonathan Glazer 2013 10. L’Étrange Affaire Angélica de Manoel de Oliveira 2010 Le 04 janvier 2021 à 123241 KingKompany a écrit Ouais bon pas du tout à jour mais flemme Cela donne un rendu étrange Senscritique. Patients se retrouve au niveau de Take Shelter. Le système de notation d'un film a des effets pervers. Le 04 janvier 2021 à 121324 FreddyAdu a écrit On n'a pas tourné de films ailleurs qu'aux États-Unis durant la décennie écoulée Ce sont les pros d'hollywood qui ont voté. D'où les films US. Et ce top est sorti en 2019 d'ailleurs. Je trouve le top des Inrocks le plus stylé pour l'instant. Il est varié. Ridicule le classementMais je viens de voir la gueule du site, ce n'est vraiment pas étonnant de leurs parts Message édité le 04 janvier 2021 à 140206 par Mageta97230 C'est un classement de cinix, mais même en étant à l'Ouest comment c'est possible de mettre Avengers devant Harry Potter ? Le 04 janvier 2021 à 140522 Paraworld_sam a écrit C'est un classement de cinix, mais même en étant à l'Ouest comment c'est possible de mettre Avengers devant Harry Potter ? Ca à la limite pourquoi pas, pour moi ça se vautMais en tant que film d'action, comment il est possible de mettre Black Panther aussi haut par rapport à Mad Max Fury Road? Ca n'a aucun sens Le 04 janvier 2021 à 140522 Paraworld_sam a écrit C'est un classement de cinix, mais même en étant à l'Ouest comment c'est possible de mettre Avengers devant Harry Potter ? L'un et l'autre n'ont pas leur place dans un classement si t'as vu plus de 2 films sur la décennie Le 04 janvier 2021 à 141337 KingKompany a écrit Le 04 janvier 2021 à 140522 Paraworld_sam a écrit C'est un classement de cinix, mais même en étant à l'Ouest comment c'est possible de mettre Avengers devant Harry Potter ? L'un et l'autre n'ont pas leur place dans un classement si t'as vu plus de 2 films sur la décennie Tu mettrais Cinquante Nuance Plus Sombre et Transformers plus haut? Il est vraiment excellent Twin Peaks ? Je l’ai toujours pas regardé C'est moi ou il y a aucun bon film dans la liste 12 The Social NetworkAlors ca j'ai jamais compris il est sympa mais de là à le foutre dans un top 10 c'est n'importe quoi Perso ça pourrait donner un truc du genre 1- Grand Budapest Hotel 2- Le Loup de Wall Street 3- Once upon a time in hollywood 4- Leviathan 5- The square 6- Gone girl 7- Jusqu'à la garde 8- Stoker 9- Blue Jasmine 10- Toni Erdmann Le 04 janvier 2021 à 144802 JuanJoNarvaez a écrit C'est moi ou il y a aucun bon film dans la listeUn peu de respect pour Birdman stp Jamais vu Hotel machin ... Le 04 janvier 2021 à 145808 ___kingrabbit a écrit Perso ça pourrait donner un truc du genre 1- Grand Budapest Hotel 2- Le Loup de Wall Street 3- Once upon a time in hollywood 4- Leviathan 5- The square 6- Gone girl 7- Jusqu'à la garde 8- Stoker 9- Blue Jasmine 10- Toni ErdmannJe ne pensais pas que tu mettrais Gone Girl aussi haut DébutPage précedentePage suivanteFin Victime de harcèlement en ligne comment réagir ?
Inherentvice. (2014) de Paul Thomas Anderson. Polar, Comédie | 2h28. 64% 299 micro-critiques. Synopsis : L'ex-petite amie du détective privé Doc Sportello surgit un beau jour, en 
Votre dernier souvenir de Burt Reynolds remonte à Boogie Nights de Paul Thomas Anderson ? Dommage pour lui. Il a récolté sa première et encore unique nomination aux Oscars ainsi qu'un Golden Globe grâce au rôle du producteur de film X Jack Horner dans Boogie Nights, qui a lancé en 1998 la carrière de Paul Thomas Anderson et failli relancer la sienne. Mais presque vingt ans après, l'acteur garde un souvenir très mitigé de l'expérience, et ne cache pas son mépris envers un cinéaste devenu depuis une superstar, nommé six fois aux Oscars. Interrogé par GQ, Burt Reynolds explique ainsi qu'il ne retravaillera pas avec le réalisateur "D'un point de vue personnalité, on ne s'accordait pas", et en dresse un portrait peu flatteur "Je pense qu'il était surtout jeune et imbu de lui-même. Chaque plan qu'on faisait, c'était comme si ça n'avait jamais été avant. Je me souviens du premier plan qu'on a tourné, quand je conduis la voiture au Grauman Theater. Juste après, il m'a dit, 'Est-ce que c'est extraordinaire ?'. Et je lui ai nommé cinq films qui avaient exactement le même plan. Ce n'était pas original. Mais si on vole, autant voler aux meilleurs". Même discours du côté de The Guardian, où l'acteur affirme qu'il "détestait" Paul Thomas Anderson, si bien qu'il a refusé un rôle dans Magnolia dans la foulée "J'ai fait mon film avec Paul Thomas Anderson, c'est assez". Au passage, Burt Reynolds explique que Mark Wahlberg était si passionné par son rôle de star du porno qu'il se promenait sur le plateau avec une fausse érection. Avec également Heather Graham à moitié nue sur ses rollers et Julianne Moore dans un de ses plus beaux rôles, il y a de quoi imaginer une ambiance de travail électrique.
Lemeilleur du cinéma de Paul Thomas Anderson en 8 minutes chrono. le 16/09/2014 à 15:23 par La rédaction. DR. A seulement 44 ans, le réalisateur américain Paul Thomas Anderson nous a déjà emmenés dans les méandres d'un casino (Double Mise, en 1996), sur des tournages de films porno dans le L.A. des 70's (Boogie Nights, 1998), dans un film-choral bouleversant à 
Écrans & TV Cinéma Article réservé aux abonnés Publié le 11/04/19 mis à jour le 07/12/20 Partager © Warner Bros. - Ghoulardi Film Company Netflix enrichit son catalogue avec “Inherent Vice”, hommage enfumé aux classiques des romans et films noirs, de Paul Thomas Anderson “There Will Be Blood”, “Phantom Thread”. Un trip hallucinant porté par un Joaquin Phoenix plus que crédible en roi de la défonce. What’s up, Doc ? » Jamais on n’aurait cru que la phrase culte de Bugs Bunny devienne un jour la réplique leitmotiv d’un film de Paul Thomas Anderson, le plus ambitieux des cinéastes américains vivants. Des surprises de ce genre, Inherent Vice les enchaîne jusqu’à l’ultime carton du générique de fin. Le réalisateur de There will be blood a repris les grandes lignes d’un roman touffu de Thomas Pynchon pour signer une sorte de chaînon manquant entre Le Grand Sommeil et The Big Lebowski un brillant pastiche des polars de Raymond Chandler, où Philip Marlowe troque son trench-coat pour une liquette à fleurs et son bourbon pour de la marijuana inhalée par kilos. Film noir oblige, tout part d’une femme fatale. Shasta, beauté qui rêve de Hollywood, demande de l’aide à son ex, le détective Doc » Sportello Joaquin Phoenix, très crédible en fumeur de joints son nouvel amant, un promoteur immobilier aux fréquentations douteuses, serait victime d’un complot. C’est le début d’une enquête complexe avec dialogues à double sens et personnages qui changent d’identité comme de chemise. Entre deux pétards et une tournée de tequila zombie », Doc va être confronté à des bikers néonazis, au saxophoniste d’un groupe de surf rock, à un cartel de la drogue vietnamien… Pour raconter cette histoire qu’on croirait écrite sous LSD, le cinéaste a l’intelligence de faire sobre. Pas — ou peu — de plans-séquences virtuoses dont il faisait étalage à l’époque de Boogie Nights, mais beaucoup de longs plans fixes au plus près de ses acteurs, avec tension érotique à la clé. Pas non plus de distorsions psychédéliques — il est vrai inutiles le Los Angeles de 1970 constitue, en soi, le plus hallucinant des trips quand on y découvre les coups de sang du flic hippiephobe » incarné par Josh Brolin ou la démarche cartoonesque d’un dentiste accro à la cocaïne et au sexe Martin Short, hilarant. Paiement sécurisé Sans engagement Désabonnement simple Déjà abonné ? Je me connecte Découvrir toutes nos offres Inherent Vice est disponible depuis le 10 avril sur Netflix Films et séries sur Netflix notre sélection Paul Thomas Anderson Joaquin Phoenix Partager Contribuer Sur le même thème Postez votre avis Pour soutenir le travail de toute une rédaction, abonnez-vous Pourquoi voyez-vous ce message ? Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicité personnalisée. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. Chaque jour, la rédaction et l'ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements... Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel. Nous vous invitons à rejoindre à votre tour cette communauté en vous abonnant à Télérama. Merci, et à bientôt. S’abonner
Decouvrezle meilleur de Paul Thomas Anderson. Voir tout. Les plus populaires Les mieux notés Les plus récents Licorice Pizza Blu-ray - Blu-ray . Paul Thomas Anderson Alana Haim Cooper Hoffman Bradley Cooper Sean Penn Benny Safdie. 45 19 €99. Plus 
Le best of cinéma du premier semestre 2018, avec des monstres, de la haute couture, des chiens, beaucoup de coups de boules et deux Spielberg. C'est l'été, et vous savez ce que ça veut dire le bac, la coupe du monde de foot, les vacances et le top cinéma 2018. Déjà ? Il s'agit évidemment de classer les meilleurs films sortis au premier semestre de l'année, de faire un bilan d'étape avant le break estival. Jusqu'à la garde de Xavier Legrand Un divorce, une garde partagée. Une dérive familiale atrocement banale qui vire au film d'horreur. Le premier film de Xavier Legrand est une bombe, d'une perfection quasi-absolue, qui s'inscrit dans un cadre réaliste et sociologiquement précis pour mieux vous planter dans le bide une force de cinoche en acier trempé. la critique complète est ici Ready Player One de Steven Spielberg Transcendant de son postulat übergeek, Spielberg livre un vrai film d'auteur qui dessine en creux son autoportrait complexe. Cinéaste sincère, businessman à l'allure de démiurge, ogre pop qui a défini son époque... Ready Player One est aussi un film de fou, où Spielberg enquille tranquillement des morceaux de bravoure ébourrifants la course de bagnoles d'ouverture, la réécriture de Shining comme s'il avait fait ça toute sa vie. Ca tombe bien, c'est le cas. la critique complète est ici Mektoub My Love Canto Uno d'Abdellatif Kechiche Kechiche dépouille son cinéma de tout ce qui pourrait l'encombrer les vêtements, le filtre social ce qui pourrait l'encombrer pour livrer un récit d'apprentissage lumineux et chamanique. Une célébration frénétique du sexe et de la vie. Sublime. la critique complète est ici Phantom Thread de Paul Thomas Anderson Quand Anderson filme les névroses d'un couturier vampirique dans les années 50, ça donne un pur film de style, sans hystérie auteurisante, où l'on chuchote, on se frôle, on se concentre. Tout est intérieur. Un très grand film sur la maîtrise de soi, et la maîtrise de son art. la critique complète est ici La Forme de l'eau de Guillermo Del Toro Film muet, film de monstres, film d'amour, film d'espionnage, film d'horreur, film noir... Guillermo Del Toro parvient à fusionner tous les genres de cinéma dans une éblouissante symphonie. Un triomphe total. la critique complète est ici Battleship Island de Ryoo Seung-wan L'histoire vraie d'une évasion d'une île-prison japonaise pendant la Deuxième guerre mondiale. Un film grandiose et furieux, opulent jusque dans ses monstrueuses batailles rangées. Un peu comme une version cinéma de la plus belle symphonie de heavy metal. la critique complète est ici 3 Billboards - Les Panneaux de la vengeance de Martin McDonagh Une fable philosophique, morale, politique, drôle et noire, qui a donné à Frances McDormand son plus beau rôle depuis Fargo et qui permet aussi à Sam Rockwell de donner la performance de sa vie, tant qu'on y est. Tout ça ? Mais oui. la critique complète est ici Everybody Knows d'Asghar Farhadi Des stars, l’Espagne et un suspens digne d'Ingmar Bergman Farhadi pose ses caméras loin de l’Iran pour mieux réaffirmer son style et ses obsessions. Everybody Knows est un grand drame psychologique verrouillé, maîtrisé. la critique complète est ici Pentagon Papers de Steven Spielberg Un superbe film de suspense en hommage à une presse libre, beau et intemporel comme un fragment du classicisme hollywoodien oublié. L'autre Spielberg de 2018 où Steven s'affirme aussi comme un héritier de John Ford et Frank Capra. la critique complète est ici Call Me by Your Name de Luca Guadagnino Une histoire d'amour dans l'été italien. Simple comme bonjour, et pourtant Luca Guadagnino parvient à donner à Call Me by Your Name la stature d'une odyssée du paradis perdu d'un érotisme fou. Qu'est-ce que c'est beau. la critique complète est ici Annihilation d'Alex Garland Diifusé sur Netflix en France mais au cinéma aux Etats-Unis, Annihilation a peut-être souffert de son petit format. Alors qu'il s'agit clairement d'un classique de SF immédiat ce trip dans une terre hostile contaminée par une force alien est à la fois un labyrinthe où l'on s'égare, et un miroir qui révèle notre ignorance face à l'univers. la critique complète est ici La Douleur d'Emmanuel Finkel Les mots de Marguerite Duras, la mise en scène d’Emmanuel Finkiel, l’interprétation de Mélanie Thierry. Trois éléments qui font de La Douleur, récit violent d'un amour sous l'Occupation, un film exceptionnel de puissance. la critique complète est ici L'Apparition de Xavier Giannoli Voir ou ne pas voir ? Croire ou ne pas croire ? Pas si simple, nous dit Giannoli qui, sans délaisser son entreprise de mystification-mythification, s’arrime à l’humain pour mieux en faire ressortir la part de lumière. L’Apparition jongle avec les genres et la multiplicité des niveaux de lecture dont l’enchevêtrement procure un fascinant sentiment mêlé d’évidence et de perplexité. la critique complète est ici L'Ile aux Chiens de Wes Anderson Imaginez Les Douze salopards d’Aldrich, incarnés par des chiens, dans un Japon rétro-futuriste et bilingue. A priori hétérogènes, ces éléments s’intègrent parfaitement aux motifs habituels de Wes Anderson, aussi bien formels que thématiques. Ça a de la gueule. la critique complète est ici Hérédité d'Ari Aster Ari Aster a su compiler et utiliser à leur effet maximum les effets son, image et surtout thèmes les plus flippants de l'arsenal du cinéma d'horreur. Hérédité est véritablement et purement terrifiant. la critique complète est ici Une Prière avant l'aube de Jean-Stéphane Sauvaire Un film de prison transcendental, lumineux, aussi primitif et évident qu'un bon coup de boule. Ça réveille et ça fait un bien fou, en fait. la critique complète est ici
 EAKuDZP.   hk11r4vl0r.pages.dev/279hk11r4vl0r.pages.dev/60hk11r4vl0r.pages.dev/351hk11r4vl0r.pages.dev/394hk11r4vl0r.pages.dev/231hk11r4vl0r.pages.dev/46hk11r4vl0r.pages.dev/322hk11r4vl0r.pages.dev/182hk11r4vl0r.pages.dev/47
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